EXPLOITIl nage 500 km dans le fleuve Hudson pour alerter sur la pollution des eaux

New York : Cet athlète a nagé 500 km dans l’Hudson pour alerter sur la pollution des eaux

EXPLOITL’homme a mis 32 jours à nager de l’Hudson, de sa source à son embouchure
20 Minutes avec agences

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Le nageur d’endurance britannique Lewis Pugh a bouclé ce mercredi à New York (Etats-Unis) 500 km de nage dans le fleuve Hudson. Le sportif, qui est aussi « parrain de l’ONU pour les océans », voulait ainsi sensibiliser sur la pollution des eaux.

« Il y a 50 ans, c’était l’un des cours d’eau les plus pollués de la planète », a déclaré l’athlète de 53 ans à propos du fleuve Hudson, se félicitant de sa dépollution dans les années 1970. « Nous devons avoir des fleuves propres et sains. »

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Protéger les eaux du monde entier

Le périple de Lewis Pugh a démarré à la source du fleuve, dans les monts Aridonracks, jusqu’à son embouchure. Il a officiellement terminé son parcours à Battery Park, sur la pointe sud de Manhattan où se rencontrent l’Hudson River, l’East River et l’océan Atlantique. Au total, l’homme a nagé 500 km sans assistance durant 32 jours, avec des pauses pour manger et dormir la nuit.

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Le quinquagénaire espère que son exploit en « inspirera » d’autres pour sensibiliser à la dépollution des fleuves et des rivières. « Ils pourront se dire : Si on l’a fait pour l’Hudson, on peut le faire pour notre cours d’eau et le sauver », a-t-il déclaré, rappelant qu’avant sa dépollution, le fleuve Hudson changeait quotidiennement de couleur en fonction de qui y était déversé par les industries.

Le Britannique a déjà nagé dans l’Antarctique, au pôle Nord et dans la mer Rouge pour alerter l’opinion publique mondiale sur la nécessité de préserver les fleuves, rivières, mers et océans de la planète. Son dernier exploit s’est terminé juste avant le début, la semaine prochaine, de l’Assemblée générale annuelle de l’ONU qui reviendra sur le traité international pour protéger la haute mer. Adopté en juin dernier, cet accord historique sera ouvert aux signatures des Etats-membres.