Dès les premières heures du matin, la clinique vétérinaire dans laquelle exerce Clément ne désemplit pas : un vieux chien fait une intoxication alimentaire (heureusement, sans gravité), un autre doit recevoir un traitement contre les parasites pour voyager avec ses maîtres, un chat doit être vacciné… Sans compter les candidats aux interventions chirurgicales programmées de longue date.

Qui dit animal en détresse, dit propriétaire angoissé. « Pour être véto, il faut bien aimer les animaux mais il faut bien aimer les gens aussi. Si tu n’aimes pas les gens, c’est pas la peine, précise Clément. C’est un métier qui exige une grande part de psychologie. Il faut parfois autant savoir "gérer" les maîtres que leurs animaux »

Un métier « éprouvant mais passionnant »

Pour ce jeune Francilien dont la vocation remonte à l’enfance, « parce que j’ai toujours considéré les animaux comme des êtres profondément gentils et authentiques », les journées sont longues – « jusqu’à 20 heures, voire plus » – mais passionnantes. Accompagnez-le dans son labeur quotidien à travers cette vidéo de notre partenaire Brut.