Mieux cerner la franche australe pour mieux la protéger. Tel est le projet lancé par des chercheurs au large de l’Australie. Dans une par la , l’un des chercheurs, Lars Bejder, détaille les caractéristiques de l’opération. « Nous utilisons les nouvelles technologies comme les drones ou les balises pour les observer dans leur environnement naturel sans les déranger », explique-t-il.

Les drones permettent de ces mammifères mesurant jusqu’à 15 mètres de long. Mais le rôle des balises est plus crucial encore. Déposées sur les baleines à l’aide de ventouses, elles peuvent enregistrer jusqu’à 800 données par seconde.

Les données seront envoyées aux industriels

Les chercheurs peuvent ainsi étudier leur rôle respectif au sein du banc, la profondeur à laquelle elles plongent ou encore leurs communications. « Ces données seront analysées puis mises à disposition, détaille Lars Bejder. Ils connaîtront ainsi le mode de vie de ces baleines et sauront comment éviter au maximum sur leur mode de vie ». Au début du siècle, ne dépassait pas les 7.000 individus répartis sur plusieurs océans du globe.