Fonte des glaciers: Le nombre d'ours polaires aura chuté de 30 % vers 2050
RECHAUFFEMENT•Selon les experts, les archipels arctiques canadiens seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an...20 Minutes avec agences
Menacée par le réchauffement climatique qui fait fondre la banquise, la population des ours polaires devrait diminuer de plus de 30 % dans les 35 à 40 années à venir.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), des études récentes montrent en effet que la perte de la banquise arctique a progressé plus vite que les prévisions de la plupart des modèles climatiques. Or les ours polaires dépendent de la banquise pour accéder à leurs proies.
>> Fonte des glaciers de l’Antarctique : Le niveau des mers augmenterait de 3 mètres
Aussi, une période de cinq mois ou plus sans glace entraînera un jeûne prolongé pour l’espèce, ce qui est susceptible de causer une infertilité accrue ou la famine dans certaines régions.
Des archipels arctiques canadiens seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an
Menacée par le réchauffement climatique qui fait fondre la banquise, la population des ours polaires devrait diminuer de plus de 30 % dans les 35 à 40 années à venir.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), des études récentes montrent en effet que la perte de la banquise arctique a progressé plus vite que les prévisions de la plupart des modèles climatiques. Or les ours polaires dépendent de la banquise pour accéder à leurs proies.
>> Fonte des glaciers de l’Antarctique : Le niveau des mers augmenterait de 3 mètres
Aussi, une période de cinq mois ou plus sans glace entraînera un jeûne prolongé pour l’espèce, ce qui est susceptible de causer une infertilité accrue ou la famine dans certaines régions.
Des archipels arctiques canadiens seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an
Menacée par le réchauffement climatique qui fait fondre la banquise, la population des ours polaires devrait diminuer de plus de 30 % dans les 35 à 40 années à venir.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), des études récentes montrent en effet que la perte de la banquise arctique a progressé plus vite que les prévisions de la plupart des modèles climatiques. Or les ours polaires dépendent de la banquise pour accéder à leurs proies.
>> Fonte des glaciers de l’Antarctique : Le niveau des mers augmenterait de 3 mètres
Aussi, une période de cinq mois ou plus sans glace entraînera un jeûne prolongé pour l’espèce, ce qui est susceptible de causer une infertilité accrue ou la famine dans certaines régions.
Des archipels arctiques canadiens seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an
>> Fonte des glaciers de l’Antarctique : Le niveau des mers augmenterait de 3 mètres
Menacée par le réchauffement climatique qui fait fondre la banquise, la population des ours polaires devrait diminuer de plus de 30 % dans les 35 à 40 années à venir.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), des études récentes montrent en effet que la perte de la banquise arctique a progressé plus vite que les prévisions de la plupart des modèles climatiques. Or les ours polaires dépendent de la banquise pour accéder à leurs proies.
>> Fonte des glaciers de l’Antarctique : Le niveau des mers augmenterait de 3 mètres
Aussi, une période de cinq mois ou plus sans glace entraînera un jeûne prolongé pour l’espèce, ce qui est susceptible de causer une infertilité accrue ou la famine dans certaines régions.
Des archipels arctiques canadiens seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an
Menacée par le réchauffement climatique qui fait fondre la banquise, la population des ours polaires devrait diminuer de plus de 30 % dans les 35 à 40 années à venir.
Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), des études récentes montrent en effet que la perte de la banquise arctique a progressé plus vite que les prévisions de la plupart des modèles climatiques. Or les ours polaires dépendent de la banquise pour accéder à leurs proies.
>> Fonte des glaciers de l’Antarctique : Le niveau des mers augmenterait de 3 mètres
Aussi, une période de cinq mois ou plus sans glace entraînera un jeûne prolongé pour l’espèce, ce qui est susceptible de causer une infertilité accrue ou la famine dans certaines régions.
Des archipels arctiques canadiens seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an
D’après des prévisions récentes, des étendues importantes de l’archipel arctique canadien seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an à la fin du XXIe siècle. Dans d’autres parties de l’Arctique, ce seuil de cinq mois pourrait être atteint vers le milieu du XXIe siècle.
>> A lire ici : La photo d’un ours polaire squelettique suscite l’émotion sur la Toile
Ce réchauffement important des températures dans la région et le manque de glace pourraient donc porter atteinte aux habitats et accroître l’incidence de maladies chez des « espèces proies » telles que les phoques, aggravant ainsi les risques de mortalité pour les ours polaires.
« Les effets du changement climatique vont bien au-delà de cette espèce emblématique et représentent une menace que notre planète n’a jamais connue par le passé », affirme ainsi la directrice générale de l’UICN, Inger Andersen.
Entre 22.000 à 31.000 ours polaires dans le monde
Outre la perte de la banquise, la pollution, la prospection de ressources et les modifications des habitats dues aux activités humaines représentent aussi des menaces potentielles. L’exploitation pétrolière dans l’Arctique, par exemple, comporte un large éventail de dangers comme les marées noires.
La liste rouge de l’UICN comprend actuellement 79.837 espèces évaluées, dont 23.250 sont menacées d’extinction. Les ours polaires sont considérés comme étant « vulnérables », alors que selon l’UICN, qui publie régulièrement des mises à jour des plantes et animaux menacés dans le monde, il ne resterait qu’entre 22.000 et 31.000 ours polaires dans le monde (Etats-Unis, Canada, Norvège, Groenland et Russie).
>> A lire ici : La photo d’un ours polaire squelettique suscite l’émotion sur la Toile
D’après des prévisions récentes, des étendues importantes de l’archipel arctique canadien seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an à la fin du XXIe siècle. Dans d’autres parties de l’Arctique, ce seuil de cinq mois pourrait être atteint vers le milieu du XXIe siècle.
>> A lire ici : La photo d’un ours polaire squelettique suscite l’émotion sur la Toile
Ce réchauffement important des températures dans la région et le manque de glace pourraient donc porter atteinte aux habitats et accroître l’incidence de maladies chez des « espèces proies » telles que les phoques, aggravant ainsi les risques de mortalité pour les ours polaires.
« Les effets du changement climatique vont bien au-delà de cette espèce emblématique et représentent une menace que notre planète n’a jamais connue par le passé », affirme ainsi la directrice générale de l’UICN, Inger Andersen.
Entre 22.000 à 31.000 ours polaires dans le monde
Outre la perte de la banquise, la pollution, la prospection de ressources et les modifications des habitats dues aux activités humaines représentent aussi des menaces potentielles. L’exploitation pétrolière dans l’Arctique, par exemple, comporte un large éventail de dangers comme les marées noires.
La liste rouge de l’UICN comprend actuellement 79.837 espèces évaluées, dont 23.250 sont menacées d’extinction. Les ours polaires sont considérés comme étant « vulnérables », alors que selon l’UICN, qui publie régulièrement des mises à jour des plantes et animaux menacés dans le monde, il ne resterait qu’entre 22.000 et 31.000 ours polaires dans le monde (Etats-Unis, Canada, Norvège, Groenland et Russie).
D’après des prévisions récentes, des étendues importantes de l’archipel arctique canadien seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an à la fin du XXIe siècle. Dans d’autres parties de l’Arctique, ce seuil de cinq mois pourrait être atteint vers le milieu du XXIe siècle.
>> A lire ici : La photo d’un ours polaire squelettique suscite l’émotion sur la Toile
Ce réchauffement important des températures dans la région et le manque de glace pourraient donc porter atteinte aux habitats et accroître l’incidence de maladies chez des « espèces proies » telles que les phoques, aggravant ainsi les risques de mortalité pour les ours polaires.
« Les effets du changement climatique vont bien au-delà de cette espèce emblématique et représentent une menace que notre planète n’a jamais connue par le passé », affirme ainsi la directrice générale de l’UICN, Inger Andersen.
Entre 22.000 à 31.000 ours polaires dans le monde
Outre la perte de la banquise, la pollution, la prospection de ressources et les modifications des habitats dues aux activités humaines représentent aussi des menaces potentielles. L’exploitation pétrolière dans l’Arctique, par exemple, comporte un large éventail de dangers comme les marées noires.
La liste rouge de l’UICN comprend actuellement 79.837 espèces évaluées, dont 23.250 sont menacées d’extinction. Les ours polaires sont considérés comme étant « vulnérables », alors que selon l’UICN, qui publie régulièrement des mises à jour des plantes et animaux menacés dans le monde, il ne resterait qu’entre 22.000 et 31.000 ours polaires dans le monde (Etats-Unis, Canada, Norvège, Groenland et Russie).
D’après des prévisions récentes, des étendues importantes de l’archipel arctique canadien seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an à la fin du XXIe siècle. Dans d’autres parties de l’Arctique, ce seuil de cinq mois pourrait être atteint vers le milieu du XXIe siècle.
>> A lire ici : La photo d’un ours polaire squelettique suscite l’émotion sur la Toile
Ce réchauffement important des températures dans la région et le manque de glace pourraient donc porter atteinte aux habitats et accroître l’incidence de maladies chez des « espèces proies » telles que les phoques, aggravant ainsi les risques de mortalité pour les ours polaires.
« Les effets du changement climatique vont bien au-delà de cette espèce emblématique et représentent une menace que notre planète n’a jamais connue par le passé », affirme ainsi la directrice générale de l’UICN, Inger Andersen.
Entre 22.000 à 31.000 ours polaires dans le monde
Outre la perte de la banquise, la pollution, la prospection de ressources et les modifications des habitats dues aux activités humaines représentent aussi des menaces potentielles. L’exploitation pétrolière dans l’Arctique, par exemple, comporte un large éventail de dangers comme les marées noires.
La liste rouge de l’UICN comprend actuellement 79.837 espèces évaluées, dont 23.250 sont menacées d’extinction. Les ours polaires sont considérés comme étant « vulnérables », alors que selon l’UICN, qui publie régulièrement des mises à jour des plantes et animaux menacés dans le monde, il ne resterait qu’entre 22.000 et 31.000 ours polaires dans le monde (Etats-Unis, Canada, Norvège, Groenland et Russie).
D’après des prévisions récentes, des étendues importantes de l’archipel arctique canadien seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an à la fin du XXIe siècle. Dans d’autres parties de l’Arctique, ce seuil de cinq mois pourrait être atteint vers le milieu du XXIe siècle.
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Ce réchauffement important des températures dans la région et le manque de glace pourraient donc porter atteinte aux habitats et accroître l’incidence de maladies chez des « espèces proies » telles que les phoques, aggravant ainsi les risques de mortalité pour les ours polaires.
« Les effets du changement climatique vont bien au-delà de cette espèce emblématique et représentent une menace que notre planète n’a jamais connue par le passé », affirme ainsi la directrice générale de l’UICN, Inger Andersen.
Entre 22.000 à 31.000 ours polaires dans le monde
Outre la perte de la banquise, la pollution, la prospection de ressources et les modifications des habitats dues aux activités humaines représentent aussi des menaces potentielles. L’exploitation pétrolière dans l’Arctique, par exemple, comporte un large éventail de dangers comme les marées noires.
La liste rouge de l’UICN comprend actuellement 79.837 espèces évaluées, dont 23.250 sont menacées d’extinction. Les ours polaires sont considérés comme étant « vulnérables », alors que selon l’UICN, qui publie régulièrement des mises à jour des plantes et animaux menacés dans le monde, il ne resterait qu’entre 22.000 et 31.000 ours polaires dans le monde (Etats-Unis, Canada, Norvège, Groenland et Russie).
D’après des prévisions récentes, des étendues importantes de l’archipel arctique canadien seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an à la fin du XXIe siècle. Dans d’autres parties de l’Arctique, ce seuil de cinq mois pourrait être atteint vers le milieu du XXIe siècle.
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Ce réchauffement important des températures dans la région et le manque de glace pourraient donc porter atteinte aux habitats et accroître l’incidence de maladies chez des « espèces proies » telles que les phoques, aggravant ainsi les risques de mortalité pour les ours polaires.
« Les effets du changement climatique vont bien au-delà de cette espèce emblématique et représentent une menace que notre planète n’a jamais connue par le passé », affirme ainsi la directrice générale de l’UICN, Inger Andersen.
Entre 22.000 à 31.000 ours polaires dans le monde
Outre la perte de la banquise, la pollution, la prospection de ressources et les modifications des habitats dues aux activités humaines représentent aussi des menaces potentielles. L’exploitation pétrolière dans l’Arctique, par exemple, comporte un large éventail de dangers comme les marées noires.
La liste rouge de l’UICN comprend actuellement 79.837 espèces évaluées, dont 23.250 sont menacées d’extinction. Les ours polaires sont considérés comme étant « vulnérables », alors que selon l’UICN, qui publie régulièrement des mises à jour des plantes et animaux menacés dans le monde, il ne resterait qu’entre 22.000 et 31.000 ours polaires dans le monde (Etats-Unis, Canada, Norvège, Groenland et Russie).
D’après des prévisions récentes, des étendues importantes de l’archipel arctique canadien seront libres de glace pendant plus de cinq mois par an à la fin du XXIe siècle. Dans d’autres parties de l’Arctique, ce seuil de cinq mois pourrait être atteint vers le milieu du XXIe siècle.
>> A lire ici : La photo d’un ours polaire squelettique suscite l’émotion sur la Toile
Ce réchauffement important des températures dans la région et le manque de glace pourraient donc porter atteinte aux habitats et accroître l’incidence de maladies chez des « espèces proies » telles que les phoques, aggravant ainsi les risques de mortalité pour les ours polaires.
« Les effets du changement climatique vont bien au-delà de cette espèce emblématique et représentent une menace que notre planète n’a jamais connue par le passé », affirme ainsi la directrice générale de l’UICN, Inger Andersen.
Entre 22.000 à 31.000 ours polaires dans le monde
Outre la perte de la banquise, la pollution, la prospection de ressources et les modifications des habitats dues aux activités humaines représentent aussi des menaces potentielles. L’exploitation pétrolière dans l’Arctique, par exemple, comporte un large éventail de dangers comme les marées noires.
La liste rouge de l’UICN comprend actuellement 79.837 espèces évaluées, dont 23.250 sont menacées d’extinction. Les ours polaires sont considérés comme étant « vulnérables », alors que selon l’UICN, qui publie régulièrement des mises à jour des plantes et animaux menacés dans le monde, il ne resterait qu’entre 22.000 et 31.000 ours polaires dans le monde (Etats-Unis, Canada, Norvège, Groenland et Russie).