VIDEO. Le manchot, cet animal fidèle qui ne voit jamais son partenaire
SCIENCES•Les couples ne sont ensemble que 23% du temps, moins de trois mois par an, et pourtant ni le mâle ni la femelle ne va voir ailleurs...20 Minutes avec agences
« Nous avons cherché à savoir si les partenaires maintenaient le contact ou se retrouvaient dans des lieux spécialement dédiés à leurs retrouvailles », précisent les chercheurs, qui étaient armés d’outils de géolocalisation et de marqueurs biochimiques.
Continuellement séparés par des milliers de kilomètres
Résultats : ni contact, ni mini-rendez-vous discret entre deux glaciers. Les partenaires sont continuellement séparés par des centaines voire des milliers de kilomètres. Pour un couple, cette distance a d’ailleurs frôlé les 2.500 kilomètres au mois de juin, cela sans que son amour en pâtisse
« Les partenaires sont même éloignés les uns des autres pendant l’hiver alors que les mâles et les femelles peuvent se mélanger sur les aires d’hivernage. Cette constatation est vraiment intrigante », précise Jean-Baptiste Thiebot de l’Institut national de recherche polaire à Tokyo (Japon).
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
Ils se remettent ensemble à chaque retour de voyage
Au cours d’une année, les couples ne passeraient même qu’un temps limité ensemble. Ils sont réunis 20 à 30 jours pendant la période de reproduction, 2 à 3 jours lors de l’incubation, et les nuits des 70 premiers jours des poussins. Les partenaires ne sont donc ensemble que 23 % du temps, moins de 3 mois par an. Ce qui ne les empêche pas de se remettre ensemble à chaque retour de voyage : sur les dix couples étudiés, sept se sont reformés après l’hiver.
De fait, être séparés par des centaines de kilomètres la plus grande partie du temps n’empêche pas nos oiseaux marins d’être fidèles et « de se reproduire avec le même partenaire que l’année précédente », concluent les chercheurs. « Parfois mais rarement, deux anciens partenaires choisissent de nouveaux conjoints », nuance Jean-Baptiste Thiebot. Ici, deux manchots rentrés sans leur moitié se sont accouplés avec un nouveau partenaire. Les quatre oiseaux qui manquaient à l’appel, se sont intégrés à une autre colonie ou sont morts en mer, selon l’étude. Mieux vaut donc rester fidèle.
« Nous avons cherché à savoir si les partenaires maintenaient le contact ou se retrouvaient dans des lieux spécialement dédiés à leurs retrouvailles », précisent les chercheurs, qui étaient armés d’outils de géolocalisation et de marqueurs biochimiques.
Continuellement séparés par des milliers de kilomètres
Résultats : ni contact, ni mini-rendez-vous discret entre deux glaciers. Les partenaires sont continuellement séparés par des centaines voire des milliers de kilomètres. Pour un couple, cette distance a d’ailleurs frôlé les 2.500 kilomètres au mois de juin, cela sans que son amour en pâtisse
« Les partenaires sont même éloignés les uns des autres pendant l’hiver alors que les mâles et les femelles peuvent se mélanger sur les aires d’hivernage. Cette constatation est vraiment intrigante », précise Jean-Baptiste Thiebot de l’Institut national de recherche polaire à Tokyo (Japon).
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
Ils se remettent ensemble à chaque retour de voyage
Au cours d’une année, les couples ne passeraient même qu’un temps limité ensemble. Ils sont réunis 20 à 30 jours pendant la période de reproduction, 2 à 3 jours lors de l’incubation, et les nuits des 70 premiers jours des poussins. Les partenaires ne sont donc ensemble que 23 % du temps, moins de 3 mois par an. Ce qui ne les empêche pas de se remettre ensemble à chaque retour de voyage : sur les dix couples étudiés, sept se sont reformés après l’hiver.
De fait, être séparés par des centaines de kilomètres la plus grande partie du temps n’empêche pas nos oiseaux marins d’être fidèles et « de se reproduire avec le même partenaire que l’année précédente », concluent les chercheurs. « Parfois mais rarement, deux anciens partenaires choisissent de nouveaux conjoints », nuance Jean-Baptiste Thiebot. Ici, deux manchots rentrés sans leur moitié se sont accouplés avec un nouveau partenaire. Les quatre oiseaux qui manquaient à l’appel, se sont intégrés à une autre colonie ou sont morts en mer, selon l’étude. Mieux vaut donc rester fidèle.
« Nous avons cherché à savoir si les partenaires maintenaient le contact ou se retrouvaient dans des lieux spécialement dédiés à leurs retrouvailles », précisent les chercheurs, qui étaient armés d’outils de géolocalisation et de marqueurs biochimiques.
Continuellement séparés par des milliers de kilomètres
Résultats : ni contact, ni mini-rendez-vous discret entre deux glaciers. Les partenaires sont continuellement séparés par des centaines voire des milliers de kilomètres. Pour un couple, cette distance a d’ailleurs frôlé les 2.500 kilomètres au mois de juin, cela sans que son amour en pâtisse
« Les partenaires sont même éloignés les uns des autres pendant l’hiver alors que les mâles et les femelles peuvent se mélanger sur les aires d’hivernage. Cette constatation est vraiment intrigante », précise Jean-Baptiste Thiebot de l’Institut national de recherche polaire à Tokyo (Japon).
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
Ils se remettent ensemble à chaque retour de voyage
Au cours d’une année, les couples ne passeraient même qu’un temps limité ensemble. Ils sont réunis 20 à 30 jours pendant la période de reproduction, 2 à 3 jours lors de l’incubation, et les nuits des 70 premiers jours des poussins. Les partenaires ne sont donc ensemble que 23 % du temps, moins de 3 mois par an. Ce qui ne les empêche pas de se remettre ensemble à chaque retour de voyage : sur les dix couples étudiés, sept se sont reformés après l’hiver.
De fait, être séparés par des centaines de kilomètres la plus grande partie du temps n’empêche pas nos oiseaux marins d’être fidèles et « de se reproduire avec le même partenaire que l’année précédente », concluent les chercheurs. « Parfois mais rarement, deux anciens partenaires choisissent de nouveaux conjoints », nuance Jean-Baptiste Thiebot. Ici, deux manchots rentrés sans leur moitié se sont accouplés avec un nouveau partenaire. Les quatre oiseaux qui manquaient à l’appel, se sont intégrés à une autre colonie ou sont morts en mer, selon l’étude. Mieux vaut donc rester fidèle.
« Nous avons cherché à savoir si les partenaires maintenaient le contact ou se retrouvaient dans des lieux spécialement dédiés à leurs retrouvailles », précisent les chercheurs, qui étaient armés d’outils de géolocalisation et de marqueurs biochimiques.
Continuellement séparés par des milliers de kilomètres
Résultats : ni contact, ni mini-rendez-vous discret entre deux glaciers. Les partenaires sont continuellement séparés par des centaines voire des milliers de kilomètres. Pour un couple, cette distance a d’ailleurs frôlé les 2.500 kilomètres au mois de juin, cela sans que son amour en pâtisse
« Les partenaires sont même éloignés les uns des autres pendant l’hiver alors que les mâles et les femelles peuvent se mélanger sur les aires d’hivernage. Cette constatation est vraiment intrigante », précise Jean-Baptiste Thiebot de l’Institut national de recherche polaire à Tokyo (Japon).
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
Ils se remettent ensemble à chaque retour de voyage
Au cours d’une année, les couples ne passeraient même qu’un temps limité ensemble. Ils sont réunis 20 à 30 jours pendant la période de reproduction, 2 à 3 jours lors de l’incubation, et les nuits des 70 premiers jours des poussins. Les partenaires ne sont donc ensemble que 23 % du temps, moins de 3 mois par an. Ce qui ne les empêche pas de se remettre ensemble à chaque retour de voyage : sur les dix couples étudiés, sept se sont reformés après l’hiver.
De fait, être séparés par des centaines de kilomètres la plus grande partie du temps n’empêche pas nos oiseaux marins d’être fidèles et « de se reproduire avec le même partenaire que l’année précédente », concluent les chercheurs. « Parfois mais rarement, deux anciens partenaires choisissent de nouveaux conjoints », nuance Jean-Baptiste Thiebot. Ici, deux manchots rentrés sans leur moitié se sont accouplés avec un nouveau partenaire. Les quatre oiseaux qui manquaient à l’appel, se sont intégrés à une autre colonie ou sont morts en mer, selon l’étude. Mieux vaut donc rester fidèle.
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
« Nous avons cherché à savoir si les partenaires maintenaient le contact ou se retrouvaient dans des lieux spécialement dédiés à leurs retrouvailles », précisent les chercheurs, qui étaient armés d’outils de géolocalisation et de marqueurs biochimiques.
Continuellement séparés par des milliers de kilomètres
Résultats : ni contact, ni mini-rendez-vous discret entre deux glaciers. Les partenaires sont continuellement séparés par des centaines voire des milliers de kilomètres. Pour un couple, cette distance a d’ailleurs frôlé les 2.500 kilomètres au mois de juin, cela sans que son amour en pâtisse
« Les partenaires sont même éloignés les uns des autres pendant l’hiver alors que les mâles et les femelles peuvent se mélanger sur les aires d’hivernage. Cette constatation est vraiment intrigante », précise Jean-Baptiste Thiebot de l’Institut national de recherche polaire à Tokyo (Japon).
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
Ils se remettent ensemble à chaque retour de voyage
Au cours d’une année, les couples ne passeraient même qu’un temps limité ensemble. Ils sont réunis 20 à 30 jours pendant la période de reproduction, 2 à 3 jours lors de l’incubation, et les nuits des 70 premiers jours des poussins. Les partenaires ne sont donc ensemble que 23 % du temps, moins de 3 mois par an. Ce qui ne les empêche pas de se remettre ensemble à chaque retour de voyage : sur les dix couples étudiés, sept se sont reformés après l’hiver.
De fait, être séparés par des centaines de kilomètres la plus grande partie du temps n’empêche pas nos oiseaux marins d’être fidèles et « de se reproduire avec le même partenaire que l’année précédente », concluent les chercheurs. « Parfois mais rarement, deux anciens partenaires choisissent de nouveaux conjoints », nuance Jean-Baptiste Thiebot. Ici, deux manchots rentrés sans leur moitié se sont accouplés avec un nouveau partenaire. Les quatre oiseaux qui manquaient à l’appel, se sont intégrés à une autre colonie ou sont morts en mer, selon l’étude. Mieux vaut donc rester fidèle.
« Nous avons cherché à savoir si les partenaires maintenaient le contact ou se retrouvaient dans des lieux spécialement dédiés à leurs retrouvailles », précisent les chercheurs, qui étaient armés d’outils de géolocalisation et de marqueurs biochimiques.
Continuellement séparés par des milliers de kilomètres
Résultats : ni contact, ni mini-rendez-vous discret entre deux glaciers. Les partenaires sont continuellement séparés par des centaines voire des milliers de kilomètres. Pour un couple, cette distance a d’ailleurs frôlé les 2.500 kilomètres au mois de juin, cela sans que son amour en pâtisse
« Les partenaires sont même éloignés les uns des autres pendant l’hiver alors que les mâles et les femelles peuvent se mélanger sur les aires d’hivernage. Cette constatation est vraiment intrigante », précise Jean-Baptiste Thiebot de l’Institut national de recherche polaire à Tokyo (Japon).
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
Ils se remettent ensemble à chaque retour de voyage
Au cours d’une année, les couples ne passeraient même qu’un temps limité ensemble. Ils sont réunis 20 à 30 jours pendant la période de reproduction, 2 à 3 jours lors de l’incubation, et les nuits des 70 premiers jours des poussins. Les partenaires ne sont donc ensemble que 23 % du temps, moins de 3 mois par an. Ce qui ne les empêche pas de se remettre ensemble à chaque retour de voyage : sur les dix couples étudiés, sept se sont reformés après l’hiver.
De fait, être séparés par des centaines de kilomètres la plus grande partie du temps n’empêche pas nos oiseaux marins d’être fidèles et « de se reproduire avec le même partenaire que l’année précédente », concluent les chercheurs. « Parfois mais rarement, deux anciens partenaires choisissent de nouveaux conjoints », nuance Jean-Baptiste Thiebot. Ici, deux manchots rentrés sans leur moitié se sont accouplés avec un nouveau partenaire. Les quatre oiseaux qui manquaient à l’appel, se sont intégrés à une autre colonie ou sont morts en mer, selon l’étude. Mieux vaut donc rester fidèle.
« Nous avons cherché à savoir si les partenaires maintenaient le contact ou se retrouvaient dans des lieux spécialement dédiés à leurs retrouvailles », précisent les chercheurs, qui étaient armés d’outils de géolocalisation et de marqueurs biochimiques.
Continuellement séparés par des milliers de kilomètres
Résultats : ni contact, ni mini-rendez-vous discret entre deux glaciers. Les partenaires sont continuellement séparés par des centaines voire des milliers de kilomètres. Pour un couple, cette distance a d’ailleurs frôlé les 2.500 kilomètres au mois de juin, cela sans que son amour en pâtisse
« Les partenaires sont même éloignés les uns des autres pendant l’hiver alors que les mâles et les femelles peuvent se mélanger sur les aires d’hivernage. Cette constatation est vraiment intrigante », précise Jean-Baptiste Thiebot de l’Institut national de recherche polaire à Tokyo (Japon).
Infidélité : Les Français auraient entre 4 et 5 amants par an
Ils se remettent ensemble à chaque retour de voyage
Au cours d’une année, les couples ne passeraient même qu’un temps limité ensemble. Ils sont réunis 20 à 30 jours pendant la période de reproduction, 2 à 3 jours lors de l’incubation, et les nuits des 70 premiers jours des poussins. Les partenaires ne sont donc ensemble que 23 % du temps, moins de 3 mois par an. Ce qui ne les empêche pas de se remettre ensemble à chaque retour de voyage : sur les dix couples étudiés, sept se sont reformés après l’hiver.
De fait, être séparés par des centaines de kilomètres la plus grande partie du temps n’empêche pas nos oiseaux marins d’être fidèles et « de se reproduire avec le même partenaire que l’année précédente », concluent les chercheurs. « Parfois mais rarement, deux anciens partenaires choisissent de nouveaux conjoints », nuance Jean-Baptiste Thiebot. Ici, deux manchots rentrés sans leur moitié se sont accouplés avec un nouveau partenaire. Les quatre oiseaux qui manquaient à l’appel, se sont intégrés à une autre colonie ou sont morts en mer, selon l’étude. Mieux vaut donc rester fidèle.