Alimentation : «SUSIBA2», ce «super riz» capable de combattre le réchauffement et la malnutrition
SANTE•Il permettra d'alléger les effets néfastes sur l'environnement de la culture en rizières tout en augmentant la production de 70% d’ici 2050 …20 Minutes avec agences
Des chercheurs ont mis au point un riz génétiquement modifié très nourrissant et à faible émission de méthane. Une avancée en matière de nutrition et de protection de l’environnement, dixit ces auteurs d’une étude publiée, ce mercredi, dans la revue britannique Nature.
Créé par Chuanxin Sun, chercheur de l’Université suédoise des sciences agricoles et ses collègues, ce super riz, baptisé « SUSIBA2 », a été obtenu grâce à la modification de riz par un gène d’orge.
Il stocke les sucres dans ses tiges et ses graines
« Testé et cultivé en Chine pendant trois ans », le végétal modifié a la particularité de stocker les sucres produits par la photosynthèse dans ses tiges et ses graines plutôt que dans ses racines. On obtient donc un riz à haute teneur en amidon, sucre complexe et principal apport en calorie des céréales.
Créé par Chuanxin Sun, chercheur de l’Université suédoise des sciences agricoles et ses collègues, ce super riz, baptisé « SUSIBA2 », a été obtenu grâce à la modification de riz par un gène d’orge.
Il stocke les sucres dans ses tiges et ses graines
« Testé et cultivé en Chine pendant trois ans », le végétal modifié a la particularité de stocker les sucres produits par la photosynthèse dans ses tiges et ses graines plutôt que dans ses racines. On obtient donc un riz à haute teneur en amidon, sucre complexe et principal apport en calorie des céréales.
Créé par Chuanxin Sun, chercheur de l’Université suédoise des sciences agricoles et ses collègues, ce super riz, baptisé « SUSIBA2 », a été obtenu grâce à la modification de riz par un gène d’orge.
Il stocke les sucres dans ses tiges et ses graines
« Testé et cultivé en Chine pendant trois ans », le végétal modifié a la particularité de stocker les sucres produits par la photosynthèse dans ses tiges et ses graines plutôt que dans ses racines. On obtient donc un riz à haute teneur en amidon, sucre complexe et principal apport en calorie des céréales.
Selon les auteurs de cette découverte, SUSIBA2 répond aux nouvelles contraintes de l’agriculture : alléger son empreinte sur l’environnement tout en augmentant sa production de 70 % d’ici 2050 pour répondre aux besoins croissants de la population mondiale. Ceci alors que « la culture du riz est un des responsables des émissions de gaz à effet de serre, source du réchauffement ».
Les rizières responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane
En effet, selon les scientifiques, cette culture émet principalement du méthane (40 % des émissions) et de l’oxyde d’azote (50 %), des gaz au pouvoir respectivement 30 fois et 300 fois plus réchauffant que le CO2. Les rizières sont, elles, responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane. « Le SUSIBA2 est le premier riz à basse émission de méthane et pourrait offrir une solution durable au problème », avancent Chuanxin et ses collègues.
Selon les auteurs de cette découverte, SUSIBA2 répond aux nouvelles contraintes de l’agriculture : alléger son empreinte sur l’environnement tout en augmentant sa production de 70 % d’ici 2050 pour répondre aux besoins croissants de la population mondiale. Ceci alors que « la culture du riz est un des responsables des émissions de gaz à effet de serre, source du réchauffement ».
Les rizières responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane
En effet, selon les scientifiques, cette culture émet principalement du méthane (40 % des émissions) et de l’oxyde d’azote (50 %), des gaz au pouvoir respectivement 30 fois et 300 fois plus réchauffant que le CO2. Les rizières sont, elles, responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane. « Le SUSIBA2 est le premier riz à basse émission de méthane et pourrait offrir une solution durable au problème », avancent Chuanxin et ses collègues.
Selon les auteurs de cette découverte, SUSIBA2 répond aux nouvelles contraintes de l’agriculture : alléger son empreinte sur l’environnement tout en augmentant sa production de 70 % d’ici 2050 pour répondre aux besoins croissants de la population mondiale. Ceci alors que « la culture du riz est un des responsables des émissions de gaz à effet de serre, source du réchauffement ».
Les rizières responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane
En effet, selon les scientifiques, cette culture émet principalement du méthane (40 % des émissions) et de l’oxyde d’azote (50 %), des gaz au pouvoir respectivement 30 fois et 300 fois plus réchauffant que le CO2. Les rizières sont, elles, responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane. « Le SUSIBA2 est le premier riz à basse émission de méthane et pourrait offrir une solution durable au problème », avancent Chuanxin et ses collègues.
Selon les auteurs de cette découverte, SUSIBA2 répond aux nouvelles contraintes de l’agriculture : alléger son empreinte sur l’environnement tout en augmentant sa production de 70 % d’ici 2050 pour répondre aux besoins croissants de la population mondiale. Ceci alors que « la culture du riz est un des responsables des émissions de gaz à effet de serre, source du réchauffement ».
Les rizières responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane
En effet, selon les scientifiques, cette culture émet principalement du méthane (40 % des émissions) et de l’oxyde d’azote (50 %), des gaz au pouvoir respectivement 30 fois et 300 fois plus réchauffant que le CO2. Les rizières sont, elles, responsables de près de 17 % des émissions mondiales de méthane. « Le SUSIBA2 est le premier riz à basse émission de méthane et pourrait offrir une solution durable au problème », avancent Chuanxin et ses collègues.