Euro 2016: Les people du match France-Albanie
DiaporamaLa rédaction de 20 Minutes
Le match des Bleus contre les Rouge et Noir a été haut en couleur. Mais l'ambiance se situait davantage dans les tribunes que sur la pelouse. Tout le monde a retenu son souffle pendant 89 minutes. Sourires et larmes de joie ont remplacé la crispation avec les deux buts libérateurs. Qui était là pour voir l'équipe nationale française se qualifier pour les 8es de finale? Petit tour d'horizon.
Photo: Les femmes, compagnes et enfants des footballeurs français étaient les premiers à vivre tout plein d'émotions pendant cette rencontre.
Le match des Bleus contre les Rouge et Noir a été haut en couleur. Mais l'ambiance se situait davantage dans les tribunes que sur la pelouse. Tout le monde a retenu son souffle pendant 89 minutes. Sourires et larmes de joie ont remplacé la crispation avec les deux buts libérateurs. Qui était là pour voir l'équipe nationale française se qualifier pour les 8es de finale? Petit tour d'horizon.
Photo: Les femmes, compagnes et enfants des footballeurs français étaient les premiers à vivre tout plein d'émotions pendant cette rencontre.
Le président François Hollande était dans les tribunes pour soutenir l'équipe nationale.
Il était légèrement crispé.
La compagne de Morgan Schneiderlin, Camille Sold, a gardé la sourire tout le temps. Chapeau!
Sarah Mandanda explique à son fils Sacha qu'il «ne doit pas bouder» et qu'«à la fin, ils vont gagner.»
Manuel Matuidi, le frère de Blaise Matuidi, a eu quelques moments de doute.
La femme de Blaise, Isabelle Matuidi, était prête à tweeter «Dommage!» et puis non.
Un petit souvenir pour Jennifer Giroud.
Ludivine Payet réconforte son fils Noa.
Et elle a eu raison, Ludivine Payet. Le papa de Noa, Dimitri, a mis un but à la toute fin du match.
Yeo Moriba (à droite), la maman de Paul Pogba, est venue soutenir son fiston contre vents et marées.
La femme de Kingsley Coman, Sephora Coman (à droite), était sûre que tout cela finirait bien.
Ludivine Sagna, la femme de Bacary, a eu le sourire crispé un long, long moment.
Et puis, ce fut la joie.