Britney Spears est à nouveau dans le radar des rumeurs, et elle en a assez. Au cours du week-end, le Daily Mail a indiqué dans un article avoir évoqué les problèmes d’addiction supposés de la chanteuse avec son ex, Kevin Federline. Selon la journaliste Daphne Barak, le danseur de 45 ans aurait confié : « Je crains qu’elle ne soit sous méthamphétamine - je prie pour que quelqu’un en parle et qu’elle se réveille… C’est terrifiant. C’est la mère de mes garçons. »

Britney Spears et Kevin Federline ont été mariés entre 2004 et 2007. La star lui a récemment donné l’autorisation de déménager avec leurs garçons, avec qui elle entretient des relations compliquées, à Hawaï.

Sur la même longueur d’onde

Après avoir lu l’article, l’interprète de Toxic a fait part, sur Instagram, du mal que ces allégations lui ont fait. « Le fait que les gens répandent des choses fausses est tellement triste (…) Il se peut même que ce ne soit pas eux qui aient dit ça, car cela n’a aucun sens pour moi », a-t-elle notamment déclaré. « Cela me rend triste parce que j’ai essayé de faire les choses bien, mais ce n’est jamais assez. Vous parlez de moi derrière mon dos… Ça me brise le cœur, c’est vraiment bas. J’espère qu’il s’agit juste d’informations haineuses et que Kevin et Preston n’ont rien dit de tel », a-t-elle ajouté.

De son côté, Kevin Federline a démenti avoir tenu de tels propos, les qualifiant, dans une Story, de « faux », « répugnants » et « blessants » pour les fils qu’il partage avec l’artiste, Sean Preston, 17 ans, et Jayden James, 16 ans. « Les mensonges et les tentatives d’exploitation des mineurs sont des appâts à clics et un exemple répugnant de l’état dans lequel, malheureusement, un certain journalisme a sombré aujourd’hui », a-t-il ajouté.

Justice

De son côté, Kevin Federline a démenti avoir tenu de tels propos, les qualifiant, dans une Story, de « faux », « répugnants » et « blessants » pour les fils qu’il partage avec l’artiste, Sean Preston, 17 ans, et Jayden James, 16 ans. « Les mensonges et les tentatives d’exploitation des mineurs sont des appâts à clics et un exemple répugnant de l’état dans lequel, malheureusement, un certain journalisme a sombré aujourd’hui », a-t-il ajouté.

« Le Daily Mail, par l’intermédiaire de Daphne Barak, a publié hier un article contenant de nombreuses informations fausses et diffamatoires concernant ma cliente Britney Spears, attribuées à Kevin Federline et à ses enfants, en particulier en ce qui concerne la "méthamphétamine". J’ai appris également qu’à plusieurs reprises, Mme Barak a cherché à contacter Britney sous de faux prétextes, encore une fois ses enfants mineurs, ce qui est une exploitation, un harcèlement et un outrage. De plus, les représentants de Britney n’ont jamais été contactés avant la publication de l’article, ce qui démontre une réelle malveillance et un mépris inconsidéré de la vérité », a-t-il écrit.

Et de conclure : « Britney est certes un personnage public, mais cette conduite dépasse les bornes et est tout à fait inacceptable. C’est minable, même selon les standards actuels du "journalisme" et les jugements injustes dont elle a fait l’objet. »