INTERVIEWThierry Lhermitte: «Je ne m'explique ni les succès, ni les échecs»

Thierry Lhermitte: «Je ne m'explique ni les succès, ni les échecs»

INTERVIEWL'acteur, tête d'affiche de la Fête pour la Vie, répond à nos questions sur des sujets variés...
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Suite d’un hôtel luxueux du 16e arrondissement, à Paris. Thierry Lhermitte n’est pas là pour parler de cinéma. Ce qui lui tient à cœur, c’est l’association pour la recherche médicale dont il est parrain. 20minutes.fr lui a demandé de réagir au projet de loi Création et Internet et au remake en préparation du «Dîner de cons».


Que pensez-vous de la loi Création et Internet?

Je me sens concerné en tant qu’artiste et créateur parce qu’il faut remédier au désastre qui met en péril l’industrie du cinéma et de la musique. Les industries ont été bien tardives à mettre en place une offre légale en laissant le champ à l’illégal. J’espère qu’elles vont rattraper le retard.




Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.




Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.



Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.




Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.



Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.




Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.
remake américain du «Dîner de cons»


Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.



Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.




Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.



Pourquoi parrainer la Fondation pour la recherche médicale (FRM)?
Je le fais depuis cinq ans parce que le financement de la recherche médicale par des fonds privés est très important. La recherche en France est financée 1/3 par l’Etat, 1/3 par les entreprises, 1/3 par les dons privés. Or un programme d’Etat, c’est énorme, ça doit être voté, ça met du temps à se mettre en place. Alors que l’argent des dons privés, c’est distribué tout de suite.

Souvent, on ne se retrouve pas par hasard dans ce genre d’association. Y a-t-il eu quelque chose dans votre vie qui vous a poussé vers la recherche médicale?
Non, rien de particulier.

Aurez-vous un regard sur le remake américain du «Dîner de cons», tourné prochainement sous le titre «Dinner For Schmucks»?
Non, car je n’étais que l’interprète du film. Si j’avais été auteur, j’aurais touché des sous. Mais l’auteur, c’est Francis Veber, qui va en profiter, et il a bien raison. C’est le quatrième film dans lequel je joue qui fera l’objet d’un remake. Certains sont formidables, comme les remakes de «La totale», «True Lies», ou «La cage aux folles». D’autres sont moins bons.

Comment expliquez-vous que «Les Bronzés» fassent toujours de bonnes audiences à la télévision (7,44 millions de téléspectateurs devant la dernière diffusion sur TF1 le 3 mars)?
Je n’en sais rien, je m’en réjouis, mais je ne m’explique ni les succès ni les échecs. On ne peut que les constater.

Le 3 avril, la FRM organise une soirée Fête pour la vie à la foire du Trône pour récolter des fonds. 20 euros l'entrée.