Non, la maison de Johnny Hallyday n’est pas à vendre. Sébastien Farran, mana­ger de l’ar­tiste et proche de la famille, a déclaré dans une interview au JDD qu’il songeait plutôt à y ériger un mémorial : « Une sorte de Grace­land [la rési­dence de Memphis ayant appar­tenu à Elvis Pres­ley] ? Pourquoi pas, à Marnes-la-Coquette ».

En tout cas, pas question de se séparer de la villa. « Johnny m’avait demandé de conti­nuer à me battre pour sa mémoire, avec Laeti­cia, de déve­lop­per son legs artis­tique, comme de fina­li­ser l’al­bum qu’il avait commencé avant de partir », a expliqué le manager. « Et de proté­ger, comme on deman­de­rait à un pote, sa femme et ses filles ».

La maison mise en vente puis retirée

Avant la mort du rockeur le 5 décembre, la maison de 900 mètres carrés dotée d’un jardin de 5.000 m² avait été mise en vente mais n’avait pas trouvé d’acheteur.

Après la mort du chanteur, il se murmurait que Laeticia Hallyday voulait se débarrasser de ce bien chargé de souvenirs douloureux. C’est en effet dans son bureau aménagé au rez-de-chaussée que le chanteur a passé ses derniers instants.

Soutien indéfectible de Laeticia

Sébastien Farran a pris la défense de Laeticia Hallyday. « On la présente presque comme une sorcière », a-t-il déploré, dénonçant une « campagne calomnieuse orchestrée pour démolir son image, sa réputation, et celle de son mari ».

Celui qui se décrit comme le « plus indéfectible soutien » de Laeticia est revenu sur la bataille qui oppose la veuve aux enfants aînés du chanteur. Il explique avoir « très peu vu » David et Laura en l’espace de sept ans. « Pourtant, ils étaient invités à Saint-Barth, ou à Los Angeles pour Noël, mais ils ne venaient pas », a encore relaté Sébastien Ferran. « On les voyait parfois aux concerts à Paris ».