À en croire les documents obtenus par NME, R. Kelly aurait été expulsé de deux maisons qu’il louait à Johns Creek, une banlieue d’Atlanta. Par ailleurs, le chanteur aurait accumulé les impayés, devant à ce jour 31.000$ à la société SB Property Management Global.

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Pour autant, le rapport ne fait pas état d’une investigation criminelle. Aucun lien entre ces maisons et les récentes accusations d’abus sexuels visant le chanteur n’a été fait.

L’affameur

En effet, il y a quelques mois, R. Kelly a fait l’objet d’une enquête troublante : il serait à la tête d’un « culte » autour de sa personne, voué à contrôler et abuser des jeunes femmes qui espèrent débuter dans l’industrie musicale.

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Si le chanteur a nié en bloc cette accusation, il a été également accusé d’abus sexuel et de manipulation par une ex-petite amie. Pire encore, cette dernière a affirmé que le chanteur la punissait en l’affamant.