Johnny Hallyday «va bien», assure son manager
PEOPLE•Le chanteur, atteint d’un cancer du poumon, «sera prochainement là pour le montrer» a assuré ce lundi lundi son manager Sébastien Farran...20 Minutes avec AFP
Avis aux fans inquiets : Johnny va bien. C’est son manager qui l’a assuré à nouveau ce lundi. « Aujourd’hui il va bien, il a un cancer du poumon comme on le sait tous. Il se soigne, il n’y a pas péril en la demeure. Il va bien, voilà. Il se bat, il est là et il sera prochainement là pour le montrer », a déclaré ce lundi Sébastien Farran en conférence de presse.
Un album préparation et une nouvelle tournée ?
Il s’exprimait à l’occasion de la promotion d’un disque hommage On a tous quelque chose de Johnny, à paraître le 17 novembre. Il n’a précisé ni à quelle occasion ni à quelle échéance, la star se montrerait de nouveau en public.
« Johnny a un album en cours d’enregistrement qui ne va pas tarder à entrer dans sa finalisation », a-t-il rappelé, ajoutant qu’il espérait le voir paraître « courant 2018 ».
Interrogé sur la prochaine tournée que l’artiste de 74 ans a annoncée cet été, Sébastien Farran a affiché son optimisme : « C’est clair ! Mais pas forcément en 2018, parce que Johnny dans toute sa carrière a laissé un espace de deux ans entre une fin de tournée et le début d’une autre. Il a fait des dates en 2017. 2018 c’est un peu présomptueux », a-t-il déclaré à l’AFP.
Malgré le cancer, dont il a annoncé lui-même être atteint en mars, Johnny Hallyday a en effet tenu son engagement lors de la tournée des Vieilles Canailles en juin et juillet, avec ses copains Jacques Dutronc et Eddy Mitchell.
Rumeurs alarmistes
Il suit actuellement un traitement à Paris. Et, par le biais de sa compagne Laeticia, s’efforce de donner des nouvelles rassurantes sur sa santé sur les réseaux sociaux, alors que des rumeurs alarmistes sont apparues ces dernières semaines dans certains médias.
« Ça ne sert à rien de démentir, a affirmé Sébastien Farran. Il y a toute une presse qu’on connaît très bien, qui vit de ce genre de choses. Soit on attaque quand c’est attaquable, soit on laisse courir. C’est dommage car ils ne se rendent pas compte que la famille de l’intéressé lit possiblement ce qu’ils écrivent ».