Julia Roberts n’était pas tendre à ses débuts
PEOPLE•L’actrice était très exigeante...20 Minutes avec agences
À l’approche de ses 50 ans qu’elle célébrera le 28 octobre prochain, Julia Roberts a révélé une facette peu connue de sa personnalité, notamment à ses débuts, au magazine Harper’s Bazaar dont elle fait la couverture.
« J’étais ma priorité, une petite connasse égoïste qui s’agitait à faire des films », a révélé Julia Roberts, interrogée sur ses plus jeunes années.
Très sélective dans le choix de ses rôles au cinéma depuis toujours, l’actrice a également confié avoir souvent fait la fine bouche face aux propositions qui lui étaient faites dans sa jeunesse. « Je n’ai pas travaillé pendant quelques années aux alentours de mes 20 ans parce qu’on me proposait des scénarios et je me disais : "Est-ce que c’est moi ou est-ce que tout est mauvais ?" Je me disais que je pouvais payer mon loyer en attendant que quelque chose de bon arrive », a-t-elle repris.
Toutefois, Julia Roberts reconnaît que c’était en partie dû au fait qu’elle a été plutôt vernie dès ses débuts. « J’avais été gâtée avec de super rôles déjà, alors je me disais : "Pourquoi faire ce rôle avec cette personne-là, alors que je faisais ce rôle avec ces personnes-là !" ».
Une rencontre qui a tout changé
Aujourd’hui mère de deux enfants, Julia Roberts affirme que c’est sa rencontre avec son mari, le cinéaste Danny Moder, qui a tout changé pour le meilleur. « C’est d’avoir rencontré Danny… D’avoir trouvé ma moitié. Quand je pense à ce qui compose ma vie, et qui lui donne un sens et brille à l’intérieur de moi-même, c’est lui. Tout est venu de là pour moi », a affirmé l’actrice sur sa métamorphose.