PROCESLes héritiers de Tupac traînés au tribunal pour des royalties impayés

Les héritiers de Tupac traînés au tribunal pour des royalties impayés

PROCESLa chanteuse Natasha Walker veut sa part du gâteau…
20 Minutes avec agences

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Tupac continue d’exister aujourd’hui à travers sa musique qui lui a valu immense succès international. Néanmoins, il semblerait que les bénéfices de ses opus n’aient pas toujours été reversés comme il le fallait. C’est la raison pour laquelle la chanteuse Natasha Walker du groupe Y?N-Vee poursuit à présent les héritiers du rappeur en justice.

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Selon les informations de TMZ, cette dernière réclame des royalties pour les voix qu’elle a enregistrées et qui ont été utilisées sur la chanson Bury Me a G, extraite de l’album du rappeur Thug Life: Volume 1, sorti en 1994.

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Un accord non respecté

Alors que le nom de Natasha Walker apparaît même parmi les crédits de la chanson, la chanteuse n’a jamais vu la couleur de l’argent qui lui était normalement dû. À nouveau selon TMZ, cette dernière affirme pourtant avoir passé un deal avec Tupac en 1993 qui stipulait bien que le morceau provenait d’une participation commune et qu’il lui revenait ainsi les mêmes droits d’auteur que lui.

Selon Jennifer Harris, l’avocate de la chanteuse, leur morceau continue de générer de l’argent et continuera également dans le futur. Natasha Walker réclame ainsi toutes les royalties qui lui sont dues, plus les dommages, ainsi que le remboursement de ses frais d’avocat.

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En attendant, les héritiers de Tupac n’ont pas encore souhaité faire de commentaires à ce sujet. Toutefois, la loi de Miami pourrait aller dans leur sens car elle stipule que les réclamations doivent normalement se faire dans les quatre ans qui suivent la signature du contrat.