ECHECVIDEO. Ewan McGregor a du mal à digérer le flop de sa première réalisation au cinéma

VIDEO. Ewan McGregor a du mal à digérer le flop de sa première réalisation au cinéma

ECHECL’acteur accuse le coup…
Ewan McGregor lors de la première de La Belle et la Bête à New York en mars 2017
Ewan McGregor lors de la première de La Belle et la Bête à New York en mars 2017 - WENN
20 Minutes avec agences

20 Minutes avec agences

Ewan McGregor s’est essayé à la réalisation avec American Pastoral, inspiré du roman du même nom de Philip Roth. Malheureusement pour lui, il a reçu des critiques mitigées et le film n’a rapporté que 1,6 million de dollars de recettes au box-office.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Un échec que l’acteur a toujours en travers de la gorge. « Environ 18 personnes sont allées le voir au cinéma, a-t-il déploré lors d’un entretien avec Variety. C’est quelque chose qui m’a changé, d’une certaine manière. Vraiment. Je me suis toujours senti connecté à mon travail. Et comment il m’appartient, en tant qu’acteur. Quand un film ne marchait pas vraiment au box-office, je me disais : " Ok, j’en ai tiré quelque chose, c’était une riche expérience, peu importe ". Mais là, parce que c’est un film que j’ai fait, j’ai trouvé ça très dur de gérer le fait que les gens ne soient pas allés le voir au cinéma ».

Mauvais timing

Comme Ewan McGregor l’explique au cours de son interview croisée avec Nicole Kidman, il n’est pourtant pas le seul responsable. « Le timing, tout ça, a-t-il commenté. Mais ça a aussi un lien avec le genre du film. J’y ai évidemment beaucoup pensé. Et je pense que c’est le genre de film que les gens vont moins voir au cinéma. Ils vont voir des biopics ou des films d’horreur. »

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Malgré tout, Ewan McGregor ne peut pas s’empêcher d’avoir un petit pincement au cœur. « Je crois que maintenant on a tellement accès aux films, dans nos canapés, chez nous, nos téléphones, avec la génération de nos enfants, a-t-il ajouté, un brin amer. On met du temps et des efforts à faire de beaux films, et eux vont les regarder sur des iPhones. »