La vie n’est pas tendre avec Mischa Barton ces temps-ci. Non seulement l’ancienne star de Newport Beach aurait été droguée à son insu le soir de son anniversaire, mais en plus, un ex malveillant la menace de diffuser leur sextape, filmée selon elle sans son consentement.

Si l’affaire n’a commencé à faire du bruit que récemment, l’actrice raconte aujourd’hui dans une émission du Dr. Phil qui sera diffusée lundi, mais dont TMZ a obtenu des extraits, être au courant depuis plusieurs mois. « Quelqu’un est venu me voir dans la rue, devant chez moi, et m’a dit : "Il y a quelque chose que je dois te dire", a-t-elle raconté. Je n’y croyais pas au début, je n’arrivais pas à y croire, parce que j’ai aimé cette personne, et je ne pensais pas que c’était possible, puis après, j’ai compris que c’était tout à fait possible. »

Un chantage abusif

Mischa Barton a ensuite précisé de pas avoir été « à proprement parler » menacée d’une éventuelle diffusion, mais assure avoir subi « un chantage émotionnel total », qui l’a menée à « prendre ses distances avec ces personnes immédiatement ». « On ne peut pas faire grand-chose. Ce n’est plus vraiment de votre ressort, a-t-elle poursuivi. (…) J’ai fait l’erreur de me mettre dans cette situation avec cette personne, donc je me suis éloignée aussi rapidement que possible, mais ensuite, ça a continué à être de l’abus émotionnel total, pendant plusieurs mois. »

Avant cela, la star avait déjà décidé de prendre le taureau par les cornes en donnant une conférence de presse afin de rétablir sa vérité, et de « protéger » les femmes dans son cas de « la douleur et l’humiliation » que peuvent provoquer de telles nuisances.

Elle a également obtenu une ordonnance restrictive contre Jon Zacharias et Adam Shaw, qu’elle suspecte tous les deux de vouloir vendre la vidéo. Son avocate, Lisa Bloom, a mis en garde ceux qui voudraient diffuser la sextape. « Nous vous trouverons, et nous ne vous lâcherons pas, a-t-elle déclaré dans un communiqué. Nous vous poursuivrons avec toutes les lois, criminelles et civiles, dont nous disposons. Vous agissez à vos risques et périls. »