Gillian Anderson se livre sur sa santé mentale et sa peur de la dyslexie
TELEVISION•L’actrice suit une thérapie depuis l’âge de 14 ans…20 Minutes avec agences
Gillian Anderson vient de sortir un livre écrit avec l’une de ses très bonnes amies, We : A Manifesto For Women Everywhere dans lequel elle dévoile quelques techniques pour se sentir mieux dans sa peau.
Comme elle le révèle au Guardian, l’actrice elle-même a eu des hauts et des bas et voit régulièrement quelqu’un en thérapie depuis l’âge de 14 ans. « Il y a eu des moments dans ma vie, où ça n’allait vraiment pas. Il y a eu des moments où je ne voulais pas sortir de la maison », confie celle qui a incarné pendant des années l’agent Dana Scully dans X-Files.
aLa peur de la dyslexie
Outre le besoin d’être suivie, Gillian Anderson confie qu’elle a très peur d’être dyslexique. Jamais diagnostiquée, elle ne veut pas que ça change le regard qu’elle a sur sa vie.
« Quelqu’un m’a dit que la dyslexie, ce n’est pas seulement une question de lire les mots à l’envers, mais aussi d’assimiler l’information. J’ai toujours eu peur de savoir, parce que j’ai peur de découvrir quelque chose, et de ne plus pouvoir faire tout ce que je veux faire », ajoute Gillian Anderson.
Si l’actrice pense à la dyslexie, elle assure aussi qu’elle a un vrai problème de mémoire. D’ailleurs, elle a engagé un professeur d’histoire afin de maîtriser son sujet pour le tournage de Viceroy’s House, mais cela ne s’est pas bien passé. « C’était un désastre, je ne me souvenais de rien. J’ai pris des notes, bla, bla, bla, mais je ne me souvenais de rien de ce qu’il m’avait appris. Rien. (…) Mais vous savez, même mes livres préférés, je ne pourrais pas vous dire de quoi ils parlent. Ça a toujours été comme ça », précise Gillian Anderson.