Emily Ratajkowski s’est encore fait pirater
INTERNET•La comédienne et mannequin est une cible privilégiée des hackers...20 Minutes avec agences
Emily Ratajkowski s’est encore fait pirater son compte iCloud. Pas de chance pour le modèle, qui n’en est pas à son premier hacking.
Alors que sur les réseaux, certains se sont déjà amusés à réclamer des photos d’elle habillée plutôt que nue, l’éditorialiste du Daily Star qui a reçu le lot de nouvelles photos a préféré les mettre de côté. « La semaine dernière, j’ai reçu un message sur Twitter. Je ne connaissais pas l’expéditeur, mais j’ai jeté un œil, a raconté Helen Wood dans son édito. C’était un lien vers des photos iCloud d’Emily Ratajkowski. Ce clown me demandait de les publier dans mon édito. Je vais être claire. On n’était pas dans des photos volées au coin d’une rue de deux stars en train de se galocher. Il s’agissait d’un échange privé entre deux personnes. Je sais qu’il y a des fous partout. Mais je trouve ça vraiment dégue*lasse. »
Victime de son succès
Emily Ratajkowski avait explosé au moment de la sortie de Blurred Lines, la chanson de Robin Thicke dont le succès devait beaucoup aux déambulations de la jeune femme simplement couverte d’une petite culotte dans son clip. Modèle, et comédienne – on l’a notamment vue dans Gone Girl de David Fincher face à Ben Affleck – Emily Ratajkowski était immédiatement devenue une figure culte. D’autant qu’elle revendiquait volontiers de n’avoir pas froid aux yeux.
Plus souvent nue qu’habillée à une époque, aujourd’hui, elle a décidé de changer un peu d’optique, mais malheureusement pour elle, son passé la rattrape régulièrement. Une première fois en 2014, au moment du sinistre Fappening, un hacking de grosse ampleur qui avait permis de publier des centaines de photos volées sur les téléphones de différentes stars.
Ensuite, l’année dernière, quand le photographe Jonathan Leder avait décidé de sortir un beau livre de photos qu’il avait prises de celle qui était alors sa muse, en 2012. Une exploitation qu’Emily Ratajkowski avait alors condamnée.
« Je ne voulais pas parler des photos récemment sorties par Jonathan Leder pour éviter de lui faire de la publicité, avait-elle écrit sur Twitter. Mais j’en ai assez. Le livre et les images qu’il contient sont une violation d’exploitation. »