Sofia Vergara poursuivie en justice par… ses propres embryons!
PEOPLE•L’actrice est au cœur d’une bataille judiciaire pour le moins incongrue…20 Minutes avec agences
Sofia Vergara se retrouve au cœur d’une bataille judiciaire peu commune. La star de la série Modern Family, avait envisagé la fécondation in vitro avec son ex, Nick Loeb, en 2013. Elle est aujourd’hui poursuivie par ses propres embryons.
Comme le rapporte le New York Post, elle fait l’objet d’une plainte en Louisiane - un Etat où les embryons sont considérés comme des personnes à part entière - car elle a décidé de ne jamais les faire décongeler, étant aujourd’hui mariée à Joe Manganiello.
Incroyable mais vrai, les deux embryons, baptisés « Emma » et « Isabella », dans les documents que mentionne Page Six, figurent parmi les plaignants. C'est une organisation établie pour les représenter qui a porté plainte pour eux. Il est reproché à l’actrice d’avoir « abandonné et chroniquement négligé » ces embryons, en « refusant de consentir à leur développement ou leur soin. »
Une bataille judiciaire sans fin…
Tout a commencé en 2013, lorsque Sofia Vergara et Nick Loeb ont décidé de congeler des embryons, opération qu’ils ont reconduite l’année suivante, comme le rappelle Page Six.
Les choses se sont toutefois compliquées suite à leur rupture en mai 2014. Face à la volonté de l’actrice de ne jamais faire décongeler ses embryons, Nick Loeb a lancé une action en justice quelques mois après leur séparation, rappelant notamment qu’elle s’était « engagée moralement ». Le juge a finalement donné raison à Sofia Vergara, et l’homme d’affaires, après avoir fait appel, a décidé de suspendre ses démarches de poursuite.
La nouvelle action lancée ce mardi contre Sofia Vergara remet notamment en cause le contrat qu’elle et son ex avaient signé à Beverly Hills, dans lequel il était stipulé qu’aucune des deux parties ne pouvait utiliser les embryons sans le consentement de l’autre. Il est également rappelé à l’actrice qu’elle n’a pas signé de clause concernant la rupture, et les plaignants souhaitent que Nick Loeb obtienne la responsabilité exclusive des embryons.