Bryan Cranston est prêt à s’expatrier
POLITIQUE•Le comédien déclare qu’il partira vivre au Canada si Donald Trump est élu…20 Minutes avec agences
n’a jamais eu peur de donner ses opinions politiques. A 57 ans, le comédien révélé par la série Breaking Bad profite désormais d’une célébrité bien méritée, dont il se sert régulièrement pour prendre position dans différents débats. Et comme une grande partie de l’industrie en ce moment, il est bien remonté contre .
Alors qu’il interprétait récemment l’ancien Lyndon Johnson dans le téléfilm All the Way pour HBO, il a déclaré que si Donald Trump gagnait les futures élections présidentielles, il déserterait tout bonnement son pays.
« Absolument. Je déménagerais clairement au . Mais pour moi, ça ne peut pas arriver. Enfin, je prie pour que ça n’arrive pas, a-t-il confié au Hollywood Reporter. Ce ne serait pas des vacances. Je serais un expatrié. »
Tous derrière et lui devant
Ce n’est pas la première fois que Bryan Cranston prend parti pour . Ou plutôt contre Donald Trump. Il n’est pas le seul à avoir décidé de quitter le territoire si ce dernier était élu aux élections qui auront lieu le 8 novembre. Miley Cyrus, Lena Dunham, Cher ou encore Whoopi Goldberg ont déjà déclaré qu’elles feront leurs valises si le candidat républicain finit par s’asseoir dans le bureau ovale.
aPar ailleurs, Bryan Cranston peut aussi compter sur Samuel L. Jackson pour soutenir son exode, bien que ce dernier préférerait s’expatrier vers un territoire un peu plus chaud que le Canada. « Si cet enc*ulé était élu, je bougerais mon c*l de noir en Afrique du Sud », avait-il déclaré à Jimmy Kimmel au printemps, quelques mois après que Seth Meyers lui apprenait que Donald Trump l’avait écorché sur Twitter.
Pour le comédien de Breaking Bad, cependant, il n’y a rien de personnel, sinon ses convictions bien ancrées du côté des Démocrates. « Vous savez, je suis Démocrate et je soutiens Hillary. Si ça veut dire que certaines personnes n’iront pas voir mes films, ainsi soit-il, ça me va », avait déjà déclaré Bryan Cranston au Daily Mail.