Johnny Depp: Ses chiens échappent finalement à l'euthanasie en Australie
PEOPLE•Pistol et Boo vont quitter le territoire vendredi comme ils étaient venus: en jet privé...20 Minutes avec AFP
Pistol et Boo, les chiens de Johnny Depp entrés illégalement en Australie au mépris du règlement sur la quarantaine, vont échapper à l’euthanasie et quitter le territoire vendredi comme ils étaient venus: en jet privé.
La fureur du ministre de l’Agriculture
Pistol et Boo, les chiens de Johnny Depp entrés illégalement en Australie au mépris du règlement sur la quarantaine, vont échapper à l’euthanasie et quitter le territoire vendredi comme ils étaient venus: en jet privé.
La fureur du ministre de l’Agriculture
Le ministre de l’Agriculture Barnaby Joyce, qui mène depuis deux jours campagne sur le fait que les règles s’appliquent à tous, fussent-elles des stars hollywoodiennes, a annoncé la nouvelle en personne à la radio nationale. «On m’informe que Pistol et Boo s’apprêtent à rentrer aux Etats-Unis en jet privé, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il dit. «De toute évidence, il y aura une enquête pour déterminer comment ils sont entrés en Australie», a-t-il ajouté. «M. Depp a décidé de contourner nos lois nationales ».
En tournage pour « Pirate des Caraïbes »
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires), devra avant de partir se soumettre à un entretien avec les services des douanes. Le ministre a cependant dit craindre que les Etats-Unis ne refusent l’entrée sur leur territoire aux deux animaux de compagnie et que ceux-ci ne se retrouvent comme des «apatrides».
«S’il a violé nos règles, a-t-il obéi aux règlements en vigueur aux Etats-Unis?», s’est demandé le ministre sur la Australian Broadcasting Corporation. «Mon souci est de savoir si les Etats-Unis vont les laisser revenir. Si ce n’est pas le cas (…) auront-ils un endroit où aller?» Ce qui semble certain cependant, c’est que l’acteur devrait se voir infliger une amende salée pour avoir contrevenu aux lois australiennes qui prévoient que les chiens soient soumis à 10 jours de quarantaine.
« Nous serons contraints de les euthanasier »
«Nous ne pouvons pas faire une exception pour Johnny Depp», a dit Barnaby Joyce. «C’est pour de bonnes raisons que nous avons des règles strictes». Le ministre n’avait pas hésité la veille à dire qu’il était « temps que Pistol et Boo foutent le camp et rentrent aux Etats-Unis ». « Il peut les renvoyer ou nous serons contraints de les euthanasier», avait-il prévenu, déclenchant une tempête sur les réseaux sociaux.
Une pétition lancée sur internet pour épargner aux Yorkshire un sort funeste a recueilli des milliers de signatures. Le député milliardaire Clive Palmer, magnat de l’extraction minière, a accusé le ministre d’avoir fait de l’Australie la «risée du monde entier» avec ses menaces de mort. «C’était une perte de temps et l’Australie va avoir mauvaise réputation».
Le ministre de l’Agriculture Barnaby Joyce, qui mène depuis deux jours campagne sur le fait que les règles s’appliquent à tous, fussent-elles des stars hollywoodiennes, a annoncé la nouvelle en personne à la radio nationale. «On m’informe que Pistol et Boo s’apprêtent à rentrer aux Etats-Unis en jet privé, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il dit. «De toute évidence, il y aura une enquête pour déterminer comment ils sont entrés en Australie», a-t-il ajouté. «M. Depp a décidé de contourner nos lois nationales ».
En tournage pour « Pirate des Caraïbes »
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires), devra avant de partir se soumettre à un entretien avec les services des douanes. Le ministre a cependant dit craindre que les Etats-Unis ne refusent l’entrée sur leur territoire aux deux animaux de compagnie et que ceux-ci ne se retrouvent comme des «apatrides».
«S’il a violé nos règles, a-t-il obéi aux règlements en vigueur aux Etats-Unis?», s’est demandé le ministre sur la Australian Broadcasting Corporation. «Mon souci est de savoir si les Etats-Unis vont les laisser revenir. Si ce n’est pas le cas (…) auront-ils un endroit où aller?» Ce qui semble certain cependant, c’est que l’acteur devrait se voir infliger une amende salée pour avoir contrevenu aux lois australiennes qui prévoient que les chiens soient soumis à 10 jours de quarantaine.
« Nous serons contraints de les euthanasier »
«Nous ne pouvons pas faire une exception pour Johnny Depp», a dit Barnaby Joyce. «C’est pour de bonnes raisons que nous avons des règles strictes». Le ministre n’avait pas hésité la veille à dire qu’il était « temps que Pistol et Boo foutent le camp et rentrent aux Etats-Unis ». « Il peut les renvoyer ou nous serons contraints de les euthanasier», avait-il prévenu, déclenchant une tempête sur les réseaux sociaux.
Une pétition lancée sur internet pour épargner aux Yorkshire un sort funeste a recueilli des milliers de signatures. Le député milliardaire Clive Palmer, magnat de l’extraction minière, a accusé le ministre d’avoir fait de l’Australie la «risée du monde entier» avec ses menaces de mort. «C’était une perte de temps et l’Australie va avoir mauvaise réputation».
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires),
Le ministre de l’Agriculture Barnaby Joyce, qui mène depuis deux jours campagne sur le fait que les règles s’appliquent à tous, fussent-elles des stars hollywoodiennes, a annoncé la nouvelle en personne à la radio nationale. «On m’informe que Pistol et Boo s’apprêtent à rentrer aux Etats-Unis en jet privé, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il dit. «De toute évidence, il y aura une enquête pour déterminer comment ils sont entrés en Australie», a-t-il ajouté. «M. Depp a décidé de contourner nos lois nationales ».
En tournage pour « Pirate des Caraïbes »
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires), devra avant de partir se soumettre à un entretien avec les services des douanes. Le ministre a cependant dit craindre que les Etats-Unis ne refusent l’entrée sur leur territoire aux deux animaux de compagnie et que ceux-ci ne se retrouvent comme des «apatrides».
«S’il a violé nos règles, a-t-il obéi aux règlements en vigueur aux Etats-Unis?», s’est demandé le ministre sur la Australian Broadcasting Corporation. «Mon souci est de savoir si les Etats-Unis vont les laisser revenir. Si ce n’est pas le cas (…) auront-ils un endroit où aller?» Ce qui semble certain cependant, c’est que l’acteur devrait se voir infliger une amende salée pour avoir contrevenu aux lois australiennes qui prévoient que les chiens soient soumis à 10 jours de quarantaine.
« Nous serons contraints de les euthanasier »
«Nous ne pouvons pas faire une exception pour Johnny Depp», a dit Barnaby Joyce. «C’est pour de bonnes raisons que nous avons des règles strictes». Le ministre n’avait pas hésité la veille à dire qu’il était « temps que Pistol et Boo foutent le camp et rentrent aux Etats-Unis ». « Il peut les renvoyer ou nous serons contraints de les euthanasier», avait-il prévenu, déclenchant une tempête sur les réseaux sociaux.
Une pétition lancée sur internet pour épargner aux Yorkshire un sort funeste a recueilli des milliers de signatures. Le député milliardaire Clive Palmer, magnat de l’extraction minière, a accusé le ministre d’avoir fait de l’Australie la «risée du monde entier» avec ses menaces de mort. «C’était une perte de temps et l’Australie va avoir mauvaise réputation».
Le ministre de l’Agriculture Barnaby Joyce, qui mène depuis deux jours campagne sur le fait que les règles s’appliquent à tous, fussent-elles des stars hollywoodiennes, a annoncé la nouvelle en personne à la radio nationale. «On m’informe que Pistol et Boo s’apprêtent à rentrer aux Etats-Unis en jet privé, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il dit. «De toute évidence, il y aura une enquête pour déterminer comment ils sont entrés en Australie», a-t-il ajouté. «M. Depp a décidé de contourner nos lois nationales ».
En tournage pour « Pirate des Caraïbes »
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires), devra avant de partir se soumettre à un entretien avec les services des douanes. Le ministre a cependant dit craindre que les Etats-Unis ne refusent l’entrée sur leur territoire aux deux animaux de compagnie et que ceux-ci ne se retrouvent comme des «apatrides».
«S’il a violé nos règles, a-t-il obéi aux règlements en vigueur aux Etats-Unis?», s’est demandé le ministre sur la Australian Broadcasting Corporation. «Mon souci est de savoir si les Etats-Unis vont les laisser revenir. Si ce n’est pas le cas (…) auront-ils un endroit où aller?» Ce qui semble certain cependant, c’est que l’acteur devrait se voir infliger une amende salée pour avoir contrevenu aux lois australiennes qui prévoient que les chiens soient soumis à 10 jours de quarantaine.
« Nous serons contraints de les euthanasier »
«Nous ne pouvons pas faire une exception pour Johnny Depp», a dit Barnaby Joyce. «C’est pour de bonnes raisons que nous avons des règles strictes». Le ministre n’avait pas hésité la veille à dire qu’il était « temps que Pistol et Boo foutent le camp et rentrent aux Etats-Unis ». « Il peut les renvoyer ou nous serons contraints de les euthanasier», avait-il prévenu, déclenchant une tempête sur les réseaux sociaux.
Une pétition lancée sur internet pour épargner aux Yorkshire un sort funeste a recueilli des milliers de signatures. Le député milliardaire Clive Palmer, magnat de l’extraction minière, a accusé le ministre d’avoir fait de l’Australie la «risée du monde entier» avec ses menaces de mort. «C’était une perte de temps et l’Australie va avoir mauvaise réputation».
Le ministre de l’Agriculture Barnaby Joyce, qui mène depuis deux jours campagne sur le fait que les règles s’appliquent à tous, fussent-elles des stars hollywoodiennes, a annoncé la nouvelle en personne à la radio nationale. «On m’informe que Pistol et Boo s’apprêtent à rentrer aux Etats-Unis en jet privé, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il dit. «De toute évidence, il y aura une enquête pour déterminer comment ils sont entrés en Australie», a-t-il ajouté. «M. Depp a décidé de contourner nos lois nationales ».
En tournage pour « Pirate des Caraïbes »
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires), devra avant de partir se soumettre à un entretien avec les services des douanes. Le ministre a cependant dit craindre que les Etats-Unis ne refusent l’entrée sur leur territoire aux deux animaux de compagnie et que ceux-ci ne se retrouvent comme des «apatrides».
«S’il a violé nos règles, a-t-il obéi aux règlements en vigueur aux Etats-Unis?», s’est demandé le ministre sur la Australian Broadcasting Corporation. «Mon souci est de savoir si les Etats-Unis vont les laisser revenir. Si ce n’est pas le cas (…) auront-ils un endroit où aller?» Ce qui semble certain cependant, c’est que l’acteur devrait se voir infliger une amende salée pour avoir contrevenu aux lois australiennes qui prévoient que les chiens soient soumis à 10 jours de quarantaine.
« Nous serons contraints de les euthanasier »
«Nous ne pouvons pas faire une exception pour Johnny Depp», a dit Barnaby Joyce. «C’est pour de bonnes raisons que nous avons des règles strictes». Le ministre n’avait pas hésité la veille à dire qu’il était « temps que Pistol et Boo foutent le camp et rentrent aux Etats-Unis ». « Il peut les renvoyer ou nous serons contraints de les euthanasier», avait-il prévenu, déclenchant une tempête sur les réseaux sociaux.
Une pétition lancée sur internet pour épargner aux Yorkshire un sort funeste a recueilli des milliers de signatures. Le député milliardaire Clive Palmer, magnat de l’extraction minière, a accusé le ministre d’avoir fait de l’Australie la «risée du monde entier» avec ses menaces de mort. «C’était une perte de temps et l’Australie va avoir mauvaise réputation».
Le ministre de l’Agriculture Barnaby Joyce, qui mène depuis deux jours campagne sur le fait que les règles s’appliquent à tous, fussent-elles des stars hollywoodiennes, a annoncé la nouvelle en personne à la radio nationale. «On m’informe que Pistol et Boo s’apprêtent à rentrer aux Etats-Unis en jet privé, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il dit. «De toute évidence, il y aura une enquête pour déterminer comment ils sont entrés en Australie», a-t-il ajouté. «M. Depp a décidé de contourner nos lois nationales ».
En tournage pour « Pirate des Caraïbes »
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires), devra avant de partir se soumettre à un entretien avec les services des douanes. Le ministre a cependant dit craindre que les Etats-Unis ne refusent l’entrée sur leur territoire aux deux animaux de compagnie et que ceux-ci ne se retrouvent comme des «apatrides».
«S’il a violé nos règles, a-t-il obéi aux règlements en vigueur aux Etats-Unis?», s’est demandé le ministre sur la Australian Broadcasting Corporation. «Mon souci est de savoir si les Etats-Unis vont les laisser revenir. Si ce n’est pas le cas (…) auront-ils un endroit où aller?» Ce qui semble certain cependant, c’est que l’acteur devrait se voir infliger une amende salée pour avoir contrevenu aux lois australiennes qui prévoient que les chiens soient soumis à 10 jours de quarantaine.
« Nous serons contraints de les euthanasier »
«Nous ne pouvons pas faire une exception pour Johnny Depp», a dit Barnaby Joyce. «C’est pour de bonnes raisons que nous avons des règles strictes». Le ministre n’avait pas hésité la veille à dire qu’il était « temps que Pistol et Boo foutent le camp et rentrent aux Etats-Unis ». « Il peut les renvoyer ou nous serons contraints de les euthanasier», avait-il prévenu, déclenchant une tempête sur les réseaux sociaux.
Une pétition lancée sur internet pour épargner aux Yorkshire un sort funeste a recueilli des milliers de signatures. Le député milliardaire Clive Palmer, magnat de l’extraction minière, a accusé le ministre d’avoir fait de l’Australie la «risée du monde entier» avec ses menaces de mort. «C’était une perte de temps et l’Australie va avoir mauvaise réputation».
Le ministre de l’Agriculture Barnaby Joyce, qui mène depuis deux jours campagne sur le fait que les règles s’appliquent à tous, fussent-elles des stars hollywoodiennes, a annoncé la nouvelle en personne à la radio nationale. «On m’informe que Pistol et Boo s’apprêtent à rentrer aux Etats-Unis en jet privé, ce qui est une bonne nouvelle», a-t-il dit. «De toute évidence, il y aura une enquête pour déterminer comment ils sont entrés en Australie», a-t-il ajouté. «M. Depp a décidé de contourner nos lois nationales ».
En tournage pour « Pirate des Caraïbes »
L’acteur, qui trouve en Australie à l’occasion du tournage du cinquième opus des Pirates des Caraïbes, Dead men Tell no Tales (Les morts ne racontent pas d’histoires), devra avant de partir se soumettre à un entretien avec les services des douanes. Le ministre a cependant dit craindre que les Etats-Unis ne refusent l’entrée sur leur territoire aux deux animaux de compagnie et que ceux-ci ne se retrouvent comme des «apatrides».
«S’il a violé nos règles, a-t-il obéi aux règlements en vigueur aux Etats-Unis?», s’est demandé le ministre sur la Australian Broadcasting Corporation. «Mon souci est de savoir si les Etats-Unis vont les laisser revenir. Si ce n’est pas le cas (…) auront-ils un endroit où aller?» Ce qui semble certain cependant, c’est que l’acteur devrait se voir infliger une amende salée pour avoir contrevenu aux lois australiennes qui prévoient que les chiens soient soumis à 10 jours de quarantaine.
« Nous serons contraints de les euthanasier »
«Nous ne pouvons pas faire une exception pour Johnny Depp», a dit Barnaby Joyce. «C’est pour de bonnes raisons que nous avons des règles strictes». Le ministre n’avait pas hésité la veille à dire qu’il était « temps que Pistol et Boo foutent le camp et rentrent aux Etats-Unis ». « Il peut les renvoyer ou nous serons contraints de les euthanasier», avait-il prévenu, déclenchant une tempête sur les réseaux sociaux.
Une pétition lancée sur internet pour épargner aux Yorkshire un sort funeste a recueilli des milliers de signatures. Le député milliardaire Clive Palmer, magnat de l’extraction minière, a accusé le ministre d’avoir fait de l’Australie la «risée du monde entier» avec ses menaces de mort. «C’était une perte de temps et l’Australie va avoir mauvaise réputation».