PEOPLEVIDEO. Le prince Harry: «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant»

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PEOPLELe prince Harry effectue sa première visite officielle en Nouvelle-Zélande...
20 Minutes avec AFP

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Le prince Harry, noceur notoire, a expliqué lundi en Nouvelle-Zélande qu'il voulait des enfants, avouant cependant ne pas avoir encore trouvé la femme de ses rêves. Cinquième dans l'ordre de succession au trône britannique depuis la naissance de sa nièce Charlotte, Harry se trouve en Nouvelle-Zélande après avoir achevé un mois de service en Australie.


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».

la naissance du second enfant de son frère William l

Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique,

Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».


Au bout de 10 ans de carrière militaire, le prince âgé de 30 ans a dit qu'il se sentait à la «croisée des chemins». Mais la naissance du second enfant de son frère William lui donne des idées. «Bien sûr, j'aimerais avoir des enfants maintenant mais il y a un processus à suivre», a-t-il raconté à la chaîne britannique Sky News.

«Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés»

«Des tournées comme celles-ci sont un plaisir, j'espère que je ne m'en sors pas trop mal tout seul. Ce serait merveilleux d'avoir quelqu'un à mes côtés pour partager la pression. Mais, ce qui arrivera arrivera», a-t-il dit.

«Nous devons avoir un salaire»

Le plus jeune fils de Charles et de Diana, qui quittera en juin les rangs de l'armée britannique, s'était séparé l'année dernière de sa petite amie Cressida Bonas. Il n'apprécie pas d'être appelé le «prince fêtard». «Je n'ai jamais voulu ça», a-t-il dit. Il veut désormais jouer un rôle dans lequel il pourra «rendre quelque chose à la société. Lui et son frère veulent travailler avec des «gens normaux» et gagner leur vie. «Nous pensons tous les deux que nous devons avoir un salaire, pour garder la tête sur les épaules », a-t-il dit.

Le Prince Harry fait le hongi, salut traditionnel māori en Nouvelle-Zélande, le 9 mai 2015. - Ross Setford/AP/SIPA

En se rendant sur l'île Stewart, à l'extrême sud de la Nouvelle-Zélande, le prince Harry a décrit aux enfants d'une école son amour du pilotage et comment il devait observer strictement le protocole en parlant de sa grand-mère, la reine Elizabeth II.

Le Prince Harry rencontre des écoliers en Nouvelle-Zélande, le 10 mai 2015. - Robyn Edie/AP/SIPA

Mamie, la reine

Les enfants lui ont demandé s'il avait une couronne («non»), sa nourriture favorite («les spaghettis bolognese») et ce qu'il appréciait le plus en pilotant un hélicoptère. «J'ai un bureau mobile (...) On n'est que deux et personne d'autre ne peut vous embêter», a-t-il dit. Un enfant a voulu savoir comment il s'adressait à la reine: «Je l'appelle mamie», a-t-il dit. «Mais lorsque je parle d'elle, je dis la reine car je suis à l'armée et c'est ma patronne».