PEOPLEJim Carrey présente ses excuses aux défenseurs du port d'armes

Jim Carrey présente ses excuses aux défenseurs du port d'armes

PEOPLEL'acteur avait traité les défenseurs des armes de «gros cons sans cœur»...
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

L'acteur américain Jim Carrey, qui avait pris la parole publiquement pour critiquer les armes après une série de fusillades meurtrières aux Etats-Unis en 2012, a présenté ses excuses aux partisans du port d'armes sur son compte Twitter.

Dans deux messages publiés dimanche sur son compte de micro-messages, l'acteur écrit: «Fans de fusil d'assaut, je ne suis pas d'accord avec vous, je n'ai pas peur de vous, mais je vous aime et je suis désolé de vous avoir insulté quand j'étais scandalisé. J'avais tort».

« Asslt rifle fans,I do not agree wth u,nor do I fear u but I do love u and I'm sorry tht in my outrage I called you names.That was wrong. 3^{ — Jim Carrey (@JimCarrey) July 7, 2013 »

Quelques minutes plus tard, il ajoutait: «D'ailleurs, je n'ai pas besoin d'un gestionnaire de crise, juste d'une conscience. Insulter les gens n'est pas correct, mais ma position sur les armes d'assaut n'a pas changé».

« Btw I don't need a crisis mgr, just a conscience. Calling ppl names is inappropriate but my position on assault weapons hasn't changed. ;^} — Jim Carrey (@JimCarrey) July 7, 2013 »

L'acteur avait multiplié les messages très critiques envers les défenseurs des armes, notamment après la fusillade dans une école de Newton (Connecticut, nord-est), qui avait fait 26 morts dont 20 enfants en décembre dernier.

Trop de violence = pas de promo

Sur Twitter, il les avait notamment traités de «gros cons sans coeur, refusant de changer d'avis pour la sécurité de nos enfants».

Il avait également écrit: «20 fusillades par an aux Etats-Unis. Vous êtes OK avec ça ? Moi non».

Le mois dernier, l'acteur comique de 51 ans avait annoncé qu'il n'assurerait pas la promotion de son dernier film, «Kick-Ass 2», le jugeant beaucoup trop violent.

«J'ai fait Kick-Ass un mois avant (la fusillade de Newton) et désormais, en toute conscience, je ne peux tolérer ce niveau de violence», écrivait-il.