POLITIQUEA Paris, trois maires épinglent « la déconnexion » d'Anne Hidalgo

Municipales à Paris : Trois maires épinglent « la déconnexion » d'Anne Hidalgo, désormais candidate

POLITIQUE« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent-elles
Bérénice Dubuc

B.D. avec AFP

Les maires sortantes de trois arrondissements parisiens, deux ex-LR et une ex-PS et soutiens de Benjamin Griveaux, déplorent « la déconnexion grandissante » de la maire de Paris, candidate à sa succession, dans une tribune publiée ce samedi soir par le Journal du Dimanche.

« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».


« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».


« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».


« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».


« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».


« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».


« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».


« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».

dans sa déclaration de candidature au Parisien

« Que nous ayons fait en 2014 campagne pour Anne Hidalgo ou contre elle, nous n’avons pu que déplorer depuis six ans la déconnexion grandissante de la maire sortante, prisonnière de ses alliances politiques », écrivent les deux maires de droite sortantes, Florence Berthout (Ve) et Delphine Bürkli (IXe), ainsi que l’ancienne socialiste Frédérique Calandra (XXe).

« Surdité coupable »

« La maire de Paris croit que l’on peut gouverner seule depuis l’Hôtel de Ville, sans les maires d’arrondissement », regrettent les trois élues, candidates sous les couleurs de LREM (La République en Marche) à leur succession, dans leur arrondissement.

Or, « cette surdité coupable conduit à un nombre record de décisions annulées par les tribunaux, à des accidents industriels qui coûtent et vont coûter cher aux Parisiens », estiment-elles, citant l’exemple de « l’annulation du contrat Decaux, le désastre d’Autolib', l’inefficacité du nouveau Vélib' ».

Tacle

Sur le volet de la propreté, « la Ville de Paris distille au compte-gouttes des agents de propreté et d’entretien de l’espace public dans les arrondissements, avec des services exsangues parce qu’en sous-effectif chronique », regrettent-elles. « Les Parisiens peuvent chaque jour constater le résultat », ironisent encore ces élues.

Par exemple, « dans le 5e arrondissement, un modèle de restauration scolaire vertueux a été mis en œuvre (75 % de produits bio et durable et approvisionnement majoritairement en circuits courts) », ajoutent-elles, estimant que cette expérience aurait pu être reprise et généralisée.

Un tacle adressé à la maire socialiste sortante, qui dans sa déclaration de candidature au Parisien, samedi soir, a dit vouloir rendre l’alimentation des Parisiens plus saine avec des « cantines 100 % bio ». Les trois maires, soutiens du candidat investi par LREM, Benjamin Griveaux, estiment qu'« il faut changer de méthode en donnant davantage de moyens et plus de pouvoirs aux mairies d’arrondissement ».