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Sylvain Maillard ne croit pas à une candidature de Villani ni à un plan B

Paris: Pas de candidature de Cédric Villani ni de plan B selon le député LREM Sylvain Maillard

POLITIQUESylvain Maillard, député LREM et porte-parole de Benjamin Grivaux, a annoncé ne pas croire à une éventuelle candidature de Cédric Villani pour la mairie de Paris ni même à un plan B, qui n'est autre qu'Edouard Philippe
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Une candidature de Cédric Villani ou un «plan B» qui s'appellerait Edouard Philippe pour les municipales à Paris ? Sylvain Maillard, député LREM de Paris et porte-parole du candidat investi Benjamin Griveaux, a déclaré ce vendredi ne croire à aucune de ces deux possibilités.

Cédric Villani s’est refusé jusqu’à présent à apporter publiquement son soutien à l’ancien porte-parole du gouvernement, choisi au début du mois de juillet par la commission d’investiture du parti présidentiel, renvoyant sa décision à la rentrée et laissant ainsi planer le doute quant à une éventuelle candidature dissidente.

« Il a toute sa place dans notre équipe auprès de Benjamin Grivaux »

Interrogé sur une telle candidature sur LCI, Sylvain Maillard a répondu : « Je n’y crois pas. Villani, il a toute sa place avec nous », en soulignant qu'« il fait partie de notre famille, il est élu député d’En marche ». « Je comprends la déception qui est la sienne, parce qu’il s’est pleinement investi et c’est quelqu’un de qualité, qui a beaucoup de talent, c’est difficile aussi, quand on s’est pleinement investi, de perdre, mais la réalité c’est qu’il a toute sa place dans notre équipe auprès de Benjamin Griveaux », a-t-il ajouté.

« Je crois que le plan B, c’est un fantasme qui a toujours existé partout », a réagi Sylvain Maillard à propos d’une éventuelle candidature d’Edouard Philippe. « Il y a un candidat qui est celui qui rassemble le plus, a-t-il martelé. La réalité, c’est que les élus et les cadres de Paris sont très majoritairement, voire dans la quasi-unanimité, derrière Benjamin Griveaux et depuis des semaines ». « Notre adversaire n’est pas chez nous, il est à la mairie de Paris », a-t-il rappelé en visant la maire socialiste Anne Hidalgo.