Blanc-Mesnil: L’homme suspecté d’avoir mis le feu à un immeuble après une dispute écroué
FAITS DIVERS•Sa compagne assure qu’il a mis le feu de rage. L’incendie s’est propagé « rapidement d’un étage à l’autre », brûlant grièvement une femme de 50 ans…20 Minutes avec AFP
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.
L’homme suspecté d’avoir déclenché après une dispute avec sa compagne l’incendie d’un immeuble dans lequel une voisine a été grièvement blessée en Seine-Saint-Denis a été mis en examen lundi et écroué, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny.
Il a été mis en examen pour « destruction ou dégradation par moyen dangereux ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente et mise en danger de la vie d’autrui », a précisé le parquet. Un juge l’a ensuite placé en détention provisoire.
Une femme placée en coma artificiel
Une femme âgée de 50 ans avait été brûlée à 25 % et placée en coma artificiel après un incendie dans son immeuble vendredi soir au Blanc-Mesnil. Le feu, parti d’un appartement proche du sien, s’était propagé « rapidement d’un étage à l’autre », avait indiqué une porte-parole des pompiers.
Il avait mis le feu « de rage »
Un homme avait été arrêté, sa compagne affirmant qu’il avait mis le feu « de rage après une dispute », selon une source proche du dossier.
Il avait reconnu devant les enquêteurs s’être disputé avec sa compagne mais soutenu que le départ de feu était accidentel, a ajouté cette source.