Paris: Les pompiers vont vous former gratuitement aux premiers secours tous les samedis
PREMIERS SECOURS•Les formations démarrent ce samedi et devraient durer au moins jusqu'à l'été. L’idée est d’apprendre à un maximum de citoyens à réagir en cas de crise majeure…Fabrice Pouliquen
Un constat né lors des vagues d’attentats
Six centres de secours accueilleront le public dans le cadre de cette opération. Mais le dispositif pourrait s’étendre très rapidement à d’autres casernes de la capitale. Surtout, ces formations seront proposées dans le reste de la France à partir de février. Elles dureront deux heures et les inscriptions se font sur le site Internet de la préfecture de police de Paris.
Ces initiations gratuites partent d’un constat fait pendant la vague d’attentat du 13 novembre dernier à Paris. Les différents services de secours se sont rapidement retrouvés submergés et ont dû faire face à un manque de matériel. L’idée, donc, est d’apprendre à un maximum de Français à réagir en cas de crise majeure. « La part des Français formés reste faible », notait Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, dans une note aux préfets sur la sensibilisation de la population aux gestes et comportements qui sauvent.
« Un besoin qu’on a au quotidien »
Des initiations d’une heure existaient déjà, rappelle France Bleu Ile-de-France. Elles étaient axées sur le massage cardiaque et la défibrillation. Une seconde heure a été ajoutée à ces initiations pour former également aux « contrôles des saignements » [poser un garrot par exemple] et aux « positions d’attente », particulièrement utiles en cas d’attentat.
« Au-delà de la situation attentats, c’est un besoin qu’on a au quotidien, nous pompiers, raconte Didier Pourret, délégué de la commission de l’enseignement du secourisme au micro de France Bleu Ile-de-France. Il y a beaucoup de situations dans lesquelles on a besoin que les gens soient aptes à porter secours en attendant notre arrivée. »
Un constat né lors des vagues d’attentats
Six centres de secours accueilleront le public dans le cadre de cette opération. Mais le dispositif pourrait s’étendre très rapidement à d’autres casernes de la capitale. Surtout, ces formations seront proposées dans le reste de la France à partir de février. Elles dureront deux heures et les inscriptions se font sur le site Internet de la préfecture de police de Paris.
Ces initiations gratuites partent d’un constat fait pendant la vague d’attentat du 13 novembre dernier à Paris. Les différents services de secours se sont rapidement retrouvés submergés et ont dû faire face à un manque de matériel. L’idée, donc, est d’apprendre à un maximum de Français à réagir en cas de crise majeure. « La part des Français formés reste faible », notait Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, dans une note aux préfets sur la sensibilisation de la population aux gestes et comportements qui sauvent.
« Un besoin qu’on a au quotidien »
Des initiations d’une heure existaient déjà, rappelle France Bleu Ile-de-France. Elles étaient axées sur le massage cardiaque et la défibrillation. Une seconde heure a été ajoutée à ces initiations pour former également aux « contrôles des saignements » [poser un garrot par exemple] et aux « positions d’attente », particulièrement utiles en cas d’attentat.
« Au-delà de la situation attentats, c’est un besoin qu’on a au quotidien, nous pompiers, raconte Didier Pourret, délégué de la commission de l’enseignement du secourisme au micro de France Bleu Ile-de-France. Il y a beaucoup de situations dans lesquelles on a besoin que les gens soient aptes à porter secours en attendant notre arrivée. »
Un constat né lors des vagues d’attentats
Six centres de secours accueilleront le public dans le cadre de cette opération. Mais le dispositif pourrait s’étendre très rapidement à d’autres casernes de la capitale. Surtout, ces formations seront proposées dans le reste de la France à partir de février. Elles dureront deux heures et les inscriptions se font sur le site Internet de la préfecture de police de Paris.
Ces initiations gratuites partent d’un constat fait pendant la vague d’attentat du 13 novembre dernier à Paris. Les différents services de secours se sont rapidement retrouvés submergés et ont dû faire face à un manque de matériel. L’idée, donc, est d’apprendre à un maximum de Français à réagir en cas de crise majeure. « La part des Français formés reste faible », notait Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, dans une note aux préfets sur la sensibilisation de la population aux gestes et comportements qui sauvent.
« Un besoin qu’on a au quotidien »
Des initiations d’une heure existaient déjà, rappelle France Bleu Ile-de-France. Elles étaient axées sur le massage cardiaque et la défibrillation. Une seconde heure a été ajoutée à ces initiations pour former également aux « contrôles des saignements » [poser un garrot par exemple] et aux « positions d’attente », particulièrement utiles en cas d’attentat.
« Au-delà de la situation attentats, c’est un besoin qu’on a au quotidien, nous pompiers, raconte Didier Pourret, délégué de la commission de l’enseignement du secourisme au micro de France Bleu Ile-de-France. Il y a beaucoup de situations dans lesquelles on a besoin que les gens soient aptes à porter secours en attendant notre arrivée. »
Un constat né lors des vagues d’attentats
Six centres de secours accueilleront le public dans le cadre de cette opération. Mais le dispositif pourrait s’étendre très rapidement à d’autres casernes de la capitale. Surtout, ces formations seront proposées dans le reste de la France à partir de février. Elles dureront deux heures et les inscriptions se font sur le site Internet de la préfecture de police de Paris.
Ces initiations gratuites partent d’un constat fait pendant la vague d’attentat du 13 novembre dernier à Paris. Les différents services de secours se sont rapidement retrouvés submergés et ont dû faire face à un manque de matériel. L’idée, donc, est d’apprendre à un maximum de Français à réagir en cas de crise majeure. « La part des Français formés reste faible », notait Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, dans une note aux préfets sur la sensibilisation de la population aux gestes et comportements qui sauvent.
« Un besoin qu’on a au quotidien »
Des initiations d’une heure existaient déjà, rappelle France Bleu Ile-de-France. Elles étaient axées sur le massage cardiaque et la défibrillation. Une seconde heure a été ajoutée à ces initiations pour former également aux « contrôles des saignements » [poser un garrot par exemple] et aux « positions d’attente », particulièrement utiles en cas d’attentat.
« Au-delà de la situation attentats, c’est un besoin qu’on a au quotidien, nous pompiers, raconte Didier Pourret, délégué de la commission de l’enseignement du secourisme au micro de France Bleu Ile-de-France. Il y a beaucoup de situations dans lesquelles on a besoin que les gens soient aptes à porter secours en attendant notre arrivée. »
Un constat né lors des vagues d’attentats
Six centres de secours accueilleront le public dans le cadre de cette opération. Mais le dispositif pourrait s’étendre très rapidement à d’autres casernes de la capitale. Surtout, ces formations seront proposées dans le reste de la France à partir de février. Elles dureront deux heures et les inscriptions se font sur le site Internet de la préfecture de police de Paris.
Ces initiations gratuites partent d’un constat fait pendant la vague d’attentat du 13 novembre dernier à Paris. Les différents services de secours se sont rapidement retrouvés submergés et ont dû faire face à un manque de matériel. L’idée, donc, est d’apprendre à un maximum de Français à réagir en cas de crise majeure. « La part des Français formés reste faible », notait Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, dans une note aux préfets sur la sensibilisation de la population aux gestes et comportements qui sauvent.
« Un besoin qu’on a au quotidien »
Des initiations d’une heure existaient déjà, rappelle France Bleu Ile-de-France. Elles étaient axées sur le massage cardiaque et la défibrillation. Une seconde heure a été ajoutée à ces initiations pour former également aux « contrôles des saignements » [poser un garrot par exemple] et aux « positions d’attente », particulièrement utiles en cas d’attentat.
« Au-delà de la situation attentats, c’est un besoin qu’on a au quotidien, nous pompiers, raconte Didier Pourret, délégué de la commission de l’enseignement du secourisme au micro de France Bleu Ile-de-France. Il y a beaucoup de situations dans lesquelles on a besoin que les gens soient aptes à porter secours en attendant notre arrivée. »
Un constat né lors des vagues d’attentats
Six centres de secours accueilleront le public dans le cadre de cette opération. Mais le dispositif pourrait s’étendre très rapidement à d’autres casernes de la capitale. Surtout, ces formations seront proposées dans le reste de la France à partir de février. Elles dureront deux heures et les inscriptions se font sur le site Internet de la préfecture de police de Paris.
Ces initiations gratuites partent d’un constat fait pendant la vague d’attentat du 13 novembre dernier à Paris. Les différents services de secours se sont rapidement retrouvés submergés et ont dû faire face à un manque de matériel. L’idée, donc, est d’apprendre à un maximum de Français à réagir en cas de crise majeure. « La part des Français formés reste faible », notait Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, dans une note aux préfets sur la sensibilisation de la population aux gestes et comportements qui sauvent.
« Un besoin qu’on a au quotidien »
Des initiations d’une heure existaient déjà, rappelle France Bleu Ile-de-France. Elles étaient axées sur le massage cardiaque et la défibrillation. Une seconde heure a été ajoutée à ces initiations pour former également aux « contrôles des saignements » [poser un garrot par exemple] et aux « positions d’attente », particulièrement utiles en cas d’attentat.
« Au-delà de la situation attentats, c’est un besoin qu’on a au quotidien, nous pompiers, raconte Didier Pourret, délégué de la commission de l’enseignement du secourisme au micro de France Bleu Ile-de-France. Il y a beaucoup de situations dans lesquelles on a besoin que les gens soient aptes à porter secours en attendant notre arrivée. »
Un constat né lors des vagues d’attentats
Six centres de secours accueilleront le public dans le cadre de cette opération. Mais le dispositif pourrait s’étendre très rapidement à d’autres casernes de la capitale. Surtout, ces formations seront proposées dans le reste de la France à partir de février. Elles dureront deux heures et les inscriptions se font sur le site Internet de la préfecture de police de Paris.
Ces initiations gratuites partent d’un constat fait pendant la vague d’attentat du 13 novembre dernier à Paris. Les différents services de secours se sont rapidement retrouvés submergés et ont dû faire face à un manque de matériel. L’idée, donc, est d’apprendre à un maximum de Français à réagir en cas de crise majeure. « La part des Français formés reste faible », notait Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, dans une note aux préfets sur la sensibilisation de la population aux gestes et comportements qui sauvent.
« Un besoin qu’on a au quotidien »
Des initiations d’une heure existaient déjà, rappelle France Bleu Ile-de-France. Elles étaient axées sur le massage cardiaque et la défibrillation. Une seconde heure a été ajoutée à ces initiations pour former également aux « contrôles des saignements » [poser un garrot par exemple] et aux « positions d’attente », particulièrement utiles en cas d’attentat.
« Au-delà de la situation attentats, c’est un besoin qu’on a au quotidien, nous pompiers, raconte Didier Pourret, délégué de la commission de l’enseignement du secourisme au micro de France Bleu Ile-de-France. Il y a beaucoup de situations dans lesquelles on a besoin que les gens soient aptes à porter secours en attendant notre arrivée. »