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Des moustiques-tigres repérés à Paris
SANTE•Aucun cas de dengue ou de chikungunya n'a été recensé dans la capitale...
N.Beu.
Le moustique-tigre a bien atterri à Paris. Dans le cadre de la surveillance entomologique mise en place sur l’ensemble du territoire français, l’Aedes albopictus a été détecté au Parc floral (12e arrondissement), ainsi que dans des jardins ouvriers à Créteil (Val-de-Marne), en proche banlieue, indique ce mercredi soir l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France.
C’est un promeneur qui a alerté l’Entente interdépartementale de démoustication (EID) de la présence d’un moustique-tigre au Parc floral. Vérification a ensuite été faite. Afin d’empêcher son installation durable, des opérations de démoustication seront donc réalisées par l’EID Méditerranée dès ce mercredi soir, 22h, autour des sites concernés. « Un horaire spécialement choisi pour permettre la diffusion et la dégradation des produits avant la réouverture au public jeudi matin », précise la mairie de Paris. « Une surveillance est également mise en place pour vérifier l’efficacité des traitements », indique l’ARS Ile-de-France.
Vecteur de maladies virales
Dans un communiqué, la Ville de Paris se veut rassurante. Les moustiques-tigres ne seraient présents que dans « trois points humides du parc très éloignés des habitations ». Après diagnostic, aucun autre parc de la capitale ne serait par ailleurs touché, et aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n’a été pour le moment recensé en Île-de-France.
Le moustique-tigre est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya. Présent dans 20 départements en France métropolitaine, le moustique tigre a déjà été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, selon l’ARS d’Ile-de-France. Les traitements avaient alors permis d’éviter son implantation.
Le moustique-tigre a bien atterri à Paris. Dans le cadre de la surveillance entomologique mise en place sur l’ensemble du territoire français, l’Aedes albopictus a été détecté au Parc floral (12e arrondissement), ainsi que dans des jardins ouvriers à Créteil (Val-de-Marne), en proche banlieue, indique ce mercredi soir l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France.
C’est un promeneur qui a alerté l’Entente interdépartementale de démoustication (EID) de la présence d’un moustique-tigre au Parc floral. Vérification a ensuite été faite. Afin d’empêcher son installation durable, des opérations de démoustication seront donc réalisées par l’EID Méditerranée dès ce mercredi soir, 22h, autour des sites concernés. « Un horaire spécialement choisi pour permettre la diffusion et la dégradation des produits avant la réouverture au public jeudi matin », précise la mairie de Paris. « Une surveillance est également mise en place pour vérifier l’efficacité des traitements », indique l’ARS Ile-de-France.
Vecteur de maladies virales
Dans un communiqué, la Ville de Paris se veut rassurante. Les moustiques-tigres ne seraient présents que dans « trois points humides du parc très éloignés des habitations ». Après diagnostic, aucun autre parc de la capitale ne serait par ailleurs touché, et aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n’a été pour le moment recensé en Île-de-France.
Le moustique-tigre est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya. Présent dans 20 départements en France métropolitaine, le moustique tigre a déjà été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, selon l’ARS d’Ile-de-France. Les traitements avaient alors permis d’éviter son implantation.
Le moustique-tigre a bien atterri à Paris. Dans le cadre de la surveillance entomologique mise en place sur l’ensemble du territoire français, l’Aedes albopictus a été détecté au Parc floral (12e arrondissement), ainsi que dans des jardins ouvriers à Créteil (Val-de-Marne), en proche banlieue, indique ce mercredi soir l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France.
C’est un promeneur qui a alerté l’Entente interdépartementale de démoustication (EID) de la présence d’un moustique-tigre au Parc floral. Vérification a ensuite été faite. Afin d’empêcher son installation durable, des opérations de démoustication seront donc réalisées par l’EID Méditerranée dès ce mercredi soir, 22h, autour des sites concernés. « Un horaire spécialement choisi pour permettre la diffusion et la dégradation des produits avant la réouverture au public jeudi matin », précise la mairie de Paris. « Une surveillance est également mise en place pour vérifier l’efficacité des traitements », indique l’ARS Ile-de-France.
Vecteur de maladies virales
Dans un communiqué, la Ville de Paris se veut rassurante. Les moustiques-tigres ne seraient présents que dans « trois points humides du parc très éloignés des habitations ». Après diagnostic, aucun autre parc de la capitale ne serait par ailleurs touché, et aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n’a été pour le moment recensé en Île-de-France.
Le moustique-tigre est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya. Présent dans 20 départements en France métropolitaine, le moustique tigre a déjà été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, selon l’ARS d’Ile-de-France. Les traitements avaient alors permis d’éviter son implantation.
Le moustique-tigre a bien atterri à Paris. Dans le cadre de la surveillance entomologique mise en place sur l’ensemble du territoire français, l’Aedes albopictus a été détecté au Parc floral (12e arrondissement), ainsi que dans des jardins ouvriers à Créteil (Val-de-Marne), en proche banlieue, indique ce mercredi soir l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France.
C’est un promeneur qui a alerté l’Entente interdépartementale de démoustication (EID) de la présence d’un moustique-tigre au Parc floral. Vérification a ensuite été faite. Afin d’empêcher son installation durable, des opérations de démoustication seront donc réalisées par l’EID Méditerranée dès ce mercredi soir, 22h, autour des sites concernés. « Un horaire spécialement choisi pour permettre la diffusion et la dégradation des produits avant la réouverture au public jeudi matin », précise la mairie de Paris. « Une surveillance est également mise en place pour vérifier l’efficacité des traitements », indique l’ARS Ile-de-France.
Vecteur de maladies virales
Dans un communiqué, la Ville de Paris se veut rassurante. Les moustiques-tigres ne seraient présents que dans « trois points humides du parc très éloignés des habitations ». Après diagnostic, aucun autre parc de la capitale ne serait par ailleurs touché, et aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n’a été pour le moment recensé en Île-de-France.
Le moustique-tigre est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya. Présent dans 20 départements en France métropolitaine, le moustique tigre a déjà été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, selon l’ARS d’Ile-de-France. Les traitements avaient alors permis d’éviter son implantation.
Le moustique-tigre a bien atterri à Paris. Dans le cadre de la surveillance entomologique mise en place sur l’ensemble du territoire français, l’Aedes albopictus a été détecté au Parc floral (12e arrondissement), ainsi que dans des jardins ouvriers à Créteil (Val-de-Marne), en proche banlieue, indique ce mercredi soir l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France.
C’est un promeneur qui a alerté l’Entente interdépartementale de démoustication (EID) de la présence d’un moustique-tigre au Parc floral. Vérification a ensuite été faite. Afin d’empêcher son installation durable, des opérations de démoustication seront donc réalisées par l’EID Méditerranée dès ce mercredi soir, 22h, autour des sites concernés. « Un horaire spécialement choisi pour permettre la diffusion et la dégradation des produits avant la réouverture au public jeudi matin », précise la mairie de Paris. « Une surveillance est également mise en place pour vérifier l’efficacité des traitements », indique l’ARS Ile-de-France.
Vecteur de maladies virales
Dans un communiqué, la Ville de Paris se veut rassurante. Les moustiques-tigres ne seraient présents que dans « trois points humides du parc très éloignés des habitations ». Après diagnostic, aucun autre parc de la capitale ne serait par ailleurs touché, et aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n’a été pour le moment recensé en Île-de-France.
Le moustique-tigre est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya. Présent dans 20 départements en France métropolitaine, le moustique tigre a déjà été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, selon l’ARS d’Ile-de-France. Les traitements avaient alors permis d’éviter son implantation.
Le moustique-tigre a bien atterri à Paris. Dans le cadre de la surveillance entomologique mise en place sur l’ensemble du territoire français, l’Aedes albopictus a été détecté au Parc floral (12e arrondissement), ainsi que dans des jardins ouvriers à Créteil (Val-de-Marne), en proche banlieue, indique ce mercredi soir l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France.
C’est un promeneur qui a alerté l’Entente interdépartementale de démoustication (EID) de la présence d’un moustique-tigre au Parc floral. Vérification a ensuite été faite. Afin d’empêcher son installation durable, des opérations de démoustication seront donc réalisées par l’EID Méditerranée dès ce mercredi soir, 22h, autour des sites concernés. « Un horaire spécialement choisi pour permettre la diffusion et la dégradation des produits avant la réouverture au public jeudi matin », précise la mairie de Paris. « Une surveillance est également mise en place pour vérifier l’efficacité des traitements », indique l’ARS Ile-de-France.
Vecteur de maladies virales
Dans un communiqué, la Ville de Paris se veut rassurante. Les moustiques-tigres ne seraient présents que dans « trois points humides du parc très éloignés des habitations ». Après diagnostic, aucun autre parc de la capitale ne serait par ailleurs touché, et aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n’a été pour le moment recensé en Île-de-France.
Le moustique-tigre est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya. Présent dans 20 départements en France métropolitaine, le moustique tigre a déjà été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, selon l’ARS d’Ile-de-France. Les traitements avaient alors permis d’éviter son implantation.
Le moustique-tigre a bien atterri à Paris. Dans le cadre de la surveillance entomologique mise en place sur l’ensemble du territoire français, l’Aedes albopictus a été détecté au Parc floral (12e arrondissement), ainsi que dans des jardins ouvriers à Créteil (Val-de-Marne), en proche banlieue, indique ce mercredi soir l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France.
C’est un promeneur qui a alerté l’Entente interdépartementale de démoustication (EID) de la présence d’un moustique-tigre au Parc floral. Vérification a ensuite été faite. Afin d’empêcher son installation durable, des opérations de démoustication seront donc réalisées par l’EID Méditerranée dès ce mercredi soir, 22h, autour des sites concernés. « Un horaire spécialement choisi pour permettre la diffusion et la dégradation des produits avant la réouverture au public jeudi matin », précise la mairie de Paris. « Une surveillance est également mise en place pour vérifier l’efficacité des traitements », indique l’ARS Ile-de-France.
Vecteur de maladies virales
Dans un communiqué, la Ville de Paris se veut rassurante. Les moustiques-tigres ne seraient présents que dans « trois points humides du parc très éloignés des habitations ». Après diagnostic, aucun autre parc de la capitale ne serait par ailleurs touché, et aucun cas de chikungunya et de dengue autochtone n’a été pour le moment recensé en Île-de-France.
Le moustique-tigre est un vecteur de maladies virales comme la dengue ou le chikungunya. Présent dans 20 départements en France métropolitaine, le moustique tigre a déjà été ponctuellement repéré en 2014 à Paris, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne et en Seine-Saint-Denis, selon l’ARS d’Ile-de-France. Les traitements avaient alors permis d’éviter son implantation.
