INTERVIEW«Super Mado» sur C8: «Mado n'a aucun tabou» et ça amuse Noëlle Perna

VIDEO. «Super Mado» diffusé sur C8: «Mado n'a aucun tabou» et ça amuse Noëlle Perna

INTERVIEWAlors que le dernier spectacle de la plus célèbre des Niçoises était programmé le samedi 23 septembre, 20 Minutes fait le point avec la comédienne...
Fabien Binacchi

Fabien Binacchi

L'essentiel

  • Super Mado, le cinquième spectacle de Noëlle Perna, encore inédit à la télévision, est diffusé ce samedi soir sur C8.
  • La comédienne niçoise, qui s'est confiée à 20 Minutes, travaille déjà à l'écriture de son prochain show baptisé Certifié Mado.

Toujours joué en tournée, le dernier spectacle de la plus célèbre des Niçoises sera diffusé samedi soir sur C8. En attendant que Super Mado montre ses muscles à la télévision, 20 Minutes est allé à la rencontre de Noëlle Perna, qui planche déjà sur un prochain show.

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Avec « Super Mado », vous avez voulu retourner aux fondamentaux...

Oui. Sur les précédents spectacles, j’avais essayé d’introduire de nouveaux personnages, mais j’ai bien compris que le public était trop attaché à Mado. Elle continue à parler de tout, avec ses certitudes et surtout sans tabou !

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Que pouvez-vous nous dire sur votre prochain show « Certifié Mado » ?

J’ai déjà les idées, mais je ne vous en parlerai pas encore [rires]. On va se mettre très rapidement à l’écrire. Il faut compter un an de travail. Mado restera une optimiste forcenée avec ce bon sens qui lui appartient. Elle fustige, mais ce n’est jamais amer. Je crois, j’espère, que pour les spectateurs, elle est un booster d’énergie.

L’an prochain, vous fêterez vos quinze ans de carrière sur les scènes de France... Avec quel sentiment ?

De la fierté. Je me dis que j’ai été courageuse de monter à la capitale. Ce n’est pas facile quand on ne connaît pas tous les rouages parisiens. Mais ça a fonctionné et j’ai l’impression d’avoir été plutôt spectatrice de tout ça. Je ne misais pas tout là-dessus.

Vous jouerez à Nice le 29 décembre. Chez vous, le public est-il différent ?

Il y a une plus forte exigence ici. Je ne pourrai pas l’expliquer mais je ne suis pas la seule à l’avoir remarqué. Mais les Niçois et moi, nous avons un lieu affectif fort. Je crois qu’ils sont fiers de moi car j’ai, modestement, porté leur drapeau un peu partout en France.

Le bar des oiseaux, vendu il y a trois ans, ne vous manque-t-il pas trop ?

Ça n’était plus du tout compatible avec ma vie d’aujourd’hui. Mais j’ai gardé le théâtre [des oiseaux, aussi dans le Vieux-Nice]. Et je m’éclate. J’écris des petites pièces pour des jeunes. Je viens de boucler quelque chose autour de la véritable histoire du pan-bagnat. Quand j’aurai plus de temps, j’aimerai m’investir davantage dans la transmission de tout ce que j’ai appris.