MUSIQUEAvant son succès, The Avener était «presque prêt à changer de vocation»

Avant son succès fulgurant, The Avener était «presque prêt à changer de vocation»

MUSIQUEAvant un premier concert chez lui, à Nice le 23 juillet, le nouveau hit-maker de la French touch, se confie...
Fabien Binacchi

Fabien Binacchi

Il a déjà voyagé aux quatre coins du monde. « Ne reste plus que l’Amérique du Sud, mais c’est pour bientôt ». Le Niçois Tristan Casara, The Avener derrière ses platines, est demandé de partout depuis la sortie de son tube Fade out lines, en 2014. A l’occasion d’un de ses passages sur la Côte d’Azur, et avant son concert chez lui le 23 juillet à l'occasion du festival Nice music live, le DJ s’est confié à 20 Minutes.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Ton succès a été fulgurant. Qu’est-ce qu’il a changé dans ta vie ?

Tout ce qui m’arrive est très fort en émotions. Mais j’ai beaucoup travaillé pour réaliser ce rêve-là. Pendant les dix ans où j’ai bossé en indépendant, je répondais à beaucoup de commandes, je faisais selon un cahier des charges. Aujourd’hui, je peux faire ma musique.

Et comment réagit ta famille ?

Ils sont super heureux. Ils ne s’y attendaient plus [rires]. Ma mère et toute ma famille me soutiennent, ils prennent soin de moi. Avant ce succès, j’étais presque prêt à changer de vocation. A un moment, il y a la réalité… Mes finances n’étaient pas au beau fixe.

Aujourd’hui, une journée type de The Avener, ça ressemble à quoi ?

Ça commence par un petit-déjeuner très riche, il faut bien ça pour tenir ! Ensuite, un taxi, un avion, un petit run, un hôtel, des interviews et un concert. Il y a des jours plus calmes, mais la plupart sont très chargés. Des fois il y a trois à quatre concerts par semaine.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Tu prépares (déjà) ton deuxième album…

Je suis allé trois-quatre mois en Thaïlande avec tout mon matériel pour bosser. Je prends le temps de proposer quelque chose de différent avec énormément de collaborations. J’ai la chance d’avoir des gens qui frappent à ma porte. Sur cet album-là, il y aura encore quelques reworks mais surtout beaucoup d’originaux, avec un côté électronique et acoustique en même temps.

Tu joueras (enfin) à Nice le 23 juillet dans le cadre du festival Nice Music Live…

Il y aura une quarantaine de dates sur la tournée d’été, mais la soirée à Nice sera la plus importante pour moi. Il y a dix ans, j’étais sur la place Masséna pour voir David Guetta, et j’ai dit à ma mère : « J’aimerais bien jouer là ». C’est un rêve qui s’accomplit. Avec certainement beaucoup de mes amis et les gens qui me supportent depuis des années.

Tu multiplies les expériences. Ce week-end, tu étais en concert aux 24 heures du Mans. Bientôt un concert d’ouverture de l’Euro, comme David Guetta justement ?

C’est ce que pense ma maman [rires]. David Guetta a une carrière extraordinaire. J’ai beaucoup de respect pour lui. Je vais d’ailleurs jouer pour la première fois avec lui au Pacha, à Ibiza, le 25 juin.