HOMMAGENice pleure sa championne Camille Muffat

Nice pleure sa championne Camille Muffat

HOMMAGELes té moignages d’affection à la nageuse, disparue dans un accident, se sont multiplié s...
Thibaut Parat

Thibaut Parat

Elle était leur idole. Leur amie. Leur camarade de bassin. Des milliers de Niçois se sont réveillés avec la gueule de bois, mardi. Le choc, en apprenant le décès tragique de Camille Muffat, 25 ans, dans un accident d’hélicoptères qui a coû la vie à dix personnes, en Argentine. En deuil, comme s’ils venaient de perdre un membre de leur famille. «Elle avait la vie devant elle. C’est injuste et effroyable», témoigne Annie, une Niçoise de 45 ans, sur le miroir d’eau de la promenade du Paillon. Là, dans la soirée, les bougies scintillaient au milieu des fleurs pour la championne olympique.

«Chaos», «douleur»...

Tous n’ont pas attendu la fin de journée et ce recueillement officiel pour rendre un hommage poignant à la Niçoise. Une banderole géante et un registre de condoléances à l’hôtel de ville... Des roses plongées dans un trophée, des clichés de Camille à l’entrée de l’Olympic Nice natation. Là, où «l’enfant du club» a laissé une trace indébile.

«On l’a vu grandir, s’épanouir. Je suis KO», souffle le manager géral, Richard Papazian. Entre les lignes de la piscine du Piol, Elise Lefert, une de ses proches amies, nage inlassablement «pour oublier la douleur de cette terrible perte... comme une échappatoire». Le député-maire de Nice, Christian Estrosi, «dévasté par ce drame qui a ôté la vie une femme exceptionnelle», a rendu une courte visite aux parents de Camille Muffat. «Je l’ai soutenue, un peu comme si c’était ma fille », glisse l’élu.

Autant de soutiens envers une famille meurtrie. «Elle était franche, honnête et patriote, a raconté dignement son père, Guy Muffat. Je pense qu’elle a laissé de bons souvenirs. » Ce ne sont pas les Niçois qui diront le contraire.


Elle était leur idole. Leur amie. Leur camarade de bassin. Des milliers de Niçois se sont réveillés avec la gueule de bois, mardi. Le choc, en apprenant le décès tragique de Camille Muffat, 25 ans, dans un accident d’hélicoptères qui a coû la vie à dix personnes, en Argentine. En deuil, comme s’ils venaient de perdre un membre de leur famille. «Elle avait la vie devant elle. C’est injuste et effroyable», témoigne Annie, une Niçoise de 45 ans, sur le miroir d’eau de la promenade du Paillon. Là, dans la soirée, les bougies scintillaient au milieu des fleurs pour la championne olympique.

«Chaos», «douleur»...

Tous n’ont pas attendu la fin de journée et ce recueillement officiel pour rendre un hommage poignant à la Niçoise. Une banderole géante et un registre de condoléances à l’hôtel de ville... Des roses plongées dans un trophée, des clichés de Camille à l’entrée de l’Olympic Nice natation. Là, où «l’enfant du club» a laissé une trace indébile.

«On l’a vu grandir, s’épanouir. Je suis KO», souffle le manager géral, Richard Papazian. Entre les lignes de la piscine du Piol, Elise Lefert, une de ses proches amies, nage inlassablement «pour oublier la douleur de cette terrible perte... comme une échappatoire». Le député-maire de Nice, Christian Estrosi, «dévasté par ce drame qui a ôté la vie une femme exceptionnelle», a rendu une courte visite aux parents de Camille Muffat. «Je l’ai soutenue, un peu comme si c’était ma fille », glisse l’élu.

Autant de soutiens envers une famille meurtrie. «Elle était franche, honnête et patriote, a raconté dignement son père, Guy Muffat. Je pense qu’elle a laissé de bons souvenirs. » Ce ne sont pas les Niçois qui diront le contraire.


Elle était leur idole. Leur amie. Leur camarade de bassin. Des milliers de Niçois se sont réveillés avec la gueule de bois, mardi. Le choc, en apprenant le décès tragique de Camille Muffat, 25 ans, dans un accident d’hélicoptères qui a coû la vie à dix personnes, en Argentine. En deuil, comme s’ils venaient de perdre un membre de leur famille. «Elle avait la vie devant elle. C’est injuste et effroyable», témoigne Annie, une Niçoise de 45 ans, sur le miroir d’eau de la promenade du Paillon. Là, dans la soirée, les bougies scintillaient au milieu des fleurs pour la championne olympique.

«Chaos», «douleur»...

Tous n’ont pas attendu la fin de journée et ce recueillement officiel pour rendre un hommage poignant à la Niçoise. Une banderole géante et un registre de condoléances à l’hôtel de ville... Des roses plongées dans un trophée, des clichés de Camille à l’entrée de l’Olympic Nice natation. Là, où «l’enfant du club» a laissé une trace indébile.

«On l’a vu grandir, s’épanouir. Je suis KO», souffle le manager géral, Richard Papazian. Entre les lignes de la piscine du Piol, Elise Lefert, une de ses proches amies, nage inlassablement «pour oublier la douleur de cette terrible perte... comme une échappatoire». Le député-maire de Nice, Christian Estrosi, «dévasté par ce drame qui a ôté la vie une femme exceptionnelle», a rendu une courte visite aux parents de Camille Muffat. «Je l’ai soutenue, un peu comme si c’était ma fille », glisse l’élu.

Autant de soutiens envers une famille meurtrie. «Elle était franche, honnête et patriote, a raconté dignement son père, Guy Muffat. Je pense qu’elle a laissé de bons souvenirs. » Ce ne sont pas les Niçois qui diront le contraire.


Elle était leur idole. Leur amie. Leur camarade de bassin. Des milliers de Niçois se sont réveillés avec la gueule de bois, mardi. Le choc, en apprenant le décès tragique de Camille Muffat, 25 ans, dans un accident d’hélicoptères qui a coû la vie à dix personnes, en Argentine. En deuil, comme s’ils venaient de perdre un membre de leur famille. «Elle avait la vie devant elle. C’est injuste et effroyable», témoigne Annie, une Niçoise de 45 ans, sur le miroir d’eau de la promenade du Paillon. Là, dans la soirée, les bougies scintillaient au milieu des fleurs pour la championne olympique.

«Chaos», «douleur»...

Tous n’ont pas attendu la fin de journée et ce recueillement officiel pour rendre un hommage poignant à la Niçoise. Une banderole géante et un registre de condoléances à l’hôtel de ville... Des roses plongées dans un trophée, des clichés de Camille à l’entrée de l’Olympic Nice natation. Là, où «l’enfant du club» a laissé une trace indébile.

«On l’a vu grandir, s’épanouir. Je suis KO», souffle le manager géral, Richard Papazian. Entre les lignes de la piscine du Piol, Elise Lefert, une de ses proches amies, nage inlassablement «pour oublier la douleur de cette terrible perte... comme une échappatoire». Le député-maire de Nice, Christian Estrosi, «dévasté par ce drame qui a ôté la vie une femme exceptionnelle», a rendu une courte visite aux parents de Camille Muffat. «Je l’ai soutenue, un peu comme si c’était ma fille », glisse l’élu.

Autant de soutiens envers une famille meurtrie. «Elle était franche, honnête et patriote, a raconté dignement son père, Guy Muffat. Je pense qu’elle a laissé de bons souvenirs. » Ce ne sont pas les Niçois qui diront le contraire.


Elle était leur idole. Leur amie. Leur camarade de bassin. Des milliers de Niçois se sont réveillés avec la gueule de bois, mardi. Le choc, en apprenant le décès tragique de Camille Muffat, 25 ans, dans un accident d’hélicoptères qui a coû la vie à dix personnes, en Argentine. En deuil, comme s’ils venaient de perdre un membre de leur famille. «Elle avait la vie devant elle. C’est injuste et effroyable», témoigne Annie, une Niçoise de 45 ans, sur le miroir d’eau de la promenade du Paillon. Là, dans la soirée, les bougies scintillaient au milieu des fleurs pour la championne olympique.

«Chaos», «douleur»...

Tous n’ont pas attendu la fin de journée et ce recueillement officiel pour rendre un hommage poignant à la Niçoise. Une banderole géante et un registre de condoléances à l’hôtel de ville... Des roses plongées dans un trophée, des clichés de Camille à l’entrée de l’Olympic Nice natation. Là, où «l’enfant du club» a laissé une trace indébile.

«On l’a vu grandir, s’épanouir. Je suis KO», souffle le manager géral, Richard Papazian. Entre les lignes de la piscine du Piol, Elise Lefert, une de ses proches amies, nage inlassablement «pour oublier la douleur de cette terrible perte... comme une échappatoire». Le député-maire de Nice, Christian Estrosi, «dévasté par ce drame qui a ôté la vie une femme exceptionnelle», a rendu une courte visite aux parents de Camille Muffat. «Je l’ai soutenue, un peu comme si c’était ma fille », glisse l’élu.

Autant de soutiens envers une famille meurtrie. «Elle était franche, honnête et patriote, a raconté dignement son père, Guy Muffat. Je pense qu’elle a laissé de bons souvenirs. » Ce ne sont pas les Niçois qui diront le contraire.