CULTUREA Nantes, un début d'année record pour les Machines de l'île

VIDEO. Nantes: Un début d'année record pour les Machines de l'île

CULTURELa fréquentation a grimpé de 25% après trois mois d'ouverture
Frédéric Brenon

Frédéric Brenon

Depuis le coup d’envoi des vacances scolaires, les files d’attente ne désemplissent pas aux Machines de l’île. Il en était de même aux vacances de février. Il faut dire que le site culturel nantais connaît un début d’année sans précédent. « On a déjà accueilli 31.000 visiteurs de plus qu’en 2018 sur la même période, soit une augmentation de 25 %. C’est énorme. Il y a du monde du matin jusqu’en fin de journée », indique Pierre Oréfice, directeur des Machines de l’île. La hausse est portée principalement par les visiteurs du département (+38 %).

L’effet paresseux ?

Explication la plus probable : l’arrivée d’une nouvelle créature (un paresseux) dans la Galerie des machines début février. « Il plaît énormément aux enfants », se réjouit Pierre Oréfice. La météo clémente des dernières semaines facilite aussi les sorties.

« On a eu un exercice 2018 assez compliqué. On se demandait si l’offre se renouvelait suffisamment pour les habitants de Loire-Atlantique. On est rassurés. » Seul bémol : l’allongement des files d’attente « dégrade un peu le souvenir de la visite ».

Déjà dotée d’une douzaine d’animaux mécaniques, la Galerie accueillera en mai un deuxième colibri. Ce bestiaire fantastique est destiné à s’installer sur le futur Arbre aux hérons qui devrait ouvrir ses portes en 2023 dans l’ancienne carrière Miséry à Nantes.