FAITS DIVERSLes lingots d’or de la famille Troadec restent introuvables pour l’instant

Affaire Troadec: Les lingots d'or restent introuvables pour l'instant

FAITS DIVERSLes enquêteurs ont des pistes mais rien de concret…
C.C

C.C

L'essentiel

  • Seuls Renée Troadec et Hubert Caouissin parlent de ce trésor
  • Des commissions rogatoires internationales délivrées avoir l’espoir de retrouver la trace de cet or en Andorre et à Monaco

Ce trésor de famille existe-t-il vraiment ? C’est toute la question à laquelle les enquêteurs tentent de répondre depuis le drame d’Orvault. Le mobile avancé par Hubert Caouissin, autour présumé de la tuerie, est pour l’instant invérifiable selon Le Parisien.

Lettres et commissions rogatoires internationales

À part les témoignages de Renée Troadec, la mère de Pascal, Sylvie sa fille et Hubert Caouissin son gendre, les preuves restent minces. Lors de fouilles de la maison d’Orvault, les policiers ont bien retrouvé des lettres de Renée qui parlent d’un héritage volé mais à aucun moment de lingots ou de pièces d’or.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Par ailleurs, le quotidien révèle que la justice a délivré des commissions rogatoires internationales (CRI) avoir l’espoir de retrouver la trace de cet or dans les principautés d’Andorre et de Monaco. Pascal, Brigitte et leurs enfants avaient, en effet, pris leur habitude dans la ville de Perpignan depuis quelques années, à proximité donc de l’Andorre.

Brigitte Troadec n’a jamais parlé de ce trésor à ses sœurs

Ce pactole, qui pourrait venir dans la banque de France, aurait été découvert en 2006 par le mari de Renée Troadec dans un immeuble qui leur appartenaient à Brest. Le père de Pascal, Pierre, lui aurait confié le secret avant sa mort en 2009. Toujours selon les dires de sa mère, Pascal aurait alors subtilisé ce trésor de famille. Une forme de jalousie s’est ensuite propagée chez Lydie, sa sœur et Hubert Caouissin, son beau-frère. Ce qui aurait poussé ce dernier à commettre l’irréparable.

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Une version à laquelle ne croit que très peu l’avocate des sœurs de Brigitte Troadec. Elle affirme qu’à « aucun moment les sœurs de Brigitte, très proches d’elle, n’ont eu connaissance de ce trésor imaginaire ». « C’est avant tout un manipulateur. Il propose en fait un puzzle d’énigmes et fait semblant de collaborer avec la justice. Il nous promène. », ajoute Cécile De Oliveira.