VIDEO. Montpellier: Elles rêvent de créer un institut de beauté roulant «ouvert à tous»
BEAUTE•Les deux jeunes femmes ont lancé une opération de financement participatifNicolas Bonzom
L'essentiel
- Charlotte Dimastromatteo et Marina Barbet, deux anciennes collègues de travail devenues copines, rêvent de créer un institut de beauté roulant.
- « On aimerait notamment se déplacer dans les villages, près des hôpitaux, des maisons de retraite, ou des entreprises, pour proposer nos services à des femmes actives, qui n’ont pas toujours le temps de prendre rendez-vous dans un institut. »
- Pour que leur projet prenne vie, les deux jeunes femmes ont lancé une opération de financement participatif sur Kiss Kiss Bank Bank. Elles ont besoin de 25.000 euros.
Depuis l’avènement des food-trucks, le phénomène ne cesse de se diversifier. A Montpellier (Hérault), le concept a même franchi avec succès les barrières de la bonne bouffe. Dans leurs caravanes rétros, Jaja la Fouine cartonne avec sa friperie au marché du Lez et Antoine Caupert régale les amateurs de cocktails sur les routes du coin.
Charlotte Dimastromatteo et Marina Barbet, ont, elles, un tout autre projet pour leur camionnette aménagée. Ces anciennes collègues de travail, devenues copines, rêvent de créer un institut de beauté roulant. Dans leur futur bolide, baptisé la Belle odyssée, elles souhaitent proposer diverses prestations esthétiques, comme des épilations, des soins du visage, de l’onglerie, de la réflexologie, ainsi que des modelages. A terme, des tatouages semi-permanents et des extensions de cils rejoindront la gamme de prestations proposées dans leur camion rose et blanc.
Près des hôpitaux, des maisons de retraite et des entreprises et dans les villages
Pour que leur projet prenne vie, les deux jeunes femmes ont lancé une opération de financement participatif sur Kiss Kiss Bank Bank. En échange d’un don sur la plate-forme, les contributeurs auront notamment droit à un ou plusieurs soins.
« On travaillait toutes les deux dans des instituts classiques, et on rêvait de changement, on voulait pouvoir se déplacer, confie Marina Barbet. Notre idée, c’est d’être ouvert à tous. On aimerait notamment se déplacer dans les villages, près des hôpitaux, des maisons de retraite, ou des entreprises, pour proposer nos services à des femmes actives, qui n’ont pas toujours le temps de prendre rendez-vous dans un institut. »
« La Belle odyssée sera un espace plus petit, plus intime qu’un institut traditionnel, pour mettre les clients plus à l’aise, reprend Charlotte Dimastromatteo. On a souvent remarqué que les personnes d’un naturel plus timide n’osaient pas venir, et se confronter aux autres clients. » Les fondatrices de la Belle odyssée ont besoin d’au moins 25.000 euros d’ici le 23 mai pour mettre leur projet sur roues.
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