vœuxLa Maison-Blanche souhaite un prompt rétablissement à la princesse Kate

Royaume-Uni : La Maison-Blanche souhaite un prompt rétablissement à la princesse Kate

vœuxLa princesse de Galles est l’objet de spéculations sur son absence de la vie publique depuis près de deux mois après une opération
20 Minutes avec AFP

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L’exécutif américain s’intéresse lui aussi à la santé de Kate. La Maison-Blanche a ainsi souhaité mercredi un rétablissement rapide à la princesse de Galles opérée en janvier à Londres et dont l’absence d’apparitions publiques depuis nourrit les spéculations.

« Je n’ai pas parlé de Kate Middleton avec le président », a déclaré la porte-parole de la Maison-Blanche Karine Jean-Pierre lors d’un échange avec la presse. « Bien sûr, nous lui souhaitons un rétablissement rapide. Elle a demandé qu’on respecte sa vie privée, et nous allons bien sûr suivre cela », a-t-elle dit à bord d’Air Force One, Joe Biden se rendant dans le nord du pays.

La communication ratée de la couronne

La princesse britannique inspire la fascination aux Etats-Unis, et les médias américains suivent pas à pas les étapes de la dernière polémique qui secoue la royauté à Londres.

La publication dimanche d’une photo de la princesse de Galles, tout sourire et entourée de ses enfants pour la Fête des mères, devait mettre un terme aux rumeurs et spéculations sur son absence de la vie publique depuis près de deux mois après une lourde opération de l’abdomen. Mais la découverte de multiples retouches sur ce cliché, son retrait par cinq des plus grandes agences de presse qui l’avaient publié, et les plates excuses de Kate, qui a endossé la responsabilité en disant « s’essayer à l’édition », ont eu l’effet complètement inverse, sapant la confiance dans les informations venant de la couronne.

La porte-parole de la Maison-Blanche avait d'ailleurs été questionnée mardi pour savoir si l’exécutif américain avait déjà modifié des photographies du président. « Vous essayez de nous comparer avec ce qu’il se passe au Royaume-Uni ? », avait-elle répondu. « Non, ce n’est pas quelque chose que l’on fait ici. »