Un maire néo-zélandais s'est ému de la revendication par Donald Trump de la division de l'atome par les Etats-Unis. Et l'édile de rappeler que cette découverte revient à un ancien illustre habitant de sa ville, le prix Nobel Ernest Rutherford.

Après avoir prêté serment sous la coupole du Capitole, le milliardaire républicain a listé les grandes avancées, notamment scientifiques, réalisées par les Etats-Unis pour démontrer q' « il n'y a rien que nous ne puissions faire ». « Les Américains (...) ont divisé l'atome », a-t-il notamment assuré.

Crédité pour avoir réussi l'exploit de diviser le noyau d'un atome au cours d'expériences conduites à l'université britannique de Manchester en 1917, Ernest Rutherford a été « le premier à induire artificiellement une réaction nucléaire », a insisté l'édile.

L'Organisation mondiale de la santé « regrette » la décision des Etats-Unis de quitter l'organisation, annoncée par Donald Trump au premier jour de son mandat. « Nous espérons que les Etats-Unis vont revoir » leur position, a déclaré un porte-parole, Tarik Jasarevic, lors du briefing régulier de l'ONU à Genève.

La levée des sanctions américaines contre des « colons extrémistes », annoncée par Donald Trump au premier jour de son nouveau mandat à la Maison-Blanche, va les inciter à commettre plus de « crimes », a dénoncé mardi l’Autorité palestinienne dans un communiqué.

Candidat à l'investiture démocrate en 2016 et 2020, le sénateur du Vermont Bernie Sanders a appelé lundi sur X ses partisans à la riposte. « Quand j’ai commencé à parler d’oligarchie, beaucoup de gens n’ont pas compris ce que je voulais dire, écrit-il. Et bien ça a changé. Lorsque les trois hommes les plus riches d’Amérique s’assoient derrière Trump lors de son investiture, tout le monde comprend que la classe des milliardaires contrôle désormais notre gouvernement. Nous devons riposter ».

Dans cette même interview sur France Inter, Sébastien Lecornu a aussi pris ses distances avec le vice-président français de la Commission européenne Stéphane Séjourné, qui avait évoqué la lundi une forme de « deal » avec Trump sur la défense européenne en échange d'une paix commerciale, à l'heure où Washington menace l'UE de lui infliger des droits de douane extrêmement agressifs. « On ne va pas échanger notre sécurité contre des hamburgers et des voitures allemandes », a taclé le ministre français des Armées.

«Un sérieux coup de pied au derrière pour les capitales européennes ». Voilà ce qu’a pensé le ministre français des Armées Sébastien Lecornu du discours d’investiture de Donald Trump. « Peut-être que la brutalité des mots du président (américain) peut enfin conduire à un choc et à une prise de conscience » des pays européens, a déclaré ce mardi le ministre sur France Inter, alors que « depuis de nombreuses décennies il y eu la tentation de se mettre sous le parapluie nucléaire américain ».

Sébastien Lecornu a de nouveau appelé les capitales européennes à développer leur propre industrie de défense, estimant que « vouloir acheter plus d’armes aux Etats-Unis est un contresens historique ».

Le secrétaire général de la confédération internationale des syndicats Luc Triangle s’inquiète dans un entretien avec l’AFP des risques de guerre commerciale avec le retour à la Maison-Blanche de Trump. « Je ne pense pas qu’il avait conscience de ce qu’il a fait pendant ses quatre premières années. Il n’a pas été le président des travailleurs », a critiqué M. Triangle, interrogé en marge du Forum économique de Davos.

La Chine s’est engagée mardi à soutenir l’Organisation mondiale de la santé (OMS), après que le président américain Donald Trump a signé lundi un décret visant à retirer les Etats-Unis de celle-ci, après l’avoir vivement critiquée pour sa gestion de la pandémie de Covid-19. « Le rôle de l’OMS doit être renforcé, pas affaibli », a souligné le porte-parole de la diplomatie chinoise, Guo Jiakun, ajoutant que « la Chine, comme elle l’a toujours fait, soutiendra l’OMS dans l’accomplissement de ses missions » pour promouvoir « la santé de l’humanité ».

Le milliardaire américain Elon Musk a réagi mardi avec ironie à la polémique autour de son salut, qualifié de « nazi » par certains, lors d’un meeting de Donald Trump la veille à Washington, en suggérant à ses détracteurs de faire de « meilleurs coups tordus ». « Franchement, ils ont besoin de meilleurs coups tordus. L’attaque du type "tout le monde est Hitler" est tellement usée », a affirmé le patron de Tesla et Space X, dans un message posté sur sa plateforme X.

Pékin a dit mardi espérer une coopération avec Washington en matière commerciale, après l’investiture du président américain Donald Trump, qui a menacé d’imposer d’importants droits de douane au géant asiatique. La Chine est « prête à renforcer le dialogue et la communication avec les Etats-Unis (et) à gérer correctement les différences » entre eux, a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Guo Jiakun, ajoutant : « Nous espérons que les Etats-Unis travailleront avec la Chine pour promouvoir conjointement le développement stable […] des relations économiques et commerciales sino-américaines ».

Le ministre israélien des Finances d'extrême droite, Bezalel Smotrich, a remercié mardi le « soutien inébranlable » de Donald Trump, après la décision de ce dernier de lever les sanctions américaines à l'égard de colons israéliens de Cisjordanie. « M. le Président, votre soutien inébranlable et sans compromission à l'Etat d'Israël est un témoignage de votre intense relation avec le peuple juif et notre droit historique sur notre terre », a écrit le ministre sur le réseau social X.

La Chine a qualifié mardi d'« intimidation » la décision du nouveau président américain Donald Trump de réinscrire Cuba sur la liste noire des Etats soutenant le terrorisme. L’utilisation récurrente de cette liste par Washington « va à l’encontre des faits » et « révèle pleinement le visage hégémonique, autoritaire et brutal des Etats-Unis », a déclaré lors d’un point de presse régulier Guo Jiakun, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

Le ministère des Affaires étrangères afghan a indiqué sur X qu’un « “combattant” afghan, Khan Mohammed, emprisonné en Amérique a été libéré en échange de citoyens américains et renvoyé au pays ». D’après une note du ministère de la Justice américain datant de 2008, Khan Mohammed, « membre d’une cellule talibane », a été arrêté en 2006 et condamné pour « narcoterrorisme ». Il purgeait une peine à perpétuité en Californie après avoir été arrêté « il y a près de deux décennies » à Nangarhar, dans l’est de l’Afghanistan, d’après cette source.

Des médias américains ont identifié les prisonniers américains libérés comme étant William McKenty et Ryan Corbett, ce dernier étant en détention depuis 2022.

La famille de Ryan Corbett, un Américain détenu en Afghanistan par les talibans, a exprimé mardi l'« immense gratitude » suscitée par sa libération dans le cadre d’un échange de prisonniers entre Kaboul et Washington. « Aujourd’hui, nos cœurs sont plein d’une immense gratitude et nous louons Dieu d’avoir préservé la vie de Ryan et de l’avoir ramené à la maison après les 894 jours les plus difficiles et incertains de nos vies », a déclaré la famille dans un communiqué.

Le gouvernement taliban a annoncé mardi la libération par les Etats-Unis d’un détenu afghan en échange de prisonniers américains au terme de « longues discussions » facilitées par le Qatar et au lendemain de l’investiture de Donald Trump. « Un “combattant” afghan, Khan Mohammed, emprisonné en Amérique a été libéré en échange de citoyens américains et renvoyé au pays », indique sur X le ministère afghan des Affaires étrangères.

«Je félicite M. Donald J. Trump », a écrit dans un communiqué le dirigeant syrien Ahmed al-Chareh, estimant que son élection « témoigne de la confiance accordée par le peuple américain à son leadership ». « Nous sommes convaincus qu’il sera le dirigeant qui amènera la paix au Moyen-Orient et rétablira la stabilité dans la région. Nous sommes impatients d’améliorer les relations entre nos deux pays basées sur le dialogue et la compréhension », a poursuivi Ahmed al-Chareh, en appelant de ses vœux « un partenariat qui reflète les aspirations des deux nations ».

Donald Trump a limogé tôt mardi quatre hauts responsables gouvernementaux nommés par son prédécesseur et a prévenu que plus de « mille autres » risquaient d’être également renvoyés, dans le premier message posté sur son réseau social Truth Social depuis son investiture. « Mon bureau du personnel présidentiel est en train d’identifier activement et de destituer plus de mille personnes nommées par la précédente administration, qui ne sont pas alignées avec notre vision pour rendre sa grandeur à l’Amérique », affirme Donald Trump sur la plateforme.

A peine investi président, Donald Trump a décidé de replacer Cuba sur la liste noire des pays soutenant le terrorisme, son retrait avait été annoncé en toute fin de mandat par la précédente administration Biden dans le cadre d’un accord pour la libération de prisonniers politiques. Cuba a aussitôt réagi en qualifiant cette décision « d’acte d’arrogance et de mépris de la vérité ».

Promise de longue date, la vaste offensive anti-immigration de Donald Trump prend forme : le nouveau président américain a décrété lundi l’état d’urgence à la frontière avec le Mexique, a ordonné à l’armée américaine d’en assurer la surveillance, et va s’attaquer au droit d’asile et au droit du sol. Ces décrets, signés dès le premier jour de son mandat et dont certains semblent violer la Constitution, promettent d’être contestés devant les tribunaux. Le droit du sol est notamment inscrit dans le 14e amendement de la Constitution.

L'Organisation mondiale de la santé « regrette » la décision des Etats-Unis de quitter l'organisation, annoncée par Donald Trump au premier jour de son mandat. « Nous espérons que les Etats-Unis vont revoir » leur position, a déclaré un porte-parole, Tarik Jasarevic, lors du briefing régulier de l'ONU à Genève.

La levée des sanctions américaines contre des « colons extrémistes », annoncée par Donald Trump au premier jour de son nouveau mandat à la Maison-Blanche, va les inciter à commettre plus de « crimes », a dénoncé mardi l’Autorité palestinienne dans un communiqué.

Le milliardaire américain Elon Musk a réagi mardi avec ironie à la polémique autour de son salut, qualifié de « nazi » par certains, lors d’un meeting de Donald Trump la veille à Washington, en suggérant à ses détracteurs de faire de « meilleurs coups tordus ». « Franchement, ils ont besoin de meilleurs coups tordus. L’attaque du type "tout le monde est Hitler" est tellement usée », a affirmé le patron de Tesla et Space X, dans un message posté sur sa plateforme X.

La Chine a qualifié mardi d'« intimidation » la décision du nouveau président américain Donald Trump de réinscrire Cuba sur la liste noire des Etats soutenant le terrorisme. L’utilisation récurrente de cette liste par Washington « va à l’encontre des faits » et « révèle pleinement le visage hégémonique, autoritaire et brutal des Etats-Unis », a déclaré lors d’un point de presse régulier Guo Jiakun, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.