En images : Le carnaval de Rio, une fête féerique et colorée
SAMBA•Les 12 écoles les plus renommées se préparent depuis un an pour arracher le titre de championne à l’issue d’un défilé de 60 à 70 minutes chacune
O.J. avec AFP
Dans un fracas de percussions, d’éclairs et de chants, le carnaval de Rio, au Brésil, s’est élancé dimanche soir pour vivre son moment le plus fort avec les défilés somptueux des prestigieuses écoles de samba. Les 12 écoles les plus renommées se préparent depuis un an pour arracher le titre de championne à l’issue d’un défilé de 60 à 70 minutes chacune. Leur sort sera tranché par des jurés sur la base de critères précis, qualité des chars et des costumes, choix du thème ou chorégraphie. Danse, lumière et couleur en images !
Les 12 écoles les plus renommées se préparent depuis un an pour arracher le titre de championne à l’issue d’un défilé de 60 à 70 minutes chacune.
Leur sort sera tranché par des jurés sur la base de critères précis, qualité des chars et des costumes, choix du thème ou chorégraphie.
Dans un fracas de percussions, d’éclairs et de chants, le carnaval de Rio s’est élancé dimanche soir pour vivre son moment le plus fort avec les défilés somptueux des prestigieuses écoles de samba.
«C’est le grand jour », entend-on. Ou plutôt la première de deux longues nuits, qui voient chacune six écoles offrir un spectacle somptueux au Sambodrome, enceinte créée il y a quarante ans par l’architecte Oscar Niemeyer.
Par-delà la féerie, les écoles de samba parlent du Brésil, de son histoire et de son identité : éloge de traditions régionales, exaltation de figures noires méconnues, ou très connues comme la chanteuse Alcione.
La mythique avenue Marques de Sapucai, une artère de 700 mètres de long flanquée de tribunes aux 70.000 places.
La samba a été inventée il y a un siècle par les communautés descendantes des esclaves africains conduits de force au Brésil.
Depuis lors, elle est l’emblème de la culture populaire de Rio.
La sécurité est renforcée autour du Sambodrome pour parer à une criminalité aiguë à Rio.
Il a des mesures pour contrer une épidémie de dengue.
Il s’agit de ne pas gâcher une fête à l’impact économique énorme – 5,3 milliards de reais (un milliard d’euros) attendus pour l’économie durant les quelques semaines de fièvre carnavalesque.
Parallèlement, le carnaval de rue, emmené par les « blocos » et leurs cortèges aux styles musicaux variés, se déchaîne en journée à travers la ville.
C’est l’événement le plus important à Rio et la fête nationale la plus populaire au Brésil.
La fête va durer jusqu’au 17 février 2024.
