BELGIQUECrise en Belgique: le «BHV», c’est quoi?

Crise en Belgique: le «BHV», c’est quoi?

BELGIQUE20minutes.fr fait le point sur ce district qui a causé la démission du gouvernement Leterme...
M.N.

M.N.

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

démission du gouvernement d’Yves Leterme

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

pomme (pas frite) de discorde de la politique belge

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

de nombreuses années

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.


Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

région de Bruxelles

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

Brabant

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

Hal

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

Vilvorde

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.


Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.


Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.


Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.


Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.


Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.


Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.

un premier pas vers l’indépendance de la Flandre

Que vient faire notre bon vieux Bazar de l’Hôtel de Ville dans la crise belge? Absolument rien. Chez nos voisins du plat pays, «BHV» correspond à l’abréviation de Bruxelles-Hal-Vilvorde, un arrondissement judiciaire et une circonscription électorale bilingue au cœur de la démission du gouvernement d’Yves Leterme et plus largement pomme (pas frite) de discorde de la politique belge depuis de nombreuses années.

Composé de 54 communes, le «BHV» jouit d’un statut particulier dans un royaume coupé entre les néerlandophones (60% de la population) en Flandre et les francophones, installés en Wallonie et à Bruxelles. Dix-neuf des communes du BHV font partie de la région de Bruxelles -une des trois régions belges-, bilingue mais très majoritairement francophone. Les 35 autres sont des communes appartenant à la province du Brabant, dans la région flamande, situées autour des villes de Hal et de Vilvorde.

«Privilèges» pour les francophones

Grâce à des «privilèges» consolidés au fil du temps, les francophones installés dans la banlieue de Bruxelles flamande peuvent voter pour des partis francophones lors des élections européennes et fédérales. Ils peuvent aussi bénéficier de procédures dans leur langue devant les tribunaux.

De plus, six des 35 communes offrent des droits supplémentaires aux francophones parce qu'ils y sont majoritaires ou très fortement représentés. Ils ont droit par exemple à des écoles francophones et les documents administratifs y sont établis dans les deux langues.

Un premier pas vers l'indépendance?

Mais voilà, la Flandre voit ces «privilèges» comme une atteinte à son intégrité territoriale et linguistique, d’autant que les électeurs flamands domiciliés en Wallonie ne peuvent voter sur des listes flamandes à Bruxelles. La majorité de sa population voudrait remettre en cause les droits pour l'ensemble des francophones de «BHV» et ne les limiter qu'aux six communes «à facilités» où ils seraient renforcés. A terme, une scission de «BHV» selon les frontières linguistiques serait effectuée.

En grande majorité, les francophones refusent cette réforme, faute de contreparties suffisantes. Mais aussi car une scission, ou en tout cas son projet, correspondrait à un premier pas vers l’indépendance de la Flandre.