«SANTAGATE»VIDEO. Donald Trump spoile le secret du père Noël à un enfant de 7 ans

VIDEO. «Et tu crois encore au père Noël?»... Donald Trump spoile un enfant de 7 ans

«SANTAGATE»Les Trump ont participé lundi soir à une tradition de l'armée américaine et répondu à quelques coups de fil passés par des enfants...
Quelque 1.500 bénévoles, auxquels s'est joint Donald Trump, ont prêté main-forte aux militaires pour répondre aux appels téléphoniques et aux courriels des enfants juste avant Noël.
Quelque 1.500 bénévoles, auxquels s'est joint Donald Trump, ont prêté main-forte aux militaires pour répondre aux appels téléphoniques et aux courriels des enfants juste avant Noël. - AFP
Marion Pignot

M.P.

La vidéo squatte les réseaux sociaux et la question tourne en boucle : Donald trump a-t-il révélé à un enfant de 7 ans que le père Noël n’existait pas ? La réponse est « oui », selon les internautes qui se marrent… ou crient au scandale.

Le président américain devait effectivement répondre lundi soir à des enfants qui suivaient en direct les livraisons du père Noël. A en croire les photos, l’exercice n’a pas beaucoup plus au président américain et à la Première dame, Melania, qui ne semblent pas tout à fait à l’aise devant leur cheminée, combiné à l’oreille… Cette tradition annuelle se passait quand même bien jusqu’à ce que Donald Trump poursuive un peu trop la conversation avec un bambin à qui il venait de demander son âge. « Et tu crois encore au père Noël ? Je demande ça parce que ça devient marginal à 7 ans, non ? », a alors lancé le président américain au jeune Coleman, juste avant de raccrocher.

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La petite phrase de Donald Trump a beaucoup fait réagir aux Etats-Unis… avant d’envahir Twitter et de régaler les internautes inspirés. « Et tu crois encore à Donald Trump ? Parce qu’à n’importe quel âge, c’est rare, hein ! », a ainsi plaisanté l’un d’entre eux. « Gâcheur en chef », a commenté un autre.

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Il faut dire que ce « SantaGate » arrive en plein « shutdown », en plein de retrait controversé des troupes américaines de Syrie, alors que Wall Street craque et que l’enquête sur une possible ingérence russe menace clairement le président américain. On peut donc comprendre l’agacement (et la boulette) de Donald Trump durant cet exercice imposé. Face aux milliers de coups de fil de gamins excités nous aussi, on aurait peut-être tout balancé.