ENTREPRISEJeff Bezos refuse les réunions avant 10h du matin et dort 8 heures par nuit

Amazon: Jeff Bezos refuse les réunions avant 10 heures du matin et dort 8 heures par nuit

ENTREPRISELe PDG d’Amazon a livré quelques-uns de ses secrets de management…
20 minutes avec Agence

20 minutes avec Agence

L’Economic Club de Washington, aux Etats-Unis, accueillait ce vendredi une conférence très attendue. Près de 1.500 personnes s’étaient inscrites pour assister à la prise de parole du PDG d’Amazon, Jeff Bezos.

La majorité d’entre eux attendaient avec impatience qu’il dévoile le nom de la ville choisie pour implanter le second siège de l’entreprise. Mais le milliardaire a préféré parler de ses méthodes de management, rapporte le Wall Street Journal.

Un petit-déjeuner en famille

« Je me couche tôt, je me lève tôt, j’aime bien prendre mon temps le matin », a confié Jeff Bezos à l’assistance, expliquant que cela lui permettait de lire le journal et de prendre un petit-déjeuner avec sa famille. Le patron affirme dormir 8 heures par nuit. « Je pense mieux, j’ai plus d’énergie, mon humeur est meilleure », estime-t-il.

Côté travail, il assure que les réunions à « haut QI » sont toutes prévues avant le déjeuner mais jamais avant 10 heures. Toutes les décisions importantes concernant Amazon doivent être prises avant 17 heures. « Si je prends trois bonnes décisions par jour, cela suffit », a déclaré le PDG.

Pas d’indice pour le deuxième siège

Alors qu’Amazon a dépassé le cap des 1.000 milliards de dollars de capitalisation boursière, Jess Bezos a assuré qu’il ne prêtait pas attention à la bourse. « Quand le cours monte de 30 % en un mois, je ne me sens pas 30 % plus intelligent. Il ne faut jamais passer du temps à penser au cours de Bourse du jour. Je n’y consacre aucun temps. »

L’accès à ce contenu a été bloqué afin de respecter votre choix de consentement

En cliquant sur« J’accepte », vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et aurez ainsi accès aux contenus de nos partenaires.

Plus d’informations sur la pagePolitique de gestion des cookies

Le dirigeant n’a livré aucun indice sur le nom de la ville qui pourrait accueillir le second siège du géant américain, baptisé HQ2. En janvier dernier, vingt grandes villes ont été présélectionnées. L’enjeu économique est de taille, car le projet s’accompagne de 50.000 créations d’emplois et de 5 milliards d’euros d’investissement.