Israël: Des voyagistes auraient fraudé sur les prix des voyages scolaires à Auschwitz
TOURISME•Ces agences de voyages se seraient entendues sur les tarifs avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education…20 Minutes avec agences
Neuf cadres d’agences de voyages ont été arrêtés en Israël. Ces cadres sont soupçonnés de s’être entendus frauduleusement sur les prix que leurs agences pratiquaient pour emmener les lycéens visiter Auschwitz et d’autres anciens camps de concentration nazis en Pologne.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.
Les bureaux de ces entreprises et les domiciles de plusieurs suspects ont également été perquisitionnés par la police qui a, en outre, gelé tous les comptes.
Maintenir les apparences d’une compétition
La police soupçonne au moins six de ces agences de voyages, dont certaines sont très populaires en Israël, d’avoir violé les règles de la concurrence en s’entendant sur les tarifs, avant de répondre aux appels d’offres lancés sous l’égide du ministère de l’Education pour emmener les lycéens sur les lieux de mémoire de la Shoah.
Les agences auraient ainsi fait en sorte que les prix ne soient pas tirés vers le bas. Elles se seraient partagé le marché et auraient fait en sorte de maintenir les apparences d’une compétition.
Un voyage à plusieurs milliers de shekels pour un élève
Soixante-dix ans après la libération des camps de la mort, des milliers de lycéens israéliens effectuent chaque année de tels voyages. Le prix d’un voyage peut aller jusqu’à plusieurs milliers de shekels pour un élève (sachant que 1.000 shekels reviennent à 232 euros), selon la presse israélienne.
>> A lire : Voyages scolaires à Auschwitz : « Mes élèves sont devenus des passeurs de mémoire »
Des milliers de jeunes Israéliens prennent, par exemple part, à Auschwitz aux côtés de responsables politiques et d’anciens déportés aux « marches des vivants », organisées depuis 1988 par des associations israéliennes et celles de la diaspora juive.
Ils se réunissent ensuite autour du mémorial international de Birkenau, s’y recueillent, récitent le kaddish, la prière juive des morts, ainsi que les noms de victimes.