COUP DE FILETChine: La police annonce avoir tué 28 membres d'un «groupe terroriste»

Chine: La police annonce avoir tué 28 membres d'un «groupe terroriste»

COUP DE FILETDepuis le début d ’ une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014, le pays a annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang...
20 Minutes avec agences

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Au terme d’une « opération de 56 jours » menée par les forces de l’ordre, la police chinoise a tué 28 membres d’un « groupe terroriste » au Xinjiang, région principalement peuplée de musulmans turcophones et régulièrement secouée par des troubles.

Pékin rappelle être aussi « victime du terrorisme »

Cette annonce intervient alors que Pékin rappelait avec insistance après les attentats de Paris être aussi « victime du terrorisme », a indiqué, ce vendredi, le Bureau de la sécurité publique du Xinjiang, indiquant également que cette « chasse à l’homme » visait un groupe d’assaillants qui avait pris pour cible le 18 septembre une mine de charbon isolée de la région d’Aksu (sud-ouest du Xinjiang).


Au terme d’une « opération de 56 jours » menée par les forces de l’ordre, la police chinoise a tué 28 membres d’un « groupe terroriste » au Xinjiang, région principalement peuplée de musulmans turcophones et régulièrement secouée par des troubles.

Pékin rappelle être aussi « victime du terrorisme »

Cette annonce intervient alors que Pékin rappelait avec insistance après les attentats de Paris être aussi « victime du terrorisme », a indiqué, ce vendredi, le Bureau de la sécurité publique du Xinjiang, indiquant également que cette « chasse à l’homme » visait un groupe d’assaillants qui avait pris pour cible le 18 septembre une mine de charbon isolée de la région d’Aksu (sud-ouest du Xinjiang).


Au terme d’une « opération de 56 jours » menée par les forces de l’ordre, la police chinoise a tué 28 membres d’un « groupe terroriste » au Xinjiang, région principalement peuplée de musulmans turcophones et régulièrement secouée par des troubles.

Pékin rappelle être aussi « victime du terrorisme »

Cette annonce intervient alors que Pékin rappelait avec insistance après les attentats de Paris être aussi « victime du terrorisme », a indiqué, ce vendredi, le Bureau de la sécurité publique du Xinjiang, indiquant également que cette « chasse à l’homme » visait un groupe d’assaillants qui avait pris pour cible le 18 septembre une mine de charbon isolée de la région d’Aksu (sud-ouest du Xinjiang).

rappelait avec insistance après les attentats de Paris être aussi « victime du terrorisme »

Au terme d’une « opération de 56 jours » menée par les forces de l’ordre, la police chinoise a tué 28 membres d’un « groupe terroriste » au Xinjiang, région principalement peuplée de musulmans turcophones et régulièrement secouée par des troubles.

Pékin rappelle être aussi « victime du terrorisme »

Cette annonce intervient alors que Pékin rappelait avec insistance après les attentats de Paris être aussi « victime du terrorisme », a indiqué, ce vendredi, le Bureau de la sécurité publique du Xinjiang, indiquant également que cette « chasse à l’homme » visait un groupe d’assaillants qui avait pris pour cible le 18 septembre une mine de charbon isolée de la région d’Aksu (sud-ouest du Xinjiang).

Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

>> A lire : Chine : Une formation « antiterrorisme » à l’université

La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.


Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.


Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.

compte quelque 10 millions de Ouïghours

Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.


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Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.

par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming

Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.


Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.


Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.


Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.


Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

Une « embuscade » tendue au petit matin contre des forces de police avait, ce jour-là, provoqué la mort de 16 personnes, parmi lesquells cinq policiers et 11 « personnes innocentes de différentes ethnies ».

La Chine traumatisée par le massacre de la gare de Kunming en 2014

Le Xinjiang, immense territoire aux confins occidentaux de la Chine et proche de l’Asie centrale, compte quelque 10 millions de Ouïghours, des musulmans turcophones, en partie hostiles à la tutelle de Pékin et dont une frange radicalisée est, selon les autorités, à l’origine d’attaques meurtrières commises ces dernières années dans la région et en dehors.

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La Chine avait notamment été traumatisée par un massacre commis à l’arme blanche en mars 2014 par un commando de Ouïghours dans une gare de Kunming (sud de la Chine), qui avait fait 31 morts et plus de 140 blessés.

Des violences sont invariablement imputées par Pékin à des groupes « islamistes » et « séparatistes ». Les autorités accusaient ainsi, ce vendredi, des membres du groupe abattu d’avoir commencé dès 2008 « à regarder des vidéos religieuses extrémistes ».

Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental

La Chine avait annoncé en mai avoir démantelé 181 « groupes terroristes » au Xinjiang depuis le début d’une campagne de répression baptisée « Frapper fort », lancée en 2014 après un attentat qui avait ensanglanté Urumqi, la capitale régionale, faisant 39 morts et une centaine de blessés.

De fait, le gouvernement chinois affirme que des groupes radicaux séparatistes établis à l’étranger tentent de déstabiliser le Xinjiang, comme l’Etim, le Mouvement islamique du Turkestan oriental, ancien nom du Xinjiang.