Corée du Nord: Ban Ki-moon en visite à Pyongyang en visite cette semaine
DIPLOMATIE•Cela fait plus de vingt ans qu'un chef de l'ONU ne s'était pas rendu dans ce pays hermétique...20 Minutes avec agences
Le secrétaire général des Nations unies (ONU) Ban Ki-moon devrait se rendre cette semaine en Corée du Nord. Si cette visite a bien lieu, Ban Ki-moon devrait rencontrer vraisemblablement Kim Jong-un, ce qui constituerait la première rencontre du dirigeant nord-coréen avec un homologue international depuis son arrivée au pouvoir il y a près de quatre ans.
Première visite d’une personnalité étrangère après… Dennis Rodman
Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
>> A lire également : La Corée du Nord annule une visite de Ban Ki-moon
D’après des analystes, une telle visite serait l’occasion pour la Corée du Nord de montrer son désir de contacts avec la communauté internationale au moment où elle est sur la sellette à cause de son programme d’armes nucléaires et de son bilan en matière de droits de l’Homme.
« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
Seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus en Corée du Nord
A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
>> A lire également : Pour Ban Ki-moon, la « crise est allée trop loin »
Et si l’agence Yonhap assure que cette visite de Ban Ki-moon représenterait le premier voyage d’un chef de l’ONU dans ce pays depuis plus de vingt ans, le bureau du porte-parole de l’ONU à New York a refusé de s’exprimer sur cette information. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères et la Maison Bleue, la présidence sud-coréenne, ont affirmé ne pas être au courant.
Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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D’après des analystes, une telle visite serait l’occasion pour la Corée du Nord de montrer son désir de contacts avec la communauté internationale au moment où elle est sur la sellette à cause de son programme d’armes nucléaires et de son bilan en matière de droits de l’Homme.
« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
Seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus en Corée du Nord
A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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Et si l’agence Yonhap assure que cette visite de Ban Ki-moon représenterait le premier voyage d’un chef de l’ONU dans ce pays depuis plus de vingt ans, le bureau du porte-parole de l’ONU à New York a refusé de s’exprimer sur cette information. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères et la Maison Bleue, la présidence sud-coréenne, ont affirmé ne pas être au courant.
Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
Seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus en Corée du Nord
A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
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A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
Seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus en Corée du Nord
A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
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Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
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A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
Seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus en Corée du Nord
A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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Et si l’agence Yonhap assure que cette visite de Ban Ki-moon représenterait le premier voyage d’un chef de l’ONU dans ce pays depuis plus de vingt ans, le bureau du porte-parole de l’ONU à New York a refusé de s’exprimer sur cette information. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères et la Maison Bleue, la présidence sud-coréenne, ont affirmé ne pas être au courant.
Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
Seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus en Corée du Nord
A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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Et si l’agence Yonhap assure que cette visite de Ban Ki-moon représenterait le premier voyage d’un chef de l’ONU dans ce pays depuis plus de vingt ans, le bureau du porte-parole de l’ONU à New York a refusé de s’exprimer sur cette information. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères et la Maison Bleue, la présidence sud-coréenne, ont affirmé ne pas être au courant.
Depuis qu’il a succédé à son père Kim Jong-il à la mort de celui-ci en 2011, Kim Jong-un n’a, en effet, jamais reçu le moindre chef d’Etat. Il ne s’est pas rendu non plus à l’étranger. S’il a rencontré plusieurs responsables chinois de haut rang à Pyongyang, la personnalité étrangère la plus notable qu’il ait vue ces quatre dernières années est probablement l’ancienne star américaine de basket Dennis Rodman.
« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
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Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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« Il est inconcevable que le secrétaire général de l’ONU visite la Corée du Nord et ne rencontre pas le chef suprême de cet Etat membre de l’ONU », a estimé une source anonyme de l’agence de presse nord-coréenne Yonhap.
Montrer son désir de contacts avec la communauté internationale
Pour rappel, le chef de l’ONU devait initialement se rendre en Corée du Nord en mai 2015, mais Pyongyang avait retiré son invitation au dernier moment, après que ce dernier eut critiqué un test de missile nord-coréen.
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« Pyongyang va aussi essayer de faire valoir que ce sont les Etats-Unis et la Corée du Sud qui sont à l’origine des récentes tensions dans les relations intercoréennes et que le Nord était ouvert au dialogue », a souligné Hong Hyun-ik, analyste à l’Institut Sejong de Séoul.
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A noter que Ban Ki-moon s’est déjà rendu en Corée du Nord. Il avait traversé la frontière pour visiter la zone industrielle intercoréenne de Kaesong avec une délégation de diplomates étrangers en 2006. Il était, à l’époque, ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud.
Cependant, seuls deux secrétaires généraux de l’ONU se sont rendus au pays de Kim Jong-un : Kurt Waldheim en 1979 et Boutros Boutros-Ghali en 1993. Ce dernier avait rencontré le grand-père du leader actuel, Kim Il-sung, afin d’évoquer les tensions émanant des ambitions nucléaires de la Corée du Nord.
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