Viande: Les producteurs abusent des étiquettes trompeuses
SANTE•Les producteurs joueraient, entre autres, sur la définition de l'UE qui estime que jusqu'à 30% de graisses et 25% de collagènes peuvent être comptabilisés comme de la viande...20 Minutes avec agence
Noms qui prêtent à confusion, additifs non précisés, teneur en viande non indiquée ou carrément fausse, les étiquettes des produits à base de viande sont parfois trompeuses.
L’information peut ragoûtante intervient donc, une semaine après l’annonce choc de l’OMS sur le lien entre forte consommation de viande rouge et risques de cancer. Sans compter qu’aujourd’hui l’association environnementale Oceana a annoncé, enquête à l’appui, qu’un poisson sur 3 ne serait pas celui que l’on croit.
« Souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande »
Bref, en se fondant sur des tests réalisés par 7 organismes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) au cours des derniers mois, l’association de consommateurs a conclu, elle, ce mercredi, que les produits contenant de la viande « ne répondent pas toujours aux attentes des consommateurs, et ce quand les étiquettes « n’induisent pas délibérément en erreur ».
Noms qui prêtent à confusion, additifs non précisés, teneur en viande non indiquée ou carrément fausse, les étiquettes des produits à base de viande sont parfois trompeuses.
L’information peut ragoûtante intervient donc, une semaine après l’annonce choc de l’OMS sur le lien entre forte consommation de viande rouge et risques de cancer. Sans compter qu’aujourd’hui l’association environnementale Oceana a annoncé, enquête à l’appui, qu’un poisson sur 3 ne serait pas celui que l’on croit.
« Souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande »
Bref, en se fondant sur des tests réalisés par 7 organismes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) au cours des derniers mois, l’association de consommateurs a conclu, elle, ce mercredi, que les produits contenant de la viande « ne répondent pas toujours aux attentes des consommateurs, et ce quand les étiquettes « n’induisent pas délibérément en erreur ».
Noms qui prêtent à confusion, additifs non précisés, teneur en viande non indiquée ou carrément fausse, les étiquettes des produits à base de viande sont parfois trompeuses.
L’information peut ragoûtante intervient donc, une semaine après l’annonce choc de l’OMS sur le lien entre forte consommation de viande rouge et risques de cancer. Sans compter qu’aujourd’hui l’association environnementale Oceana a annoncé, enquête à l’appui, qu’un poisson sur 3 ne serait pas celui que l’on croit.
« Souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande »
Bref, en se fondant sur des tests réalisés par 7 organismes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) au cours des derniers mois, l’association de consommateurs a conclu, elle, ce mercredi, que les produits contenant de la viande « ne répondent pas toujours aux attentes des consommateurs, et ce quand les étiquettes « n’induisent pas délibérément en erreur ».
Noms qui prêtent à confusion, additifs non précisés, teneur en viande non indiquée ou carrément fausse, les étiquettes des produits à base de viande sont parfois trompeuses.
L’information peut ragoûtante intervient donc, une semaine après l’annonce choc de l’OMS sur le lien entre forte consommation de viande rouge et risques de cancer. Sans compter qu’aujourd’hui l’association environnementale Oceana a annoncé, enquête à l’appui, qu’un poisson sur 3 ne serait pas celui que l’on croit.
« Souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande »
Bref, en se fondant sur des tests réalisés par 7 organismes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) au cours des derniers mois, l’association de consommateurs a conclu, elle, ce mercredi, que les produits contenant de la viande « ne répondent pas toujours aux attentes des consommateurs, et ce quand les étiquettes « n’induisent pas délibérément en erreur ».
Noms qui prêtent à confusion, additifs non précisés, teneur en viande non indiquée ou carrément fausse, les étiquettes des produits à base de viande sont parfois trompeuses.
L’information peut ragoûtante intervient donc, une semaine après l’annonce choc de l’OMS sur le lien entre forte consommation de viande rouge et risques de cancer. Sans compter qu’aujourd’hui l’association environnementale Oceana a annoncé, enquête à l’appui, qu’un poisson sur 3 ne serait pas celui que l’on croit.
« Souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande »
Bref, en se fondant sur des tests réalisés par 7 organismes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) au cours des derniers mois, l’association de consommateurs a conclu, elle, ce mercredi, que les produits contenant de la viande « ne répondent pas toujours aux attentes des consommateurs, et ce quand les étiquettes « n’induisent pas délibérément en erreur ».
Noms qui prêtent à confusion, additifs non précisés, teneur en viande non indiquée ou carrément fausse, les étiquettes des produits à base de viande sont parfois trompeuses.
L’information peut ragoûtante intervient donc, une semaine après l’annonce choc de l’OMS sur le lien entre forte consommation de viande rouge et risques de cancer. Sans compter qu’aujourd’hui l’association environnementale Oceana a annoncé, enquête à l’appui, qu’un poisson sur 3 ne serait pas celui que l’on croit.
« Souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande »
Bref, en se fondant sur des tests réalisés par 7 organismes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) au cours des derniers mois, l’association de consommateurs a conclu, elle, ce mercredi, que les produits contenant de la viande « ne répondent pas toujours aux attentes des consommateurs, et ce quand les étiquettes « n’induisent pas délibérément en erreur ».
Noms qui prêtent à confusion, additifs non précisés, teneur en viande non indiquée ou carrément fausse, les étiquettes des produits à base de viande sont parfois trompeuses.
L’information peut ragoûtante intervient donc, une semaine après l’annonce choc de l’OMS sur le lien entre forte consommation de viande rouge et risques de cancer. Sans compter qu’aujourd’hui l’association environnementale Oceana a annoncé, enquête à l’appui, qu’un poisson sur 3 ne serait pas celui que l’on croit.
« Souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande »
Bref, en se fondant sur des tests réalisés par 7 organismes membres du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) au cours des derniers mois, l’association de consommateurs a conclu, elle, ce mercredi, que les produits contenant de la viande « ne répondent pas toujours aux attentes des consommateurs, et ce quand les étiquettes « n’induisent pas délibérément en erreur ».
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
>> A lire ici : Russie : Auchan accusé de vendre des mélanges de viande à la place de boeuf ou de porc hâchés
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
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« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
Ainsi sulfites et phosphates sont interdits dans la plupart des préparations de viande hachée, mais au Royaume-Uni, ils sont autorisés dans les spécialités de « viande de burger » et de « saucisses de petit-déjeuner ».
Les problèmes d’étiquetage peuvent amener à tromper le consommateur sur la qualité de la viande. Sans précision sur une viande « séparée mécaniquement », le consommateur peut manger sans le savoir des restes laissés sur la carcasse d’un animal après la découpe principale.
« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
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« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
Plus grave, des tests ont révélé que parfois la viande n’est pas celle annoncée. Ainsi en avril 2014, un an après le scandale de la viande de cheval, l’association britannique Which a annoncé que dans 40 % des cas de plats à emporter testés à Londres et Birmingham, la viande d’agneau avait été contaminée avec du bœuf ou du poulet.
« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.
Les tromperies peuvent prendre différentes formes. Parfois, il s’agit simplement de jouer sur la dénomination : ainsi en Belgique, l’appellation « filet américain préparé » est réservée à des produits contenant uniquement de la viande de bœuf ou de cheval, mais des produits dits « préparé du chef » contiennent du porc, souligne le Beuc.
Les étiquettes peuvent, cependant, également être imprécises et, ne pas spécifier la quantité de viande contenue dans un produit, ou indiquer une quantité fausse, indique encore le Bureau, ajoutant que « souvent, de l’eau ou d’autres ingrédients remplacent la viande ».
« Produits à base de viande » ou « préparations de viande »
L’association néerlandaise Consumentenbond suggère, de son côté, que la définition de l’Union européenne du terme « viande » appliqué à l’étiquetage pouvait jouer un rôle dans ces tromperies en série. Selon cette définition, jusqu’à 30 % de graisses et 25 % de collagènes peuvent, en effet, être comptabilisés comme de la viande, en plus du muscle.
Autre problème de sémantique, pour les associations de consommateurs : la différence faite par les autorités européennes entre « produits à base de viande » et « préparations de viande ». La différence est importante en termes d’additifs : ils peuvent être plus nombreux dans les produits que dans les préparations, selon la régulation européenne. Or dans les faits, la frontière entre les deux est floue.
Le consommateur peut manger des restes laissés sur la carcasse d’un animal
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« Les producteurs ont des combines plein leurs poches »
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« Les Etats membres de l’UE doivent augmenter leurs contrôles et s’assurer que les étiquettes sont complètes et précises », a observé Monique Goyens, directrice générale du Beuc. Le bureau a également appelé à la sagacité des consommateurs. « Lisez les étiquettes ! Les producteurs ont des combines plein leurs poches », a observé sa collègue Camille Perrin.