SOCIETEChine: «Relations sexuelles inapropriées», golf et goinfreries interdits par le Parti communiste

Chine: «Relations sexuelles inapropriées», golf et goinfreries interdits par le Parti communiste

SOCIETESous le mot « rigueur » il n’y a rien de politique économique en Chine, mais de nouvelles restrictions auxquelles devront se soumettre les membres du PCC…
20 Minutes avec agence

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« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets

liste de restrictions

« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets

Loisir préféré des riches Chinois

« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets

a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine

« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets


« Jouer au golf », « avoir des relations sexuelles inappropriées », et « abuser de la nourriture et de la boisson » sont désormais inscrits dans le règlement du Parti communiste chinois (PCC).

Ces interdictions, les dernières d’une longue liste de restrictions, s’appliqueront aux quelque 88 millions de membres du plus grand parti du monde. Elles s’avèrent être les « règles disciplinaires les plus sévères » depuis l’ouverture de la Chine, au début des années 1980.

Ne plus « s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires »

Les termes « adultère » et « entretien de maîtresse », présents dans la précédente version du règlement publié par le Bureau politique du Comité central, principal organe dirigeant du PCC (édité en 2013), ont été abandonnés pour l’expression plus vague de « relation sexuelle inappropriée avec autrui », explique Xie Chuntao, directeur du département histoire à l’Ecole centrale du PCC - l’école de l’administration communiste.

« Ces relations sexuelles sont, dans certains cas, uniquement des questions de moralité qui ne sont pas illégales. Mais les formulations précédentes, trop précises, permettaient à certaines personnes de s’en tirer grâce aux lacunes réglementaires », convient ce membre de « l’ENA chinoise ».

>> A lire ici : Chine : Les autorités ferment 66 terrains de golf

Le golf, activement promu par les autorités sportives en Chine (où le nombre de parcours a été multiplié par trois en dix ans), s’invite donc clairement ici dans le viseur du PCC. Loisir préféré des riches Chinois et de certains responsables politiques (corrompus ou non), ce sport ne semble pas aller de pair avec la rigueur communiste.

Une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC

Ces mises à jour du texte de 2013 affirment, enfin, que « la discipline du Parti est plus stricte que la loi et doit être placée avant la loi ». Une discipline qui resserre une nouvelle fois, alors que le président Xi Jinping considère la corruption comme une menace majeure pour la suprématie du PCC. Pour l’éradiquer de ses rangs, celui qui est également numéro 1 du Parti a lancé une vigoureuse campagne anticorruption au sein du PCC, voire dans toute la Chine, parfois perçue comme une purge de nature politique.

Depuis quelques mois maintenant, le Parti a ainsi multiplié les exclusions et enquêtes sur ses membres accusés de « mode de vie décadent », fait de banquets ostentatoires, relations extraconjugales et dépenses excessives. Des maux en réalité chroniques au sein du PCC depuis des décennies et qui ont déjà fait l’objet de maints rappels à l’ordre dans le passé, plus ou moins suivis d’effets