MONDEMalawi: Un homme arrêté pour avoir tenté de vendre une lycéenne albinos

Malawi: Un homme arrêté pour avoir tenté de vendre une lycéenne albinos

MONDEDans ce pays d'Afrique australe, un squelette complet d'albinos se monnaie jusqu'à 66.000 euros...
Des enfants albinos sont recueillis dans une école en Tanzanie, le 25 janvier 2009
Des enfants albinos sont recueillis dans une école en Tanzanie, le 25 janvier 2009 - TONY KARUMBA AFP
20 Minutes avec agences

20 Minutes avec agences

Phillip Ngulube s’apprêtait à vendre une lycéenne albinos à un homme d’affaires tanzanien pour six millions de kwachas (9.700 euros) lorsqu’il a été arrêté à Mzuzu (nord du Malawi), ce mardi. L’instituteur malawite, qui assure que la jeune fille était sa petite amie, a été inculpé pour « enlèvement et tentative de meurtre ».

Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.

un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars

Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.



Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.


Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.


Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.


La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.


Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.


En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle

Selon le porte-parole de la police nationale, Maurice Chapola, la jeune fille allait être tuée et ses membres vendus, ceci alors que dans ce pays d’Afrique australe un squelette complet d’albinos se monnaie jusqu’à 75.000 dollars (soit 66.000 euros), selon la Croix-Rouge.

Des rituels censés apporter richesse et pouvoir

Depuis le mois de décembre 2014, neuf albinos ont ainsi été tués au Malawi, selon l’ONU. Dans ce pays où une personne sur 1.200 est atteinte de cette maladie génétique héréditaire, les assassinats d’albinos restent fréquents, leurs membres et leurs os étant utilisés pour des rituels censés apporter richesse et pouvoir.

Devant l’aggravation de ce fléau, le Conseil des droits de l’homme des Nations unies a donc nommé, en mars dernier, un expert chargé d’enquêter au Malawi, en Tanzanie et au Burundi.

La Tanzanie interdit la sorcellerie pour protéger les albinos

Période électrorale et recrudescence des attaques

Quant au gouvernement malawite, il a lancé voici des mois une grande enquête pour tenter d’établir les causes profondes de ce trafic et d’identifier les acheteurs de membres d’albinos. Les résultats de ces recherches n’ont cependant pas encore été publiés, alors que des critiques s’élèvent dans le pays affirmant qu’il n’y a pas de réelle volonté politique pour stopper ce lucratif et funeste trafic.

En Tanzanie, à l’approche des élections législatives et présidentielle qui se tiendront en octobre et alors que la période électorale est généralement propice à une recrudescence de ces attaques (les politiques cèdent souvent aux pratiques par superstition), la population albinos s’inquiète et demande, elle, le soutien de l'Etat.