Maroc: Deux femmes jugées pour avoir porter des robes «provocantes»
JUSTICE•Agées de 23 et 19 ans, elles risquent de un mois à deux ans de prison...20 Minutes avec agences
Le procès de deux Marocaines, arrêtées mi-juin en raison de leur robe jugée « provocante », s’est ouvert ce lundi à Agadir. Les deux femmes, coiffeuses de profession et âgées de 23 et 19 ans, sont poursuivies pour « outrage à la pudeur ». Elles risquent de un mois à deux ans de prison, selon l’article 483 du code pénal.
Maroc : près de 10.000 manifestants appellent à la parité homme-femme
« 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes »
Maroc : près de 10.000 manifestants appellent à la parité homme-femme
Le procès de deux Marocaines, arrêtées mi-juin en raison de leur robe jugée « provocante », s’est ouvert ce lundi à Agadir. Les deux femmes, coiffeuses de profession et âgées de 23 et 19 ans, sont poursuivies pour « outrage à la pudeur ». Elles risquent de un mois à deux ans de prison, selon l’article 483 du code pénal.
Maroc : près de 10.000 manifestants appellent à la parité homme-femme
« 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes »
Selon la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exiguïté de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Des avocats qui ont d’ailleurs notamment évoqué « des vices de forme dans ce dossier ».
Bakar Sibaï, un avocat de la défense, juge, pour sa part, que ce procès est une « occasion pour le Maroc d’adapter ses lois avec ses engagements en matière des droits de l’Homme et surtout des libertés individuelles ».
Une tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs »
Après l’arrestation des deux jeunes femmes, des rassemblements avaient notamment eu lieu à Rabat, Casablanca et Marrakech sous le slogan « Mettre une robe n’est pas un crime ». Une pétition portant le même nom a également été lancée sur le Web et comptait, ce mardi, près de 26.000 signatures.
Pour rappel, les deux femmes avaient été interpellées le 16 juin sur un marché d’Inezgane, dans le sud du pays, alors qu’elles se rendaient à leur travail. D’après des médias locaux, la police est intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ». Verdict le 13 juillet.
Selon la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exiguïté de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Des avocats qui ont d’ailleurs notamment évoqué « des vices de forme dans ce dossier ».
Bakar Sibaï, un avocat de la défense, juge, pour sa part, que ce procès est une « occasion pour le Maroc d’adapter ses lois avec ses engagements en matière des droits de l’Homme et surtout des libertés individuelles ».
Une tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs »
Après l’arrestation des deux jeunes femmes, des rassemblements avaient notamment eu lieu à Rabat, Casablanca et Marrakech sous le slogan « Mettre une robe n’est pas un crime ». Une pétition portant le même nom a également été lancée sur le Web et comptait, ce mardi, près de 26.000 signatures.
Pour rappel, les deux femmes avaient été interpellées le 16 juin sur un marché d’Inezgane, dans le sud du pays, alors qu’elles se rendaient à leur travail. D’après des médias locaux, la police est intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ». Verdict le 13 juillet.
Selon la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exiguïté de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Des avocats qui ont d’ailleurs notamment évoqué « des vices de forme dans ce dossier ».
Bakar Sibaï, un avocat de la défense, juge, pour sa part, que ce procès est une « occasion pour le Maroc d’adapter ses lois avec ses engagements en matière des droits de l’Homme et surtout des libertés individuelles ».
Une tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs »
Après l’arrestation des deux jeunes femmes, des rassemblements avaient notamment eu lieu à Rabat, Casablanca et Marrakech sous le slogan « Mettre une robe n’est pas un crime ». Une pétition portant le même nom a également été lancée sur le Web et comptait, ce mardi, près de 26.000 signatures.
Pour rappel, les deux femmes avaient été interpellées le 16 juin sur un marché d’Inezgane, dans le sud du pays, alors qu’elles se rendaient à leur travail. D’après des médias locaux, la police est intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ». Verdict le 13 juillet.
Selon la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exiguïté de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Des avocats qui ont d’ailleurs notamment évoqué « des vices de forme dans ce dossier ».
Bakar Sibaï, un avocat de la défense, juge, pour sa part, que ce procès est une « occasion pour le Maroc d’adapter ses lois avec ses engagements en matière des droits de l’Homme et surtout des libertés individuelles ».
Une tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs »
Après l’arrestation des deux jeunes femmes, des rassemblements avaient notamment eu lieu à Rabat, Casablanca et Marrakech sous le slogan « Mettre une robe n’est pas un crime ». Une pétition portant le même nom a également été lancée sur le Web et comptait, ce mardi, près de 26.000 signatures.
Pour rappel, les deux femmes avaient été interpellées le 16 juin sur un marché d’Inezgane, dans le sud du pays, alors qu’elles se rendaient à leur travail. D’après des médias locaux, la police est intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ». Verdict le 13 juillet.
Selon la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exiguïté de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Des avocats qui ont d’ailleurs notamment évoqué « des vices de forme dans ce dossier ».
Bakar Sibaï, un avocat de la défense, juge, pour sa part, que ce procès est une « occasion pour le Maroc d’adapter ses lois avec ses engagements en matière des droits de l’Homme et surtout des libertés individuelles ».
Une tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs »
Après l’arrestation des deux jeunes femmes, des rassemblements avaient notamment eu lieu à Rabat, Casablanca et Marrakech sous le slogan « Mettre une robe n’est pas un crime ». Une pétition portant le même nom a également été lancée sur le Web et comptait, ce mardi, près de 26.000 signatures.
Pour rappel, les deux femmes avaient été interpellées le 16 juin sur un marché d’Inezgane, dans le sud du pays, alors qu’elles se rendaient à leur travail. D’après des médias locaux, la police est intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ». Verdict le 13 juillet.
Selon la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exiguïté de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Des avocats qui ont d’ailleurs notamment évoqué « des vices de forme dans ce dossier ».
Bakar Sibaï, un avocat de la défense, juge, pour sa part, que ce procès est une « occasion pour le Maroc d’adapter ses lois avec ses engagements en matière des droits de l’Homme et surtout des libertés individuelles ».
Une tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs »
Après l’arrestation des deux jeunes femmes, des rassemblements avaient notamment eu lieu à Rabat, Casablanca et Marrakech sous le slogan « Mettre une robe n’est pas un crime ». Une pétition portant le même nom a également été lancée sur le Web et comptait, ce mardi, près de 26.000 signatures.
Pour rappel, les deux femmes avaient été interpellées le 16 juin sur un marché d’Inezgane, dans le sud du pays, alors qu’elles se rendaient à leur travail. D’après des médias locaux, la police est intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ». Verdict le 13 juillet.
Selon la présidente de la Fédération de la ligue des droits de femmes (LDDF), Fouzia Assouli, « 500 avocats se sont enregistrés pour défendre les deux femmes mais en raison de l’exiguïté de la salle, seuls 200 ont pu assister au procès ». Des avocats qui ont d’ailleurs notamment évoqué « des vices de forme dans ce dossier ».
Bakar Sibaï, un avocat de la défense, juge, pour sa part, que ce procès est une « occasion pour le Maroc d’adapter ses lois avec ses engagements en matière des droits de l’Homme et surtout des libertés individuelles ».
Une tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs »
Après l’arrestation des deux jeunes femmes, des rassemblements avaient notamment eu lieu à Rabat, Casablanca et Marrakech sous le slogan « Mettre une robe n’est pas un crime ». Une pétition portant le même nom a également été lancée sur le Web et comptait, ce mardi, près de 26.000 signatures.
Pour rappel, les deux femmes avaient été interpellées le 16 juin sur un marché d’Inezgane, dans le sud du pays, alors qu’elles se rendaient à leur travail. D’après des médias locaux, la police est intervenue après qu’elles eurent été encerclées par des gens qui protestaient contre leur tenue « jugée contraire aux bonnes mœurs ». Verdict le 13 juillet.