ENQUETECentrafrique: Les Casques bleus une nouvelle fois accusés d'abus sexuels sur des enfants

Centrafrique: Les Casques bleus une nouvelle fois accusés d'abus sexuels sur des enfants

ENQUETELes abus ont été commis par « un des contingents » de la Minusca, une mission de l’ONU…
20 Minutes avec agences

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La mission de l’ONU en République centrafricaine (Minusca) a été informée d’accusations d’abus sexuels commis par ses Casques bleus « contre des enfants des rues à Bangui », a indiqué, ce mardi, le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarric.

Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

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Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19 juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.


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Les abus auraient été commis par « un des contingents » de la Minusca forte de 12.000 militaires et policiers originaires d’une quarantaine de pays, a-t-il ajouté sans préciser lequel. Les faits « pourraient remonter à 2014 » mais n’ont été signalés que le 19

juin à la Minusca. Selon une autre source de l’ONU, il s’agirait « d’un contingent africain ».

L’ONU « fournit un soutien aux victimes »

L’ONU tente de vérifier ces accusations et « fournit un soutien aux victimes ». Le pays dont est originaire le contingent soupçonné a été averti le 20 juin, a précisé Stéphane Dujarric. L’ONU a donné dix jours à ce pays pour lui faire savoir quelles mesures il comptait prendre*. « Nous espérons qu’il va enquêter et nous tenir au courant » et qu’il « va agir rapidement », a ajouté le porte-parole.

« Si ces (dernières) accusations sont confirmées, il s’agirait d’une grave violation des principes de l’ONU et du code de conduite des Casques bleus », a encore assuré Stéphane Dujarric. « Nous demanderons au pays concerné de prendre rapidement les sanctions appropriées. »

Une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels

Les Nations Unies affirment appliquer depuis dix ans une politique de « tolérance zéro » envers le harcèlement et les abus sexuels commis par ses Casques bleus dans le cadre des missions de maintien de la paix. Mais un récent rapport interne a confirmé que ce problème est récurrent : selon ce document, des Casques bleus ont échangé de l’argent ou des téléphones contre des faveurs sexuelles de centaines de femmes en Haïti et au Liberia.

Viols en Centrafrique : l’enquête interne de l’armée française déclassifiée

Dans le dernier cas révélé en RCA et dont la Minusca a été saisie, ce sont deux jeunes filles de moins de 16 ans qui auraient été exploitées sexuellement à Bangui, a précisé un responsable de l’ONU sous couvert de l’anonymat. Les deux jeunes filles ont affirmé à une ONG locale avoir reçu de la nourriture et des produits en échange de relations sexuelles.

L’ONU est déjà sous le feu des critiques pour sa gestion d’une affaire d’accusations de viols d’enfants en RCA par des soldats français et africains. Quatorze militaires français font l’objet d’une enquête judiciaire en France dans cette affaire.

* L’ONU s’en remet effectivement aux pays contributeurs de troupes pour sanctionner leurs ressortissants coupables de tels abus. La Minusca avait déjà demandé il y a quelques semaines au Maroc d’enquêter sur des accusations de viol sur mineurs commis par un de ses soldats.