Une vague de chaleur fait plus de 800 victimes en Inde
SANTE•La température frôle les 50°C depuis la semaine dernière dans les Etats du sud de l'Inde...Marion Pignot
Une vague de chaleur a déjà tué plus de 800 personnes dans deux Etats du sud de l’Inde où la température frôle les 50°C depuis la semaine dernière. Le bilan devrait encore s’alourdir, ont d’ores et déjà prévenu les autorités du pays, certains chiffres de l’Etat du Telangana (sud) n’étant pas encore parvenus, tandis que le thermomètre ne marque, ce mardi, aucun fléchissement.
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
Les taxis de Calcutta à l’arrêt
« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où
La canicule, un signe du réchauffement climatique
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
Les taxis de Calcutta à l’arrêt
« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
Les taxis de Calcutta à l’arrêt
« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
Les taxis de Calcutta à l’arrêt
« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
Les taxis de Calcutta à l’arrêt
« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
Les taxis de Calcutta à l’arrêt
« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
Les taxis de Calcutta à l’arrêt
« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où
La chaleur sévit depuis plusieurs jours en Inde, y compris dans la capitale New Delhi où la température approche 45°C (cinq degrés de plus que la moyenne saisonnière) provoque des coupures de courant, et où certaines portions de rue fondent. « On cuit ici, notre sortie tourne au cauchemar », déclare Meena Sheshadri, une touriste de 37 ans arrivée de Pune (ouest), à l’occasion d’une visite de l’India Gate avec ses enfants. « J’ai beau boire de l’eau constamment, ma gorge est desséchée. »
La canicule, un signe du réchauffement climatique
Mais ce sont les Etats voisins du Telangana et de l’Andhra Pradesh qui souffrent le plus. Ainsi, dans l’Andhra Pradesh, les autorités exhortent la population à ne pas travailler longtemps sous le soleil, ceci alors que 551 personnes ont déjà péri en raison de la chaleur la semaine passée.
« Les victimes avaient 50 ans ou plus »
Là encore, les hôpitaux de l’Etat ont été mobilisés pour prendre en charge les victimes de coups de chaleur et les autorités recommandent de rester à l’intérieur. « La majorité des victimes a été exposée directement au soleil, avait 50 ans ou plus et était issue de la classe ouvrière », a précisé, ce lundi, Tulsi Rani, un haut responsable de la gestion des catastrophes naturelles de l’Etat de l’Andhra Pradesh. « Nous demandons de prendre des précautions, de s’abriter, de porter un chapeau, de boire beaucoup d’eau et de porter des vêtements de coton. Nous avons aussi demandé aux ONG et agences d’Etat d’ouvrir des points d’approvisionnement en eau pour que toute la population ait accès à l’eau en ville. »
Dans le Telangana, selon l’agence Press Trust of India, 231 personnes sont mortes, la plupart en milieu de semaine passée mais le bilan, qui doit encore être confirmé, continue d’augmenter, a déclaré un responsable de l’unité de gestion des catastrophes de cet Etat. « La vague de chaleur actuelle est légèrement plus forte que d’habitude. Les températures ont pratiquement atteint 48/49 degrés pendant le week-end », a, pour sa part, relevé B. R. Meena, haut responsable de l’Etat du Telangana.
Le réchauffement climatique, accélérateur de pauvreté
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« Je suis soignée pour un diabète mais je n’ai ni mari ni fils, aussi je dois rester ici toute la journée pour tenir ma boutique », lâchait, ce lundi, P. Gangamma, 65 ans, qui tient une échoppe de cigarettes à un carrefour très fréquenté d’Hyderabad, capitale du Telangana. Comme beaucoup d’autres travailleurs, Gangamma, ne peut se permettre de cesser son activité et ce, même sous cette chaleur écrasante. « On ne peut pas gagner notre vie en restant chez nous », soulignait, de son côté, Gurunath Patil, qui conduit un rickshaw toute la journée
A Calcutta, les syndicats de taxis ont recommandé aux chauffeurs de ne pas conduire entre 11 heures et 16 heures en raison de la chaleur. « Nous ne forçons personne. Mais nous leur recommandons de faire une pause au plus fort de la chaleur », a précisé Pramod Jha, secrétaire du syndicat des taxis de l’Etat du Bengale occidental. Enfin, dans l’Orissa (est), 11 personnes ont été tuées par la vague de chaleur. Là, les services météorologiques indiens (IMD) ont émis une « alerte rouge » pour ce mardi et pour demain, mercredi. Et dans la capitale New Delhi où