L'héritière de Nina Ricci jugée à Paris pour fraude fiscale
JUSTICE•La petite-fille de Nina Ricci est accusée d'avoir caché au fisc 18,7 millions d'euros...20 Minutes avec agences
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
Placée sur écoute
Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
Placée sur écoute
Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
Placée sur écoute
Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
Placée sur écoute
Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
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Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
Placée sur écoute
Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
Placée sur écoute
Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
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Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
Placée sur écoute
Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.
Accusée d'avoir dissimulé des fonds sur des comptes en Suisse, Arlette Ricci, héritière de la maison de couture Nina Ricci, doit être jugée, dès ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Paris pour fraude fiscale.
Ce procès, qui doit se tenir jusqu'à jeudi devant la nouvelle 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris (spécialisée dans ce type d'affaires), débute une semaine après la révélation du scandale SwissLeaks. Scandale qui tire son nom d'une enquête de plusieurs journaux, selon laquelle la filiale suisse de la banque HSBC a aidé certains de ses clients, notamment de riches industriels et des personnalités politiques, à cacher des milliards de dollars pour leur éviter de payer des impôts.
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Et le nom de la petite-fille de Nina Ricci, qui aurait caché au fisc 18,7 millions d'euros (22 millions de dollars), figurait sur les désormais célèbres fichiers d'évadés fiscaux présumés de la banque HSBC en Suisse. Des fichiers volés par l'ancien informaticien Hervé Falciani qui a fourni, en décembre 2008, les noms de ces évadés fiscaux présumés, clients de la banque, aux autorités françaises.
Mais, selon Les Echos, les juges n'ont pas attendu SwissLeaks pour enquêter à partir des fichiers Falciani et l'héritière, qui est, donc, parmi les premières personnes de la « liste HSBC » à comparaître, était, en 2010 déjà, placée sur écoute par la brigade nationale de répression de la délinquance fiscale (BNRDF).
Parmi les quatre autres prévenus figure la fille d'Arlette Ricci, Marguerite Vignat. Deux sociétés sont également poursuivies dans ce dossier.